Harry potter Imagine(Terminée)

Draco Malfoy Imagine - Inspirez, expirez

AVERTISSEMENT : ATTAQUE DE PANIQUE

  Je fermai les yeux et essayai d'ignorer Pansy, mais ça ne marchait pas. Je pouvais déjà sentir ma respiration s'accélérer.

"Je ne peux pas croire qu'il veuille même sortir avec toi !" cria Pansy. « Tu es moche, et stupide... »

Je cherchai de l'air et tirai sur l'ourlet de ma robe pour essayer d'empêcher mes mains de trembler.

" ... et gros ... "

Les larmes me montaient aux yeux et je pouvais sentir ma poitrine se serrer. J'ai dû partir avant d'avoir une véritable crise de panique.

« ... et une sang-de-bourbe aussi !

Je me suis retourné et je me suis enfui d'elle, aussi vite que j'ai pu, mais pas avant qu'un sanglot n'éclate de ma bouche. Je pouvais à peine respirer et courir n'aidait pas, mais je devais m'éloigner. Je viens d'avoir aussi.

Alors que je me précipitais hors de la Grande Salle, j'entendis Pansy caqueter à ses amis. "Draco ne pourra jamais t'aimer !" elle m'a appelé.

Au moment où j'atteignis la salle commune de Serpentard, je pouvais à peine respirer. Je tremblais tellement, et je sanglotais maintenant. Je devais rejoindre ma chambre.

J'ai dû me calmer.

Je pouvais à peine murmurer le mot de passe, et lorsque la porte s'ouvrit, je me retrouvai face à face avec la dernière personne que je voulais me voir ainsi. Draco Malfoy, mon petit ami.

Mais avant que je puisse passer devant lui et atteindre la sécurité de ma chambre, Draco me prit la main, me regarda dans les yeux et dit : « Ça va aller. Tu peux passer à travers ça. Allez, allons dans un endroit calme.

Je pouvais sentir ma main trembler dans la sienne alors qu'il me conduisait dans sa chambre et s'asseyait avec moi sur le lit. J'étais toujours à bout de souffle quand il m'attira à lui et commença à me caresser les cheveux.

"Tu peux passer à travers ça. Concentrez-vous sur votre respiration.

Je fermai les yeux et écoutai ma respiration saccadée. J'étais en hyperventilation, et je ne pouvais pas l'arrêter, je ne pouvais rien faire.

J'ai eu des crises de panique toute ma vie. Je n'en avais jamais eu à Poudlard, car c'était généralement un endroit sûr pour moi. Je n'en avais pas eu au cours des cinq dernières années, donc je n'avais pas ressenti le besoin de me préparer comme je le faisais partout ailleurs.

Je n'avais pas ma musique, ce qui m'a toujours calmé.

Je n'avais pas mon vieil animal en peluche, qui me rappelait la maison et me faisait me sentir mieux.

Je n'avais pas mon journal, ce qui m'aidait à exprimer mes émotions.

Et surtout, je n'avais pas la carte d'instructions que j'avais l'habitude d'emporter avec moi et qui indiquait aux gens comment arrêter mes attaques de panique.

Penser à cela ne faisait que me donner l'impression que je n'avais aucun contrôle. Je commençais à me sentir détachée de la situation, comme si j'étais dans un rêve.

Je suppose que Draco pouvait sentir que ça empirait, parce qu'il m'attira plus près. "Allez, y/n. Tu peux le faire."

Il a déplacé ma main, toujours tremblante, vers sa poitrine et l'y a maintenue.

« Écoutez ma respiration. Sens ma respiration, d'accord ? Essayez de respirer avec moi.

Je fermai les yeux et laissai ma main monter et descendre doucement sur sa poitrine.

"Inspire, expire. Inspire, expire."

J'ai essayé d'imiter son rythme lent, mais c'était dur.

"Inspire, expire."

C'était dur, mais plus Draco tenait ma main, plus Draco me serrait contre lui, plus je me sentais calmer.

Il attendit que ma respiration soit régulière et que j'arrête de trembler avant de me laisser partir. Puis, il s'est tourné vers moi et a commencé à parler. « o/n, je - »

Je l'ai coupé. "Je suis désolé. J'ai des crises de panique. Je ne te l'ai pas dit, parce que je pensais que tu n'avais pas besoin de savoir. Je suis désolé que vous ayez dû me voir comme ça.

"o/n, je t'aime. Je me fiche que vous ayez des crises de panique - ma mère en a. C'est une chose normale. Mais tu aurais dû me le dire. Ça aurait pu être pire. Je veux vous aider. S'il vous plaît, dites-moi la prochaine fois que quelque chose ne va pas.

Je détournai les yeux de lui, vers le sol. "Merci de m'aider."

Il prit mon visage entre ses mains et le tourna pour que je le regarde dans les yeux. "Je t'aime, y/n. Je suis prêt à vous aider à travers n'importe quoi. J'espère qu'il n'y aura pas de prochaine fois, mais s'il y en a, tu peux venir me voir.