Nouvelles gréco-latines

Le chasseur et la proie

Deux tribu l'une uniquement composé de guerrières et une l'autre entièrement composé de guerriers ces deux tribus s'appelaient les Amazones et les Gargaréens. Une fois par ans, ils se rencontraient au sommet d'une montagne. 9 mois plus tard, les Amazones donnaient la vie. Les filles étaient gardées et les garçons les plus vigoureux étaient envoyé chez leurs père. Mais lorsque qu'un bébé mâle était jugé trop faible, il était abandonné à son sort dans la nature.

 C'est ce qui est arriver à Tyran. Jugé trop petit et frêle, il à été abandonner sur un rocher. Il à été trouver par un couple de lions, mais pas n'importe quel lions ! Il s'agit ni plus ni moins que d'Atalante et de son mari, changer en lion par Zeus, après avoir osez profaner un sanctuaire lui étant dédié. Les deux anciens humains avait eu plusieurs lionceau ensemble avant d'adopter Tyran. L'enfant grandit donc au milieu des fauves.
Pour qu'il puisse chasser et se défendre, il avait des griffes d'ours sur les doigt qu'il avait attacher avec de la laine de mouton filé, dérober chez un berger, non sans avoir tuer et dévorer une ou deux brebis.
 Sans ses griffes artificielle, le petit Tyran n'aurait effrayé personne, il était petit même pour ses douze ans, frêle et chétif. Mais il avait tout de même pour lui des yeux vert inquisiteur qui semblait scruter le fond de l'âme et de jolie cheveux brun faisant de jolie bouclettes.

Le jeune humain avait pour fratrie d'adoption trois lionnes nommée Croyance, Prudence et Patience. Pour frères il avait Tymèrion et Taram. Tyran était particulièrement lié à ce dernier.
Taram était un lion intelligent(comme tout les descendant d'Atalante) gentil et patient, étant le plus jeune de la porté, il était très heureux de ne plus être le petit dernier avec l'arriver de Tyran. Ils jouaient, dormaient, mangeaient et chassaient ensemble. Une fois ils avaient volé tout un troupeau de moutons pour le repas. Tel était la vie de Tyran, jeune humain élever par des lions surdoués.

Par une belle journée d'été, Taram et Tyran chassaient dans la forêt. Les deux frères pistaient un cerf depuis déjà une heurs lorsqu'une flèche sortie de nul part alla se planté dans l'épaule de Taram qui hurla de douleur. Ce crie alerta Tyran qui s'était éloigné, l'humain courait à présent vers son frère, il arriva juste à temps pourvoir un humains monté sur un cheval sortir d'entre les buissons pour planté une lance entre les deux yeux de son frère. Il poussa un crie déchirant lorsque le lion s'effondra.

Le chasseur qui venait de tuer Taram accorda un bref regard à cet enfant vêtu d'un simple pantalon en laine et arracha à son adversaire vaincu sa peau et s'en alla. Tyran quand à lui n'avait pas bouger, pétrifier par cette horrible scène. Une fois sortie de sa grande terreur, il se ressaisie, courut vers le corps mutilé de son frère et s'effondra près de celui-ci, pleurant toute les larmes de son corps.

Tyran sursauta lorsqu'il entendit une voix féminine s'exprimer près de lui.

«Qu'es que tu fait encore ici à pleurer ! Le meurtrier s'enfuit ! »

Il releva la tête pour voir une femme aux long cheveux noir, aux yeux brun brillants vêtu d'une robe rouge.

« Ne fait pas cette tête d'idiot » Lui dit-elle « Je suis Némésis, déesse de la vengeance. Et toi tu est un future vengeur. »

Il ne fallut que quelque secondes à Némésis pour convaincre Tyran de partir en quête de vengeance. Lorsqu'il demanda « Il est mort, je ne peut plus rien faire pour lui» Elle lui répondait « Ce chasseur a tué ton frère et volé sa peau, pense à tes parents, ils serons consolées de te voir revenir avec celle-ci et la tête du chasseur !». Ni une ni deux Tyran partie sur les traces du chasseur. Alors qu'il marchait sur les traces de l'assassin, toute la tristesse et le désespoir que l'enfant ressentait se transformèrent en haine, les images de la mort de son frère tournait dans sa tête exaltant sa rage.

L'homme qui avait tuer Taram le lion se nommait Andonys. Cet homme était le plus gros vantard de toute la Grèce. Grand, beau, cheveux blond doré accompagnée de magnifique yeux de braise et beaucoup trop sur de lui, il était fils de noble. Il n'a jamais souffert de la misère ou de la faim. Il était aimer des gens de sa ville car son père était généreux, mais lui ne l'était pas. Après tout, son père l'était largement assez. Ses seuls intérêts dans la vie était la chasse et la drague. La politique ? Barbant. La diplomatie ? Pourquoi faire ont n'a une armée non ? Le peuple ? Juste une bande de bouzeux. Ce charmant personnage rentrait donc au campement des chasseurs pour pavané avec son nouveau trophée, puis lorsqu'il sera de nouveau dans le palais de père...Il continuera de pavané étant donné que c'est la chose qu'il sache faire.


Alors qu'Andonys chevauchait vers sa gloire, Tyran lui le pistait à la trace, Némésis le suivait pas à pas, stimulant sa colère. Tyran remonta la piste du chasseur jusqu'à son campement. Cacher dans les buissons, le gamin voyait des hommes en pleins fête, ils mangeaient et buvaient en riant. Tyran poussa un grondement, comme osaient ils rirent tout en admirant la carcasse de son frère ?

Malgré toute la rage qui bouillonnait en lui, il n'attaqua pas. Les homme s'étaient nombreux, et surtout celui que Tyran voulait tuer à tout prit n'était pas en vu. Enfin Andonys apparut, portant la peau de Taram. Le sang du jeune garçon ne fit qu'un tour, il vit rouge, il s'apprêtait à bondir lorsque la voix de Némésis lui murmura à l'oreille

« La vengeance est un plats qui se mange froid»

Tyran attendit. Les chasseurs levèrent le camps pour retourner chez eux, Tyran les suivait pas à pas. Tyran était le chasseur et sans s'en rendre compte, Andonys était la proie.

Tyran les suivit jusqu'à leurs cité. Lorsqu'il y entra à la suite de sa proie, Tyran attira tout les regards. Torse nu avec pour seul habit un pantalon cours en laine de moutons et son regard de bête féroce dissuadait:! les passants de lui posé des questions.

Lejeune garçon traqua sa proie jusqu'à la nuit tomber, enfin il retrouva sa trace près d'une taverne. Mais lorsqu'il voulu entré à l'intérieur, une femme portant une capuche et une longue cape brune, équipé d'un carquois et d'un arc lui barra la route

« Je te déconseille de faire cela » Lui dit t-elle.

« Oh et pourquoi ? » Grogna le jeune garçon, fortement agacé.

« Parce que moi, Artémis, protectrice des chasseurs te l'interdit »

Tyran afficha un sourire féroce sur son visage d'enfant « Tu protège cet homme, mais de nous deux, qui est le chasseur et qui est la proie ?"

La déesse sembla perplexe. Elle réfléchit plusieurs minutes qui parurent interminable a Tyran, puis le laissa passé.

Le jeune garçon entra dans la taverne, s'arrêta au milieu de la pièce les mains sur les hanches et cria. "Où est donc celui qui se vante d'avoir tuer avec bravoure un lion ?!" 

Andonys leva la mains et s'avança fièrement vers Tyran, pensant sans doute avoir a faire à un admirateur passionné.

"Toi qui est si fort, accepte de faire la course contre moi, si tu perd je te prendrait la chose la plus précieuse au monde, si tu gagne...Je deviendrait ton esclave"

Le prince éclata de rire. "Moi ? faire la course avec un enfant ?"

"Tu à peur de perdre ?" Le défia Tyran. Devant ce défit annoncé haut et fort, Andonys n'avait pas le choix, c'était soit perdre son temps à faire une course, soit perdre une partie de sa précieuse réputation. Donc il accepta, la course devait avoir lieu le lendemains.

Pendant qu'il se reposait dans son beau palais, Andonys reçu la visite d'un messager en provenance du temple d'Apollon. Le prêtre lui disait qu'ils avait reçu un message de Delphes, annonçant que la vantardises du prince pourrait causé sa perte. Mais Andonys, agacé par ses fameuse prédiction qu'il recevait depuis des année ignora ce nouvel avertissement. 

Pendant qu'Andonys ignorait l'aide qui lui était envoyé, Némésis préparais son champion. Le gamin avait déjà élaboré une stratégie, il suivrait l'exemple maternel. La déesse amena Tyran dans la meilleurs auberge de la ville pour qu'il puissent y manger et y dormir. 

Dans son sommeil, le jeune garçon vit en rêve son frère lion disparu, ils purent dans cet univers onirique, jouer une dernière fois.

À l'aube, Tyran était déjà au stade, attendant son adversaire qui tardait. Andonys arriva sur un char rutilant, saluant la foule d'un signe de main et d'un sourire charmeur. Sûr de sa victoire face à un enfant. Tyran, quant à lui, observait son adversaire avec un mépris accompagné d'un regard meurtrier et un sourire carnassier.

Les deux adversaires allèrent se placer sur la ligne de départ, ils se mirent en position, prêts pour la course. Au signal du départ, Andonys s'élança sur la piste, Tyran lui laissa deux mètres d'avance avant de s'élancer lui aussi.

Le prince de la ville courait pour l'instant en tête, mais de seconde en seconde Tyran gagnait du terrain, bientôt ce dernier mènerait la course. Mais Andonys n'accéléra pas, persuadé qu'il tiendrait la distance, vantard comme il était, il ne pouvait s'imaginer moins athlétique qu'un enfant sauvage.

Lorsqu'il atteignit la distance parfaite, Tyran bondit sur son adversaire, plantant ses fausses griffes accrochées à ses doigts dans le dos de son ennemi qui hurla de douleur en balançant sa tête en arrière, l'assaillant en profita pour passer ses doigts sur la gorge d'Andonys et la trancher d'un coup sec. Le public poussa un cri de terreur et d'indignation tandis que le grec le plus vantard de l'Antiquité se vidait de son sang sur le sable chaud de la piste. Profitant de la panique générale, le meurtrier s'éclipsa, non sans avoir pris soin de prendre sur le cadavre du chasseur la peau que celui-ci avait arraché à son frère.