CHAPITRE 1: BELLA

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Pretoria capitale administrative de L'Afrique du Sud, ville située dans la province du Gauteng qui abrite des universités et des bâtiments gouvernementaux où etudie Thwala Sithole fille de Sithole Jacobs

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Pretoria capitale administrative de L'Afrique du Sud, ville située dans la province du Gauteng qui abrite des universités et des bâtiments gouvernementaux où etudie Thwala Sithole fille de Sithole Jacobs. La jeune étudiante était une rêveuse de femmes des grands Magazines, femmes de milliardaires qu'elle souhaitait à son tour rencontrer l'homme qui fera battre son portefeuille et quitter cette vie de misère dans laquelle elle est née.

- Tu es pourtant très intelligente tu trouveras un bon travail et pourras t'en aller loin si tu veux, pas besoin d'epouser un homme aussi riche

- Tu es trop innocente Maleka on dirait qu'on est pas de la même famille il faut oser quelques fois

- C'est à dire?

- Aller vers son destin

- Vêtu ainsi non merci

- Les riches blancs aiment les femmes sexy chère petite soeur et les noirs des femmes intelligentes je suis les deux donc j'ai plus de chance

- Les riches se balades partout c'est question de destin

- Toi alors c'est pas possible. Ecoute le prince William duc de Cambridge il a épousé kate Middleton?

- Oui

- Sais tu comment ils se sont rencontrés ?

- Non

- Hey bien figure toi que l'innocente kate a tout calculer en allant s'inscrire dans la même université que lui pour tenter sa chance et cela a fonctionner

- S'était son destin

- Reste là à attendre ton destin moi je vais vers le mien. A tout à l'heure

- N'oublie pas que demain on va en week-end au village maman est très malade

- C'est cette vie que je veux changer

Thwala n'aimait pas sa vie. Elle et sa soeurs Maleka vivaient au campus à Pretoria et partaient le week-end rendre visite aux parents au village comme la majorité de leurs amies. Contrairement à sa soeur Maleka était très posée et obéissante en plus d'être douce, elle ne cherchait pas de milliardaire juste un homme qui va l'epouser et la rendre heureuse pour toujours mais pour le moment ce sont ses études qui l'intéresse.
Au village jacobs et sa femme Bonie vivaient dans une maison modeste de quatre pieces qu'il avait lui même construit, Maleka futur architecte apportait des modifications afin qu'elle ressemble de plus en plus à un duplexe. Dans un village aussi pauvre que le leur s'était un luxe et il était fièr d'y vivre avec sa merveilleuse famille.

- Alors les Thwala comment s'est passé votre mois on vous a manqué ?

- Oui papa

- Ta soeur m'a dit que tu prends ton diplôme soigneuse dans peu de temps

- On dit médecin papa. Où est maman?

- Derrière dans sa plantation

- Elle n'est plus malade ?

- Si ma chérie mais ta mère est très têtu elle refuse le repos tu seras son médecin faut lui parler

- Oui papa et même je ferais installer un dispensaire dans ce village

- Je serais le père le plus heureux vous êtes ce que j'ai de plus cher dans ma vie après Bonie

- Nous t'aimons aussi Maleka et moi et te rendrons fièr de nous. Je vais chercher maman Maleka déballe les affaires et montre à papa ce qu'on lui a ramené.

Malgré ses ambitions Thwala n'oublie jamais d'où elle vient, elle imposait des vêtements traditionnel à sa soeur quand ils rentraient au village. Elles prennait soin du nettoyage de tout et des corvées difficiles pour faciliter la tâche à leur maman en leurs absence. Les deux filles se baignaient à la rivière , allaient même à la chasse avec leur père ou à la plantation avec Bonie.

- Vous allez vraiment nous manquer. Maleka merci pour la cheminée

- De rien maman, n'oublie plus ton traitement et mange sainement s'il te plaît

- Jacobs : j'y veillerais ma fille

- Allez au-revoir prennez soin de vous. Maleka lève toi la route est longue.

Comme a chaque retour, Bonie remplissaient de provisions les sacs de ses filles. Debout devant leur maison et dans les bras de son mari elle pleurait le départ de ses filles qui étaient maintenant des femmes. Arrivée à la gare dans la grande ville ressemblant à new-york ou le Mexique, les filles tombèrent sur un monsieur très courtois qui les déposa chez elles. Dehors il échangeait avec Thwala qui riait aux éclats. Sa soeur était très contente qu'elle rencontre enfin quelqu'un.
Deux mois plus tard diplômée, Thwala entra dans la médecine, elle sortait très souvent manger ou prendre un simple verre après le travail ou le weekend avec le fameux prétendant, il lui offrait des cadeaux qu'elle jugeait très souvent pas à son goût en en donnait à sa soeur.

- Tu lui reproches quoi?

- Pas assez riche. Il ne me donne pas assez d'argent et me pose trop de questions sur ma vie, mes parents et toi

- Moi?

- Oui

- C'est bien il souhaite mieux te connaître

- Mais non c'est révolu tout ça. Moi je veux un jeune homme pas un grand père il n'est pas pour moi

- Vous avez déjà ?

- Non jamais je ne compte rien lui donner et Dieu merci il n'en parle jamais

- Je le trouve bien mur il te respecte ce monsieur Madini pas comme williams

- Williams est d'une famille riche c'est un fils à papa et qui dit fils à papa dit argent de papa. Je peux pas finir ma vie avec un vieux chiche ou un pauvre hors de question soeurette

- Tu n'as pas peur que les deux se retrouvent ici?

- Attention a ce que tu dis. Williams est mon mec lui il a le droit de venir pas le vieux

- Alors pourquoi tu ne laisses pas ce pauvre vieux partir?

- Disons que ses quelques miettes m'intéresse encore mais c'est un vieux fou j'irais nul part avec lui mais tu as raison je vais m'en débarrasser

DEUX SOEURS UN PRÉTENDANTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant