Meurtre au Lac Canispiro

Chapitre 3 : Poison et Menace ne font qu'un

Quand les enquêteurs eurent fini d'examiner la scène de crime, ou plutôt, le lieu de la tentative de dissimulation du corps, car oui, la capitaine en était sûre, ce n'était pas là que le meurtre avait eu lieu, et, elle en aurait la confirmation lorsqu'elle eut vu le légiste. Mais en attendant, l'équipe et elle rentrèrent à la caserne où, là-bas, les attendaient en haut des marches, la nouvelle recrue dont avait ce matin même parlait le préfet. Qui était-il, ça, personne ne le savait, mais, apparemment, il avait vingt-cinq ans ... Après, le reste de ce jeune homme, restait à découvrir ... Une fois les présentations effectuées, ils montèrent tous, sans exception, dans leurs bureaux. Ils se dirigèrent ensuite après une demi-heure de travail personnel, dans la salle de réunion, ils s'assirent tous à une chaise, et les uns après les autres, présentèrent ce qu'il avait trouvé. Le lieutenant avait rechercher les disparitions récentes et, il en avait fait la liste, mais aucune personne récemment disparue ne correspondait à la description du corps que le légiste avait effectué. Après le briefing, chaque membre de l'équipe retourna dans son bureau. De son côté la capitaine, alla voir le médecin-légiste. Quand elle entra, David lui dit alors imminemment :

- Met un masque, l'air en devient presque irrespirable, voir même toxique !!!

- Mais pourquoi David, qu'est qui a provoquer cette odeur immonde ?! S'empressa d'ajouter Natacha

- C'est le corps Natacha, il dégage une odeur infecte.

- Mais comment cela ce produit-il ?!

- Je me suis posé moi-même la question, et, j'en suis venu à la conclusion que ...

- Que quoi David ?!!!

- Qu'il avait était empoisonné ma chère Natacha.

- Le corps ?! Dit-elle surprise.

- Oui Natacha, cette personne, enfin, son corps...- Tu veux dire que cette personne a était tué par Elle n'eut pas besoin de finir, sa phrase car le médecin légiste McBubee la finit pour elle.- Empoisonnement, oui, c'est exact.- Et sais-tu quel type ou même quel est ce poison .- Non ma chère Natacha, je ne peux te dire quel est le poison qui a était utilisé pour faire mourir cet homme mais je peux tout de même te dire qu'il n'est pas mort en deux secondes mais plutôt en, dirais-je, une semaine et que juste avant sa mort, qu'il s'est battu.- Donc c'était un poison lent mais - Très puissant, oui je te le confirme.- Autre chose ?- Oui, je peux aussi te dire que dans quelques heure maximum, nous aurons les résultats de son identité, Liliane étant présente aujourd'hui, je lui ai donné cela à faire, elle n'avait rien à faire. Dit-il sur un ton amusé.

 - Très bien, merci beaucoup David.

Sur ce, elle s'en alla mais avant quelle est pu franchir la porte il annonça si brutalement, quelle en eut peur.- J'ai oublié de te dire que sa mort remonte à moins de quarante-huit heures.- D'accord, merci !Elle cette fois, elle s'en alla, remonta, transmis toutes les informations à l'équipe et ensuite retourna dans son bureau en attendant avec impatience les résultats du laboratoire mais ils n'arrivèrent pas dans la journée alors, elle prit ses affaires, dit un dernier au revoir, et puis, elle s'en alla chez elle ...Sur le trajet du retour, elle s'arrêta acheter du pain chez la boulangère, son amie, Maélysse Mapague, elle acheta deux baguettes traditions, puis, elle reprît la route et s'en alla chez elle. Lorsqu'elle arriva, son George était déjà là et Éléonore également, car, ils finissaient tous deux à quinze heures vingt, alors elle leur dit rapidement ce qu'elle avait fait de sa journée, puis elle alla rapidement prendre une douche, se rhabilla, et elle leur dit :- Je vais chercher Antoine, je suis là dans un quart d'heure, pourriez-vous réparer cette fichue barrière ?- Oui, chérie, à tout à l'heure.Natacha sortit, monta dans sa voiture, et, partit en direction de l'école d'Antoine. Lorsqu'elle arriva, la classe d'Antoine n'était pas encore sorti, son amie Maélysse, était présente, elle avait un garçon, un dénommait Pierre. Ensemble, elles discutèrent, et, quand la sonnerie retentit, elles allèrent ensemble chercher leur fils. Ensuite, elles repartirent chacune de son côté, avec Antoine, la capitaine remonta dans la voiture et repartit chez eux.Lorsqu'ils aperçurent leur poteau de chemin, Antoine eut très peur, car, un dessin au sang avait été dessiné, un cœur brisé en deux plus une inscription :« Ne t'avise surtout pas de continuer tes recherches ». Aussitôt, elle prévint le colonel, il lui dit d'immédiatement devenir à la caserne avec toute sa famille, et que, quand elle entrerait chez elle, quelle sorte son arme, on ne sait jamais ce qui aurait pût prendre le mystérieux individu qui avait écrit ce message ainsi qu'une patrouille et lui-même arriverait sur les lieux dans quelques minutes. Alors, elle descendit immédiatement de sa voiture et prit Antoine par la main et elle lui dit- Surtout, quoiqu'il se passe, reste près de moi, c'est compris .- Oui maman, mais pourquoi ?- Il y a peut-être quelqu'un dans la maison qui n'a rien à faire dedans.Ils poursuivirent leur trajet jusqu'à leur maison, et, en effet, la porte était ouverte, elle commença alors à pointer son arme vers la maison et cria- Gendarmerie Nationale de Résopolis, montrez-vous immédiatement, je suis armée !Elle n'eut que pour réponse le miaulement de son chat ...Alors devant-elle, son mari et sa fille apparurent tout étonnés. Ils demandèrent :- Mais enfin, Natacha pourquoi as-tu sorti ton arme ?- Y a-t-il quelqu'un d'autre dans la maison ?- Non, mais, pourquoi ?- Car il y a quelqu'un qui m'en veut et moi et le colonel pense que cette personne pourrait vouloir s'en prendre à vous !- Euh, mais alors ...Et tout d'un coup, un bruit semblable à une explosion, alors telle une personne prête à tout, elle se jeta sur George, Antoine et Éléonore et d'un coup, elle les projeta au sol. Elle se leva ensuite, son arme pointée sur une quelconque personne ou objet, mais rien appart un gros pétard au milieu de sa cour, elle ordonna aux autres de rester à terre tant que les renforts ne serait pas arrivé, elle tendu un couteau à George, puis, d'instinct, elle entra dans la maison son arme tendue devant-elle, elle inspecta d'abord le rez-de-chaussée. Ensuite, en deuxième, elle monta à l'étage, alors quelle s'apprêtait à entrer dans sa chambre avec son arme toujours tendue, elle entendit quelqu'un s'écriait :« Gendarmerie Nationale, Natacha Érioglie, êtes-vous là ? »Elle répondit aussitôt :« Oui, ici, à l'étage »Aussitôt annoncé, une dizaine de personnes entrèrent, armes tendues, et environ la moitié de ces personnes y compris le colonel Malir montèrent à l'étage, pour, aller chercher Natacha, et, pour finir l'inspection qu'avait commencée la capitaine. Le reste des gendarmes restés à l'extérieur interrogèrent sa famille et essayèrent de relever des empreintes sur le mur où l'inscription avait était tracé ...