Le Bad Boy De Ma Classe 2 {ZeldrisxOC}

Chapitre 15: Organisation

Sur le voyage du retour pas un son dans l'avion, tout nos camarades sont épuisés par ce petit week-end de folie, je suis un peu triste de rentré si vite mais, j'en garderais de très bon souvenir. J'observe avec attention la bague se trouvant à mon annulaire gauche, elle est magnifique, je n'arrive pas encore à me faire à l'idée qu'à la fin de nos études nous allons nous marier... Cependant j'admets que ce geste de la part de Zeldris me surprends en prenant du recule, il ne m'avait jamais parler de cela, ni aucun sous entendu, est-ce que ça lui est venue tout seul..? Ce dernier est assoupie à mes côtés la tête contre mon épaule, son torse bougeant au rythme doux de sa respiration sa moue est adorable. Je sors de mes pensées en voyant la visage d'Elaine passer par-dessus le dossier de son siège, en nous voyant ainsi elle me sourit.

Elaine: J'ai appris la nouvelle. Dit-elle en chuchotant tout bas, Ban aussi semble dormir lourdement à ses côtés. Félicitation.

Moi: Merci, je suis vraiment heureuse. Répondis-je d'un éclat de joie dans ma voix. Je n'y aurai jamais pensé.

Elaine: Ahah, c'est au moment où on s'y attend le moins que les meilleurs choses arrivent.

Elle a raison, maintenant j'ai un nouvel objectif, terminé rapidement mes études pour vivre une vie prometteuse à ses côtés, peut-être qu'un jour nous aurons des enfants..?

~~~~~~~~♧~~~~~~~~

Lorsque nous sommes arrivé à l'aéroport un taxi est venue nous ramené dans notre petit chez nous, remerciant ce dernier j'observe la voiture jaune s'éloigner la laissant emporter nos dernières sensations de vacance.

Zeldris: Rentre avant d'attraper froid. Ajoute mon compagnon en passant le portail avec les valises en mains, un vrai gentleman. Ce n'est vraiment pas la période.

J'acquiesce venant lui ouvrir la porte, les valises posées j'en profite pour récupérer le linge et le mettre à laver, cela faisait bien longtemps que je n'étais pas parti en vacances. Appuyant sur le programme de la machine à lavée je sens subitement les bras de Zeldris s'envelopper autour de ma taille, d'un sourire je guide ma main jusqu'à sa joue.

Zeldris: Tu t'es bien amusée ? Demande-t-il d'un murmure à mon oreille. Pas trop fatiguée ?

Moi: S'était de loin les meilleurs vacances que j'ai eu, merci Zel. En me tournant vers lui je laisse mes bras venir autour de son cou, ses muscles se détendent automatiquement. Mais dis moi, d'où t'es venue cette idée ?

Zeldris: Je ne vais pas te révéler tout mes secrets.

Faisant une fausse mine offusquée je tourne la tête en fermant mes paupières, je sais pertinemment qu'il ne changera pas d'avis, mais l'envie de le taquiner est trop forte.

Zeldris: Bientôt tu me feras ce petit cinéma pour être maman.

Je peste en voyant qu'il avait déjà gagné ce duel, remettant mon visage face au siens je viens déposer un tendre baiser sur ses lèvres, impossible de résister.

Moi: Si il a ton caractère je sens qu'on va bien s'amuser.

Zeldris: Tu dois plutôt confondre avec toi, je suis un ange.

D'un petit sourire mutuellement nos lèvres viennent de nouveau se rencontrer, petit puis ensuite de plus en plus long sous nos caresses mutuelles, très vite je me retrouve acculée contre l'un des murs blanc de la salle de bain, d'une lueur de malice je souris à Zeldris.

Moi: J'ai comme l'impression que tu es en manque, mon chéri.

Zeldris: Je suis persuadé que je pourrai tenir bien plus longtemps que toi.

Relevant légèrement ma jambe de façon à se que mon genou frôle son entre jambe, surprit et perturbé dans son petit jeu il détourne le visage en laissant échapper un petit grognement entre ses lèvres.

Zeldris: Attends un peu que tes problèmes de fille se terminent, et je te ferai regretter ce geste.

Je me contente de ricaner en déposant un baiser sur sa joue, surprise en voyant mon téléphone se mettre à sonner près du lavabo je suis dans l'impossibilité de bouger, Zeldris semble prit par ce jeu.

Zeldris: Où crois-tu aller ? Demande-t-il en plaquant mes poignets contre le mur derrière moi, sa vengeance devra attendre. Je n'en aie pas fini avec toi.

Moi: Zel, c'est peut-être important..!

Face à ma mine de chien battu il ne résiste pas longtemps, récupérant mon téléphone près du vasque en marbre, il s'agit d'un appel d'Elizabeth.

Moi: Allô ? Demandais-je curieuse de connaître l'origine de ce coup de fil. Elizabeth ?

Elizabeth: Ah, navrée de vous dérangez, vous avez un instant ?

Moi: Bien sûre. Ajoutais-je fièrement en arguant un sourcil vers mon petit ami, encore une fois j'avais raison. Que se passe-t-il ?

Elizabeth: Mon père a eu le directeur au téléphone, il semblerait qu'il y ait un petit problème...

Zeldris: Comment ça un problème ? Demande ce dernier une fois le mode haut parleur mit en route. Monsieur Zaratras qui appel ton père, c'est louche...

Elizabeth: Eh bien en faite... Murmure-t-elle un peu dépassée. Apparemment une classe d'un autre lycée devait venir en séjour durant cinq jours ici, et il semblerait que les informations soient mal passé entre le corps enseignant qui était chargé de prévenir notre classe puisque ce sera à nous de les aider à s'intégrer. Du coup ils sont censé arriver demain et impossible de trouver de quoi loger tout le monde.

Moi: Une autre classe..? Comment ont-ils fait pour manquer autant d'organisation ?

Elizabeth: Je l'ignore, et à vrai dire monsieur Zaratras n'est pas vraiment une lumière dans le domaine, il dit avoir été très occupé par les papiers.

Zeldris: Une minute. Rétorque mon compagnon en fronçant les sourcils, quelque chose semble l'agacer. Tu ne serais pas en train de nous demander d'en loger un ou deux ?

Elizabeth: Eh bien si... Je sais qu'il y a un peu de place chez vous, de quoi en loger au moins un ou deux.

Zeldris: Pas question.

Moi: Zel..!

Zeldris: C'est hors de question ! Reprends ce dernier en pestant. Ce n'est pas un hôtel ici !

Face à lui je me mets à arquer un sourcil, la pauvre Elizabeth se retrouve à devoir gérer un problème d'adulte, ou plutôt de professeurs incompétents, nous sommes ses amis et nous devons la soutenir.

Moi: Mets toi à sa place, ça ne l'amuse pas de nous demander ça. Posant une phalange sur l'écran de mon téléphone je coupe le micro, avançant d'un pas vers mon bien-aimé je pose mes mains sur ses joues. S'il-te-plaît, ce n'est que pour cinq jours, tout ira bien.

Zeldris: C'est une mauvaise idée, ce n'est pas à nous de rattraper leur bêtise.

Moi: Je suis d'accord avec toi, mais là il s'agit d'Elizabeth, elle risque elle aussi de devoir en loger un bon nombre, ce n'est que une ou deux personnes, fait le pour moi.

Il peste en détournant le regard, je le sens tendue et réticent, mais ce n'est que l'histoire de cinq jours, de quoi a-t-il peur ? À l'entente de la voix de mon amie inquiète je prétexte un problème de réseau, mais grâce à nous elle trouve déjà la place pour deux élèves, une charge en moins pour elle et son père. Remettant mon téléphone dans ma poche je remercie une nouvelle fois mon fiancé, un baiser déposé au coin de sa lèvre il finit par me laisser terminer mon rangement, j'espère qu'il n'est pas trop frustré...

~~~~~~~~♡~~~~~~~~