Chapitre 2 : Meurtre au Lac

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La gendarmerie de Résopolis était la plus grande de la ville, car tellement la ville était grande que, pour couvrir toute celle-ci il fallait 5 gendarmeries, et celle de la capitaine Érioglie était la principale, elle se nommait la gendarmerie Pixel, car à côté de celle-là, il y avait un mur où des tagueurs avaient rempli le mur de dessins pixelisé ! C'était également la seule gendarmerie où on pouvait y trouver une brigade de recherche criminelle. Lorsqu'elle arriva, elle tapa le code de la barrière qui était 3503 puis elle entra dans le parking souterrain de la gendarmerie, sa place était située juste à côté du « garage des véhicules de patrouille », là était placée des voitures, fourgons, et plein d'autres véhicules, vingt-quatre était le numéro de la place de la Capitaine. Elle coupa le contact, descendit de sa voiture et s'en alla vers l'escalier qui mené aux bureaux, en cours de route, elle croisa son collègue, le major Guoit, elle lui dit bonjour d'un bref mouvement de main et tout de suite après sans s'attarder, elle continua sa route vers sa destination, l'accueil, où une fois arrivée, elle devrait rendre un dossier qu'elle avait emprunté à un collègue, la brigade était obligée d'emprunter et d'étudier d'autres affaires que celles pour lesquels ils ont été former. C'était pour la simple raison que, il n'y avait presque jamais d'affaires criminelles, il y en avait au moins trois par an mais pas plus ! Alors avec l'équipe, ils étudiaient d'autres affaires, et, elle avait terminé d'étudier celle qu'on lui avait présentée et donner l'ordre de travaillés dessus. Quand elle arriva, elle dit bonjour aux collègues quels croisa, et déposa son dossier à l'accueil, ensuite elle prît un ascenseur et monta au quatrième étage, c'était là qu'étaient situés les locaux de la brigade de recherche criminelle, pour entrer dans ces locaux, il fallait présenter son badge, elle le présenta donc, alla dire bonjour à son colonel, le colonel Richard Malir, il avait la cinquantaine mais il était aussi drôle qu'un jeune de vingt ans ! Puis, elle alla faire un bonjour, au lieutenant Guistet, son prénom était Marc, mais on l'appelait Guisma, c'était une combinaison de son nom et de son prénom, cela ne le dérangeait pas, il était très ouvert d'esprit, et quand il devait parler de lui, il s'appelait lui-même Guisma ! Elle retourna ensuite demander au colonel, quand arriveraient le préfet, le maire et les autres... 

En attendant, elle se mit à rechercher du travail sur son ordinateur, elle alla fouiller dans des casiers judiciaires, en ajouta, en supprima car il devait le faire, pourquoi, c'était un mystère mais elle effaça certains casiers. Quand vers environ, dix heures, le préfet, le maire et tous les autres qui devaient venir, arrivèrent, ils se mirent autour d'une table, et commencèrent à parler, à se féliciter et plein d'autres choses, cela dura jusqu'à midi environ, vers ces eaux-là, ils allèrent manger à la cafétéria de la gendarmerie, ils continuèrent ainsi à discuter pendant presque une heure autour de la table à manger. Quand ils remontèrent, ils discutèrent non pas cette fois du beau temps et tralala mais plutôt d'affaires avec le procureur qui les avaient rejoint quelques minutes après avoir fini de manger. Ils parlèrent d'affaires très diverses comme d'affaires plus extravagantes les uns que les autres, comme ils leur restèrent du temps, ils parlèrent de leur famille, de leur enfant, de mère-grand qui les énervés et puis vers seize heures de l'après-midi, le téléphone sonna, cet appel provenaient des pompiers, celui qui parlait déclarèrent alors :

« Bonjour, ici les pompiers de Résopolis, nous venons de retrouver quelqu'un de décéder au fond du lac Canispiro, venez vite, nous n'avons touché à rien. »C'est ainsi que la capitaine répliqua :« C'est entendu, nous serons présents dans quelques minutes ! »Et d'un coup, tous les membres de la brigade, prirent leurs armes, leur gilet pare-balles, et ils enfilèrent leur brassard portant l'inscription : « Gendarmerie ». Ils descendirent ensuite dans le garage à véhicules, où là-bas, ils prirent des voitures et fourgons différents, la capitaine quant à elle, prit sa voiture, posa son gyrophare sur son toit, enclencha la sirène et partit au quart de tour en suivant ses collègues pour allait rejoindre la scène de crime en question. Ils arrivèrent environ un quart d'heure après, ils commencèrent par baliser le périmètre de sécurité et ensuite, ils allèrent voir le pompier qui les avait appelé. Ils allèrent ensuite voir celui qui sans lui le corps n'aurait jamais été découvert et serait resté ici à se décomposer dans l'eau si pure du lac, un certain Mr Luc Johns.La capitaine s'en approcha, le salua et commença à le questionner :

- Bonjour Mr, Capitaine Érioglie, gendarmerie nationale, Brigade de recherche criminelle.

- Oh, bonjour.

- Je vais devoir vous poser quelques questions.- Mais, allez-y, je vous en prie.- Très bien, commençons, comment avez-vous découvert le corps ?- C'est très étrange, car je me promenais sur la rive, quand tout à coup, une personne en trottinette a débarqué à fond, pour l'esquiver, j'ai dû sauter dans le lac, j'ai atterri face contre eau, et,de là, j'ai aperçu le corps, il était attaché à des boulés, et c'est tout.- Très bien, merci.Natacha retourna voir le colonel Malir, ensemble, ils discutèrent longuement :- alors Natacha, qu'avons-nous là ?- Un meurtre sans aucun doute, il s'agit ici d'une vengeance, enfin, c'est mon intuition ...- Tes intuitions sont toujours bonnes !Peux-tu te charger d'aller voir la brigade subaquatique, et, s'il te plaît, leur demander de remonter ce corps dans les plus brefs délais, je t'en remercie d'avance ... - Très bien mon colonel, et, qu'allez-vous dire au préfet ?- Des choses qu'il n'aurait jamais voulu vivre. Dit-il d'un air amusé.La capitaine Érioglie s'en alla donc imminemment vers le camion de la brigade subaquatique, elle leur demanda ainsi de remonter le corps au plus vite. Ils répondirent « Oui, tout de suite capitaine ! » et alors, ils se mirent en route, prenant leur bateau ainsi que leur équipement et d'un bref signe de main, ils leur indiquèrent qu'ils plongeaient et en un instant, ils se retrouvèrent sous l'eau et environ dix minutes plus tard, ils remontèrent avec le corps.

On leur donna l'ordre de le donner au légiste présent sur les lieux, le légiste David McBubee, dès qu'il reçut le corps, il l'examina vite fait puis d'un coup sec, le monta dans le camion du légiste et partit en route de la gendarmerie en compagnie de quelques collègues.

Meurtre au Lac CanispiroOù les histoires vivent. Découvrez maintenant