Une vie qui ne finit pas,
Et pourtant le son du glas.
La mort se hâte a grand pas
Sur cet esprit désormais las.Autrefois elle pensait,
Pouvoir un jour, en réchapper
Mais sa fatalité la suivait
Sans jamais se reposer.Une vie qui chute
Une vie sans but
Et qui pourtant avance.
Esprit aux portes de la démence.La peur de son poursuivant,
La peur des revenants,
Tout ceux, par notre faute, blessés,
Tout ceux qui, la nuit, hante notre psyché.Et cet esprit continue sa route,
Fuyant ce qu'il redoute.
Un périple qui n'en finit pas
Et toujours ce son du glas.Quatre.