La directrice

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J'ai vu a l'intérieur du démon des autres élèves un ange.

Ma directrice c'est un putain d'ange.

Elle me sauve la vie là....

Alors que le CPE trouve que c'est ma faute que je me fais harcelé, elle elle veut les faire tomber. Les prendre sur le faite...

Mais sans quelqu'un j'aurais jamais réussi à parler. 

Zackounet, tu es + qu'un ange. 

Tu mérites tellement...

Mais ça c'est des paroles banale.... Alors je vais parler avec mes mots....

Tu connais la Théorie des cordes ? 

La théorie des cordes a initialement été conçue comme une alternative pour décrire l'interaction forte : il s'agissait par exemple de décrire le processus de collision entre deux hadrons comme la collision de deux cordes qui, en se brisant, forment d'autres hadrons. En 1968, Gabriele Veneziano trouve une formule mathématique pour décrire un tel processus ; ces théories, appelées modèles duaux, font naître de grands espoirs.


Quelques années plus tard une théorie concurrente apparaît : la chromodynamique quantique. Le succès des expériences de l'accélérateur SLAC (Stanford) en 1969 et la mise en évidence de la liberté asymptotique en 1973 imposent par la suite la chromodynamique quantique, la plupart des physiciens abandonnent alors les modèles duaux, à l'exception de quelques-uns.


Ainsi, en 1975, Joël Scherk et John Schwarz montrent que la théorie des cordes contient une particule de spin 2 et de masse nulle, susceptible d'être identifiée au graviton, c'est-à-dire au quantum de la gravitation. Les cordes pourraient être donc plus adaptées pour décrire l'interaction gravitationnelle que l'interaction forte.


En 1984, John Schwarz et Michel Green construisent un modèle cohérent de la théorie des cordes qui incorpore la violation de la parité et qui ne présente pas d'anomalies dans un espace-temps à 10 dimensions. L'intérêt pour la théorie des cordes regagne la communauté des physiciens en 1985, quand Edward Witten démontre que le nombre des dimensions peut être réduit de 10 à 4 tout en préservant la supersymétrie, à condition que les 6 dimensions supplémentaires soient compactifiées dans un espace spécial, dit de Calabi-Yau. La même année, David Gross et ses collaborateurs parviennent à construire des modèles, appelés cordes hétérotiques, qui contiennent des théories de jauge. Le rêve d'une théorie du tout prend enfin forme !


Depuis, l'intérêt pour la théorie des cordes n'a plus cessé de croître et il a gagné aussi la communauté des mathématiciens. En effet, le formalisme mathématique de la théorie des cordes est très complexe et hétérogène et présente des points de convergence entre différentes branches des mathématiques : des théorèmes appartenant à une certaine branche ont par exemple été démontrés en utilisant des outils appartenant à une autre branche.



À la différence de la théorie quantique des champs où les particules sont décrites par des points, dans la théorie des cordes, une particule est constituée par une corde de dimensions extrêmement petites (10-33 cm), sorte de lacet fermé ou ouvert qui se déplace et vibre. Si la corde vibre dans un certain mode, elle décrit un électron ; si elle vibre dans un autre mode, elle décrit un quark, et ainsi de suite.

+

Une particule en mouvement décrit dans la théorie des champs une ligne, dans la théorie des cordes une surface bidimensionnelle, un tube. Dans ce dernier cas, les concepts sont plus abstraits : en effet, sur cette surface bidimensionnelle, appelée surface d'Univers, on définit des entités mathématiques abstraites : des champs qui forment les coordonnées de l'espace-temps. Le nombre de champs définis sur la surface d'Univers donne alors les dimensions de l'espace-temps. La supersymétrie occupe une place privilégie dans les théories des cordes, elle facilite la stabilité de la théorie et la description des fermions, particules de spin demi-entier.


Les diagrammes Feynman, qui décrivent les interactions entre les particules, deviennent dans ce dernier cas un réseau de tubes intersectés. Or dans la théorie quantique des champs, les résultats infinis qui apparaissent lors des calculs en boucle sont dus aux points d'interaction entre trois lignes (vertex). Dans la théorie des cordes, l'intersection n'est plus un point mais une surface bidimensionnelle et les quantités infinies n'apparaissent plus : bien qu'il n'existe pas encore de preuve mathématique, il y a de fortes raisons de croire que la théorie de cordes est finie

.. Voilà un petit cours de physique et tu connais le Big Bang?

Cette expression veut dire en français « Grand Boum », mais c'est l'expression anglaise qui est utilisée. Ce n'est pas le début de l'Univers comme on le dit souvent, car on ne sait pas ce qu'il y avait avant (ni même s'il y avait un avant). Le Big Bang est une théorie scientifique en partie confirmée par certaines observations astronomiques. Si on sait que l'univers était initialement chaud et très dense, la théorie ne dit pas ce qui est à l'origine du Big Bang.


Cet instant marque le début de la dilatation et de l'expansion de l'Univers. Le Big Bang n'est pas une explosion : c'est la totalité de l'espace qui se dilate, et il n'est pas contenu dans un autre espace plus grand. Le terme Big Bang a été utilisé pour la première fois en 1950. Au début, c'est un physicien, Fred Hoyle (wp), qui a créé ce terme pour se moquer de cette nouvelle théorie cosmologique. Ce physicien croyait, comme beaucoup d'autres scientifiques de cette époque, que l'Univers avait toujours été le même.


Aucune observation ne permet de savoir directement ce qui s'est passé il y a 13,8 milliards d'années mais on peut quand même observer certains phénomènes qui se sont produits 380 000 ans après le Big Bang.

Bref tout ça pour dire...

Tu es mon Big Bang... Tu es ce qui a changé mon univers...

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 09, 2022 ⏰

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