Chapitre 2 ⌫

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Je me lève en sursaut, couverte de sueur. L'alarme retentit dans toute la maison. Mettant une ambiance rouge. 

Que se passe-t-il ? pensai-je alarmé.

Sans plus attendre, je saute de mon lit, ce qui n'est pas très bon car je commence à avoir des vertiges. Je continue tout de même ma course vers la salle de surveillance. J'ai des caméras dans chaque pièce, j'en ai également autour de ma maison et sur le toit. Sur l'écran où l'on peut voir le toit, attire mon attention.

Deux hélicoptères humains s'apprête à se poser sur mon toit, ils ne sont pas si grand sinon ils ne passeraient pas. 

Allez-y faites comme chez vous ! 

Je m'empare de ma nouvelle arme qui est la fameuse matraque et me précipite vers les escaliers menant au toit. Même encore en pyjama, je suis prête à me battre.

J'arrive juste au moment où les hélicoptères se posent sur le toit. Méfiante je me cache derrière un des panneaux solaires en me couchant à plat ventre. Des humains en costume noir sortent d'un des hélicoptères, tandis que d'autres ne bougent pas. Les hommes se dirigent justement vers l'autre hélicoptère. Où je remarque que le conducteur regarde droit dans ma direction. Au fond de moi, je panique complètement mais je prends sur moi et reste immobile coûte que coûte.

Que me veulent-ils ? Ils sont bien trop nombreux...

Les hommes qui étaient sorti de l'engin sortent une large caisse de bois du second hélicoptère. Sur cette caisse, je réussi à lire «𝙲𝚊𝚒𝚜𝚜𝚎 𝚏𝚛𝚊𝚐𝚒𝚕𝚎», marqué en rouge. Aussitôt le travail fait, ils remontent dans l'engin et repartent aussi vite qu'ils sont venu. Ce qui me laisse perplexe.

Pourquoi ?

Je m'avance alors vers la caisse avec méfiance, cela peut être n'importe quoi, je pense surtout à une bombe. Je colle mon oreille contre la boîte et n'entends rien de suspect. Je redescends dans la maison chercher de quoi l'ouvrir, je n'ai trouver qu'un pied-de-biche. Cela fera l'affaire sinon je dois avoir une scie électrique. Je me débat longtemps avec cette caisse, ils se sont bien amusées à le fermer.

Alors que j'allais déclarer forfait, je remarque un cadenas. Quelle idiote que je suis... Je n'ai qu'à briser le cadenas avec une grosse pince et voilà le tour est joué.

Une fois le cadenas brisé je relève le couvercle et je remarque une masse dans un sac de toile. Je trouve aussi une lettre soigneusement déposée sur le sac. Je m'en empare et la déplie, pour y lire:

«𝚃𝚛𝚎̀𝚜 𝚌𝚑𝚎̀𝚛𝚎 𝙿𝚒𝚝𝚌𝚑-𝚒,

𝚃𝚞 𝚍𝚘𝚒𝚜 𝚝𝚎 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚎𝚛 𝚚𝚞𝚒 𝚓𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚜, 𝚎𝚑 𝚋𝚒𝚎𝚗, 𝚌𝚎 𝚗𝚎 𝚙𝚎𝚞𝚝 𝚎̂𝚝𝚛𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚖𝚘𝚒. 𝙼𝚊𝚛𝚒𝚎. 𝚂𝚒 𝚌𝚎 𝚗𝚘𝚖 𝚗𝚎 𝚝𝚎 𝚍𝚒𝚝 𝚛𝚒𝚎𝚗, 𝚓𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚜 𝚝𝚊 𝚖𝚊𝚒𝚝𝚛𝚎𝚜𝚜𝚎 𝚍'𝚊𝚞𝚝𝚛𝚎𝚏𝚘𝚒𝚜. 𝙲𝚎𝚕𝚊 𝚍𝚘𝚒𝚝 𝚝𝚎 𝚙𝚊𝚛𝚊𝚒̂𝚝𝚛𝚎 𝚋𝚒𝚣𝚊𝚛𝚛𝚎, 𝚜𝚞𝚛𝚝𝚘𝚞𝚝 𝚊𝚙𝚛𝚎̀𝚜 𝚌𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚝𝚞 𝚟𝚒𝚎𝚗𝚜 𝚍𝚎 𝚟𝚘𝚒𝚛. 

𝙹'𝚊𝚒 𝚖𝚒𝚜 𝚕𝚘𝚗𝚐𝚝𝚎𝚖𝚙𝚜 𝚊̀ 𝚝𝚎 𝚛𝚎𝚝𝚛𝚘𝚞𝚟𝚎𝚛.

𝙼𝚊𝚒𝚜 𝚕𝚎 𝚟𝚘𝚒𝚕𝚊̀ 𝚎𝚗𝚏𝚒𝚗. 𝙸𝚕 𝚝𝚎 𝚜𝚎𝚛𝚊 𝚍'𝚞𝚗𝚎 𝚐𝚛𝚊𝚗𝚍𝚎 𝚊𝚒𝚍𝚎, 𝚎𝚗𝚏𝚒𝚗 𝚓𝚎 𝚕'𝚎𝚜𝚙𝚎̀𝚛𝚎. 𝙲𝚎 𝚖𝚎𝚜𝚜𝚊𝚐𝚎 𝚗'𝚎𝚜𝚝 𝚙𝚊𝚜 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚝𝚎 𝚖𝚘𝚗𝚝𝚛𝚎𝚛 𝚖𝚘𝚗 𝚊𝚖𝚒𝚝𝚒𝚎́ 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚝'𝚊𝚟𝚎𝚛𝚝𝚒𝚛.

Pitch-i, celle dont personne ne voulaitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant