Chapitre 48

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-Pdv extérieur

-RETOUR AU PRÉSENT

Yoruishi: Voilà, vous savez tout

Ojiro: C'est horrible et tu sais comment il va maintenant?

Yoruishi: J'en sais rien, ils ne veulent rien me dire

À l'accueil, Naoki était en train de s'énerver contre le personnel

Naoki: Comment ça, vous ne voulez rien dire sur son état?!

Homme: Désolé, si vous n'êtes pas de sa famille, je ne peux rien vous dire de plus

Naoki: Comment ça, je connais Denki depuis qu'il est gosse, c'est comme si c'était un membre de ma famille, alors je mériterais d'en savoir plus!!

Homme: Monsieur, calmez-vous, vous êtes dans un hôpital!

Naoki: Je me calmerai si je sais s'il va survivre ou pas!

Homme: Je ne peux pas

Naoki: QUOI?

Homme: Si vous ne vous calmez pas, vous allez être viré de l'hôpital!

Naoki: Essaye un peu pour voir!!

Il le prit par le col et allait le frapper, mais Hanta l'arrêta, l'éloigna

Hanta: Excusez-le, il est assez nerveux!

Naoki: T'es venu?

Hanta: Ouais, ta sœur m'a prévenu

Naoki: Elle a pu faire une bonne chose ce soir

Hanta: Monsieur, sa famille a tout de même amener Kaminari ici alors le minimum est légitime

Homme: Bon, votre ami est entre la vie et la mort. Chaque seconde compte

Naoki: Ben voilà, c'était pas compliquer à dire

Ils sont allés, ensuite, vers les autres

Hanta: Je te présente Ojiro, un ami de travail de Denki

Ojiro: Salut

Naoki: Salut

Yoruishi: Alors?

Naoki: On sait juste qu'il est à cinquante pour-cent de vivre ou mourir

Yoruishi: Oh non, c'est pas vrai

Ojiro: L'un d'entre vous a averti sa famille?

Yoruishi: Pas moi, j'aurais pas le courage

Hanta: Moi aussi

Naoki: Nos parents s'en aient déjà chargés

Yoruishi: Tout est arrivé si vite, c'est dingue...

Naoki: Vous comprenez comment s'est arrivé parce que je suis paumé?

Les garçons se regardèrent entre eux

Ojiro: C'est sûrement lui

Hanta: C'est bizarre parce que Denki n'avais rien fait après son retour

Ojiro: Je comprends pas non plus

Naoki: De quoi vous parlez?

Ils lui expliquèrent et leurs suppositions

Naoki: Woah, c'est dingue. Encore plus tarer que moi

Hanta: C'est clair

Yoruishi: C'est ma faute, tout est de ma faute!

Hanta: Quoi, qu'est-ce que tu racontes?

Yoruishi: Si ce que vous racontez est vrai? C'est à cause de moi si Kaminari est dans cet état

Elle tenait sa tête, au bort des larmes

Hanta: Arrête de dire n'importe quoi, le coupable, c'est Sen-

Yoruishi: Non, c'est moi qui est averti Jirou de ce que Kaminari avait subi à l'hôtel!

Ojiro: Quoi, tu as fais ça?

Yoruishi: Je ne pouvais pas supporter de le voir comme ça, alors je lui ai tout raconté. Je suis désolée, c'est à cause de moi!

Naoki: Arrête de dire des conneries où tu vas m'énerver!

Yoruishi: H-Hein?

Naoki: Tu as fais la bonne chose et l'autre qui n'est pas capable de contrôler ses pulsions meurtrière, est le seul responsable

Hanta: Il a raison, ne te fait pas de mal

Les parents du blond sont arrivés avec leur fille. Ils étaient complètement anéantis. Yoruishi, Hanta, Ojiro et Naoki sont allés les voir. La mère était en pleure, le père perdu et Anae...Elle secoua le bras du brun

Anae: Es-ce que c'est vrai, mon grand frère est blessé?

Hanta: Oui

Anae: Mais il va vite s'en remettre, pas vrai?

Personne ne disait rien. Elle posait la question à tout le monde

Anae: Pourquoi personne ne me répond?

Les parents de Yoruishi étaient enfin revenus. On dirait qu'ils sortaient d'un film d'horreur avec le tas de sang sur leurs vêtements. C'était encore moins rassurant

Anae: Comment va mon frère?

Eux non plus, ils ne répondaient pas. Ça commençait vraiment à la stresser. Hanta la prit dans ses bras

Hanta: Je suis désolé mais ton frère...

Anae: ....

Hanta: Est à deux doigts de la mort

Au fond d'elle, elle le savait déjà, mais se refusait d'y croire. Ni une, ni deux, elle fonda en larmes sans pouvoir parler. Ça n'a fait qu'accentuer la peine de tous

En ce moment, plusieurs doivent être perdues et pensent que c'est allé trop vite. Pour mieux comprendre, il faut revenir en arrière de nombreuses semaines, mais du côté de Jirou Kyoka. Lorsque Sen était allé lui faire à manger

URGENCE

Par: Sophia Goudet

Vie d'artiste Où les histoires vivent. Découvrez maintenant