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Ryad: J'te parle mal tu vas faire quoi ?

Bilal: Eh Ibtissam dit à ton pote de se calmer avec moi

Ryad: Wsh laisse la en dehors de ça y'a quoi ? T'es fan d'elle ? Et j'suis pas son pote tahu donc ferme ta gueule

Bilal: Bah dit à ton pd de se cal-

Ryad lui a donné un coup de poing et ils ont commencé à se battre

Moi: Arrêtez ! Il est 4h !

Ils se battaient de plus en plus sérieusement, je pouvais pas les arrêter donc ma crise d'angoisse a recommencé, je commençais à respirer très fort, je voyais presque plus rien, j'avais besoin de mes médicaments

Moi: Aidez...moi

J'entendais toujours des coups quand soudain je suis tombée au sol parce que j'étais trop faible mais j'étais toujours consciente

Je leur demandait de l'aide mais j'arrivais même pas à respirer

Ils se sont tout les deux précité vers moi

Ryad: Oww Ibtissam t'as quoi ?

Bilal: J'pense elle fait une crise d'angoisse

Ryad: Donne de l'eau

Ils m'ont donné de l'eau et j'ai bu, je me suis blottie contre Ryad, son absence m'avait beaucoup affecté, quelques minutes plus tard j'ai repris mes esprits donc je me suis levée

Ryad: Ça va mieux ?

Moi: T'approches pas de moi

Ryad: Mais wsh

Moi: Y'a pas de « wsh » Ryad, tu répondais jamais à mes appels et tu reviens en te battant avec mon ami, non mais tu vas pas bien !

Ryad: C'est moi qui va pas bien ? J'rentre de mon voyage pour te faire une surprise et j'te vois avec un keum dans la rue à 4h du sbah

Moi: Bilal rentre chez toi t'inquiète pas pour moi

Ryad: Ah ouais quand c'est lui t'es bien douce

J'ai fait un câlin à Bilal

Moi: Smeh

Bilal: Me3li-

Ryad nous a séparé

Ryad: Toi là tu me prends trop pour un con ?

Bilal est parti donc je me suis retrouvée seule avec lui

Moi: Pourquoi t'ignorais mes appels ?

Ryad: Parce que j'sais que si j'entendais ta voix, j'aurai tout de suite envie de rentrer

Moi: J'ai eu mon bac...

Ryad: Ouais j'sais mon sang, j'ai vu ton message c'est pour ça j'suis rentrée, w'Allah j'suis farhane de ouf, au moins nos enfants ils auront un de leur parent qui aura réussi sa vie, bsahtek !

Ibtissam: « Jusqu'à notre dernier souffle »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant