« 4 : Du rouge sur le carrelage. »

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TW: Drogues, résultats morbide, automutilation et tentative de 🇨🇭cide.

Narratrice :
1 semaine plus tard :
Il est 3h 45 du matin, elle rentre de boîte de nuit, complètement alcoolisée. Elle tient à peine debout. Son réflexe est de prendre ses écouteurs et lancer une musique. C'est tombé sur « Les prélis ». Elle rentre dans le métro, sa peau bouillante effleure la bar auquel elle est accrochée. Elle hallucine, elle se laisse flotter sur le son qu'elle écoute. Une personne l'appelle en vain, elle ne l'entend pas du tout...

Lujipeka :

- Putain! Elle m'entend pas ou elle se fous de moi !?
Je lui retire un écouteur, elle se retourne. Ses pupilles sont dilatées, elle tient à peine debout.
- Ou- Ouais !? Me demande t-elle.
Je la regarde de haut en bas. Cheveux détachés, pupilles dilatées, mascara qui a coulé à cause de sans doute des larmes, robe noire, collant, bijoux et chaussures. Elle a l'air de pas comprendre son état. Elle doit sans doute faire un « Bad trip ».

Roxanne :

C'est moi ou le monde tourne à l'envers ? J'aurais pas du fumer ces pets... Je regarde la personne attentivement. Je vois des gens me parler, me frapper et des monstres me regarder. Du sang sur mes mains. Je ressens plus rien, physiquement et mentalement. Les cries résonnent. J'crois j'vais mourir. Je pleure en même tant que rigoler. J'entends des gens m'insulter. Les corps se mélangent, autant que les émotions. Un brun le prend la main pleine de sang. Il me prend hors du métro et me pose contre un mur. Je vois du sang au sol, des cadavres, le mien y est aussi. Je fond en larmes de peur. Le mascara me brule les yeux qui sont déjà défoncer. J'suis fonceder. Mais j'garde le smile jusqu'aux oreilles. Il me regarde. Son visage est déformé, il est en sang. Il me reprend la main et me guide jusqu'à mon présumé appartement. Je veux pas rentrer, il est dans un pire état que le métro... Le gars me dit que si je vais pas bien j'appelle. Il part. Je vais pas survivre, faut que je meurs avant de vivre l'horreur ?! Je défonce touts les tiroirs, en recherche d'une arme. Je trouve un couteau. Je regarde autour de moi. J'envoie un message au gars qui m'a ramené.
« Roxanne : Au revoir ! »
Je prend le couteau et me coupe du poignet jusqu'au coude. Je regarde le couteau en sang, tourne la pointe du côté de mon ventre. Un gros bruit résonne, un gars vient et me vole le couteau. Un autre rentre en panique comme le 1er. Il jette le couteau par terre et me sert contre lui pour que je ne puisse pas bouger d'un poil. Ses cheveux me gâche la vue. Face à ça je rigole. Il me pose allongé sur mon canapé et parle avec l'autre. Le deuxième gars le fixe dans les yeux. Je me lève et fais le tour de mon salon. Je regarde mon carrelage et y vois du sang s'écouler de moi même. Le sang vient de mon bras.
Les gars me prennent chacun un de mes bras et me font monter dans leurs appartement. Ils m'assoient sur leur canapé , s'assoient eux aussi et me demandent si je vais bien. C'est trop tard, ma tête est déjà sur un épaule d'un d'eux deux. Je dors après ces 2 nuits blanches à écouter de la musique. Celui à ma gauche part, celui à qui j'ai la tête posée sur l'épaule reste. Il me prend et me pose dans un endroit inconnu. Puis les bras de Morphée m'emportent.

La reine du bal [ En pause ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant