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Alors, oui cela va faire plutôt pas mal de temps que je n'ai pas écris(HUMHUM1ANSHUMHUM), on ne va pas se le cacher. Tout vient à point à qui sait attendre (oui cette citation ne m'est d'aucune justification)
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Une odeur de sapin empreignait ta chambre lors de ton réveil. Ta tête ébouriffé se releva avec lourdeur du matelas si confortable alors que tu enlaçais encore un coussin dans tes bras. En une nuit, tu avais l'impression d'avoir pris une dizaine d'année. Tout ton corps te tiraillait. Cela faisait maintenant une belle semaine, voire plus, que tu t'étais blessé. Enfin, la blessure n'était pas entièrement de ton fait, loin de là. Un petit rigolo vert s'était dit que tient, se serait sympa de désarticuler mes adversaire un de ces quatre. Morale de l'histoire : non, ce n'était pas sympa de se faire déboiter le bras.
Tu ne pu t'empêcher d'avoir des pensées haineuses dès ton réveil. Après tout, le contexte actuel ne te permettait pas vraiment de voir la vie en rose.
Alors que tu entrepris de sortir de ton lit, tes yeux balayèrent la pièce rapidement. Cette chambre était encore plus lugubre le jours, le peu de lumière que laissaient passer les volets offrait une drôle d'atmosphère. En te concentrant sur la fenêtre, tu mis un pieds hors de ton lit. Malheureusement, étant mal réveillé et ailleurs, ton pieds toujours sur le matelas s'emmêlât avec duvet qui reposait sur ton lit, te faisait trébucher. Tu titubas en essayant de récupérer ton équilibre. Tu te rattrapa in extremis sur le bureau, frappant un peu trop fort tes paumes sur la table. Le choc t'envoyas une onde de douleurs dans l'épaule. Alors, tu ramena ton bras valide pour te frotter l'épaule, espérant atténuer la douleur. Hors, ton mouvement fut légèrement trop violent, et tu heurtas l'horloge qui se tenait sur le bords du bureau.
Tu tentas de rattraper cette dernière, qui vint s'écraser lourdement sur ton pied, avant de rouler quelques mètres plus loin. Tu ne pu te retenir de jurer, cela ne faisait qu'une dizaine de minutes que tu t'étais réveiller, et l'univers entier essayait déjà de te nuire. En grommelant, tu te dirigeas vers l'horloge afin de la ramasser. Dans sa chute, la partie en verre s'état légèrement fissuré. Après avoir récupéré l'objet, tu passas tes doigts sur la fissure. Toi, qui hier réfléchissait à de nombreux stratagème afin d'ouvrir l'horloge sans laisser de trace, venait de fissurer la coque en verre qui t'empêchait de mener à bien tes manipulation. A ce point la, tu ne savais plus si ce qui te mettais hors de toi était le fait que finalement, tu as quand même fragiliser l'horloge, ou bien que tu l'ai fait sans même avoir essayer quoique ce soit. Tu posas rageusement l'horloge sur le bureau.
Tu décidas de t'éloigner de cet endroit pour l'instant, te dirigeant vers la fenêtre. Sur le rebords de cette dernière se tenait un vase que tu n'avais pas remarqué auparavant. Dedans était disposé un bouquet de fleurs séchées aux teintes ternes. Tu saisis parmi elles une lavande, avant de la sentir. Cette odeur t'était familière, et te rassurait quelques peu. Quand tu te trouvais encore à L'manburg, tu avais un petit plant de lavande en pots que tu affectionnait tout particulièrement. Alors que tu reposait la fleur dans son pot, tu mis une mains sur la poignée de la fenêtre. Tu essayas de l'ouvrir en vain. Il semblait qu'aéré la pièce ne soit possible pour l'instant. Frustré, tu t'en alla une fois de plus vers un autre coin de la pièce.