Chapitre 1 : Capitaine Érioglie

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                         Par une nuit sombre, au bord de l'autoroute, une jeune femme qui se nommait Natacha Érioglie, était seule, mais armée. Cette nuit-là, Natacha regardait les voitures roulées, mais aussi les avions volés ainsi que les migrants qui essayaient de s'infiltrer dans une usine désaffecté. Elle ne savait pas pourquoi il essayait de s'infiltrer ici alors qu'il y avait un camp spécial pour eux à moins de deux kilomètres de l'usine mais bon peu l'importé. Sa mère atteinte d'Alzheimer et d'un cancer du sein était morte des suites de ces deux vecteurs maladifs extrêmement grave il y a de cela un an. Natacha ne s'en était remis qu'à moitié.

Pour la capitaine, sa mère était un symbole, un symbole de force et d'espoir, alors se disait-elle que, sans sa mère, la force et l'espoir était mort, elle s'était préparée à ce que sa mère meurt assez tôt et qu'il ne lui resterait que quelques mois, deux au maximum avec sa mère car son cancer avait était diagnostiqué à un stade ou le cancer avait atteint un stade critique car non seulement il était dans les seins mais aussi la rate, le foie, les poumons, mais le pire, c'était qu'il avait réussi à pénétrer dans les os. Elle était donc là assise, à regarder les voitures passer, à toute allure ou au contraire, sans allure. Natacha, portait magnifiquement bien ses yeux bleus, sa longue chevelure rousse et lisse incroyablement belle surplombait un visage comportant une petite bouche accompagnait de fines lèvres recouvertes de rouge à lèvres. Elle ne possédait pas de taches de rousseur, elle était d'une taille assez grande, car, elle mesurait environ un mètre soixante-quinze, elle était aussi très mince, elle pesait un peu près soixante kilos, c'était relativement mince. Elle était gendarme, et plus précisément, elle était capitaine à la brigade criminelle, c'était la Capitaine Natacha Érioglie, elle était en fonction depuis dix ans maintenant à la gendarmerie de Résopolis ou plus communément appelée, la « Ville des Grandeurs ».

Ce qui valait ce surnom à cette ville, c'était tout simplement comme cela l'indiquait, une « Ville des Grandeurs », en l'occurrence, on pouvait y trouver là-bas, des Gratte-Ciel, des immeubles, tous plus grands les uns que les autres.

Quant à la Capitaine Érioglie, elle, habitée dans une maison en campagne au bord de la forêt, celle qu'on appelait : la " Viride Silva ", qui signifiait, la « Forêt Verte ». Natacha possédée une voiture, une maison assez grande, une moto et un hélicoptère, qui lui fût léguée par son grand-père quelques jours après son décès. Elle était en couple, avait deux enfants, un garçon de sept ans, il se nommait Antoine et une fille, l'aînée, elle avait treize et se nommait Éléonore, elle était en quatrième ; son mari, lui, se nommait George Wanhulman, il était professeur de français. Il avait trente-trois ans et elle trente-quatre. Elle avait une sœur et lui deux frères, la sœur du capitaine n'était pas mariée ni même en couple en revanche, pour les frères du mari de la capitaine, ce n'était pas pareil car un était séparé mais il s'est peu de temps après mariée à une autre femme. L'autre était homosexuel, il était juste en couple mais pas marié. Mais elle se disait qu'elle allait pouvoir, pensait-elle, bientôt reprendre ses esprits et traîner ailleurs car être gendarme, ce n'était pas rien ! Elle prit alors sa voiture et retourna chez elle, là-bas, son mari était en train de corriger des copies, il était actuellement en train de mettre un deux sur vingt. La capitaine se dit qu'il aurait dû mieux faire, cette élève-ci, après tout peut-être n'avait-il pas compris, alors le verbe devoir n'était plus approprier, mais le verbe pouvoir pourrait éventuellement marcher. En tout cas elle se dit qu'elle n'aurait pas obtenu cette note, elle n'aurait pas eu un vingt mais un zéro, pensa-t-elle ! Ses enfants quant à eux dormaient, ils avaient école et collège le lendemain, alors elle décida qu'elle allait en faire autant car demain une grosse journée l'attendait, le préfet, le maire et le général de la gendarmerie de Résopolis venait visiter ou plutôt inspecter sa caserne. Mais avant de se coucher, elle embrassa son homme, prit un verre et le rempli puis mis de l'eau et avala un cachet ; un terrible mal de tête se promenait dans sa tête, elle se dit qu'après une nuit de bon sommeil, il sera parti...

Le lendemain, elle se réveilla vers six heures et quart, elle s'habilla, dit bonjour à son compagnon qui, lui, était levé depuis un quart d'heure, déjeuna en sa présence, se lava les dents, farfouilla par-ci, par-là en cherchant et regardant des dossiers, parfois incomplet, ou même, inachevé ou bien même avec rien à l'intérieur. Elle rebut un café, monta les escaliers et alla réveiller ses enfants, elle leva en premier sa grande fille, elle lui fît un bisou, lui donna sa télécommande de volet et la laissa se débrouiller seule, en revanche, c'était plus compliqué pour son autre enfant, le plus jeune, lui, mettait du temps à se levait, des fois, il ne voulait tout simplement pas, mais souvent c'était qu'il était endormi trop profond pour se réveiller mais appart cela, c'était un garçon tout à fait débrouillard, il imiter tout ce que son père faisait ! Elle lui donna sa robe de chambre, lui ouvrît son volet et lui fît un gros bisou ! Ils descendirent tous et les enfants déjeunèrent, le père prît avec lui sa fille et ensemble, ils partirent au collège dans une voiture rouge. Quant au frère et à la mère, ils attendirent dix minutes de plus avant de partir, quand enfin il fût prêt, elle prît son arme dans un coffre à double sécurité, un code et une clef ! Et puis ils partirent à bord d'une voiture blanche, ils mirent environ cinq minutes à arriver à l'école et trois autres pour se garer car, près de l'école, les places étaient limitées. Mais ils arrivèrent à l'heure. Elle le déposa devant sa barrière, lui dît un dernier au revoir, et tout en lui souhaitant un bon après-midi, elle repartit en direction de sa voiture, l'ouvrît et partie vers la gendarmerie.

Meurtre au Lac CanispiroOù les histoires vivent. Découvrez maintenant