Je déteste cette putain de ville.
Je commençais à l'apprécier,mais tout ce que j'apprécie commence à me dégoûté comme tout les gens que je connais.
C'est plus fort que moi à vrai dire.
C'est comme-ci je détestais tout le monde sans vraiment savoir pourquoi.
Ça faisais maintenant plusieurs semaine ,voir plusieurs mois que je n'avais pas adressé ,ne serais-ce qu'un mot à ma mère.
Elle doit me détester au plus haut point.
On pourrait dire que les mères ne pourront jamais détester leurs enfants,mais moi j'étais l'exception.
Il fallait bien une exception à tout.
C'était sur que ma mère,elle,sans foutais et me détester.
Mais c'était clairement réciproque.J'ai beaucoup parlé à la seul personne que je pouvais encore cerner "rue".
Je lui avait dis tout ce que j'avais sur le coeur.
Et pour que j'aille mieux elle me proposer de me shooter.
Et je lui disais d'un grand sourire « me le dis pas deux fois »
Et je faisais à chaque fois la même erreur.
L'erreur d'accepté,accepté et encore accepté de prendre de la merde.
Mais ni elle ni moi était la cause de ce problème.
On été juste trop atteinte désormais pour pouvoir sans détacher aussi tôt.
C'était déjà trop tard mais ça je ne le savais pas.
Fin je le savais mais je le niais.
Comme chaque chose de ma vie enfin de compte.Pour tout vous dire les effets, les risques et les dangers des drogues varient suivant les substances et l'usage qu'on en fait.
Il y a les risques psychiques qui sont :
– Difficultés de concentration,
– Troubles de la mémoire,
– Déformation de la perception de la réalité,
– Nervosité, agressivité,
– Anxiété, dépression,
– Risque de suicide.Le plus dure ce n'ai jamais de commencer mais de s'arrêter et j'avais peur d'arrêter.
Ça me bousiller le corps et ça je le savais.
Mais je pouvais rien n'y faire.J'étais devenu dépressif,à l'idée de l'être,à l'idée de retourner en cours, à l'idée de s'excuser pour les coups de putes que j'avais fais.
Tout étais si dure,ou je me compliquer juste la vie.
Allonger ,la tête sur l'oreiller ,mes yeux en direction de mon écran.Mes pensées qui divaguent n'importe où.
Je regarde du coin de l'œil si quelqu'un passe dans le couloir.
Et je vois ashtray passer.
Je décide de hausser la voix et de l'appeler.
Il fait demi tour et revient.« Oui ?me dit-il sérieux.
Et puis je ne sais plus vraiment quoi dire.
-y'a une fête chez loran.
Loran c'est un pote à une pote à un pote à moi.Il me regarde sans rien dire avec un air qui me laisse comprendre « t'es sérieuse ? ».
Puis quelques seconde après il répond enfin.
-Ok,bon je viendrai peut être avec fezco.Je répond seulement avec satisfaction « mmmh ok »
Le soir venue , je suis prête.
J'ai mis un haut corsé noir ainsi qu'un taille basse noir.
Je me suis maquiller comme d'habitude.Mes mains posée sur le lavabo ,mon regard fixe sur le miroir.
Mes pensées qui partent vers des choses incomprises.
Un sachets posé à ma droite beaucoup trop tentant.
Et puis les secondes se brises pour que ma main suives la direction du sachet en plastique ,pour que quelque instant après la poudre pénètre dans mon nez.
La sensation de la poudre me gratte instantanément le nez.
Et puis un nouveau regard sur le miroir , en voyant la fille dégueulasse de l'intérieur que je suis devenu.Je pousse la porte ,et marche vers l'entrée ou je cherche désespérément la clé.
Puis j'entends le bruit des clés à quelques mètres de moi.
Je me retourne et je vois ashtray face à moi entrain de faire bouger les clés.« C'est ça que tu cherches ,peut être ?me dit-il.
-oui ash ,c'est ça tu peux me les passer maintenant ?lui demandais-je désespéré par son comportement enfantin.
-Non j'attend maddy pour fermer la porte après, donc tu peux y aller.Maddy ?
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ashtray (2)
ActionNe convient pas au personne sensible. "Parfois ça peut être facile de dire...mais difficile d'admettre" Dans cette deuxième partie de mon histoire nous allons retrouvé le personne de emma plus principalement.