Le Monument des Hokage.
Trois visages sculptés.
Je m'étais réincarné dans naruto.
J'étais à konoha.
Je commençai à marcher vers la forêt, et à peu près une heure et demie plus tard je me retrouvais devant la porte de l'orphelinat. En entrant, je n'entendis pas de bruit, personne ne s'était réveillé, je fermai la porte d'entrée, je remettai la chaise ainsi que l'écharpe à leur place et fis un petit tour à la salle de bain pour enlever la saleté que j'avais sur le visage et les avant-bras puis j'alla au lit.
J'étais dans l'univers de naruto.
C'est une réalité, après ce que j'ai vu, je ne peux pas continuer à dire le contraire, je n'aurais sûrement jamais les réponses aux questions du type comment et pourquoi alors autant ne pas me les poser.
Je ne peux rien faire d'autre que de vivre cette vie même si ça me paraît impossible de commencer à vivre ici comme si de rien n'était, peut être qu'un de ces jours j'y arriverais où peut-être que même après avoir passer mon existence entière ici je n'y arrivera pas, mais pour le moment je ne peux rien faire d'autre que d'accepter la situation, ne pas y croire ne m'avancera à rien, j'ai tout une vie pour l'accepter et m'adapter je devais l'avouer une bonne fois pour toute une bonne fois pour toute, J'étais à konoha.
Il y a autre chose le Monument des Hokage n'a actuellement que 3 visages, je ne me trouve pas au début de l'anime, naruto n'est pas encore né, et ce n'est pas n'importe quelle guerre, c'est une guerre de ninja, à konoha les enfants diplômés de l'académie sont envoyés tuer et les enfants civiles sont utilisées pour les expériences d'orochimaru et danzo.
Au tout début je comptais utiliser mon esprit d'adulte pour vivre une longue vie sans soucis, mais avec les connaissances que j'avais de ce monde, je doutais que ce soit possible, durant toute la période de naruto à naruto shippuden, le village a été attaqué à multiple reprises, je n'imaginais même pas le nombre de victimes qu'avait fait l'attaque d'orochimaru ou celle de kyubi, la vie d'un civile à konoha sera incroyablement compliquée dès le début de l'anime et peut-être même avant, est-ce que j'étais prête à prendre le risquer de finir en pierre tombale dans le cimetière de konoha ? Eh bien non, est-ce que j'avais envie de me faire exploité par danzo, le Hokage ou ses conseillé ? C'était toujours non, et je ne concevais même pas l'idée de vivre dans un autre village, kumo certainement pas, je savais que sakumo hatake était encore adulé en tant que héros de konoha et qu'il y avait une guerre en cours, j'étais donc sûr d'être née pendant la 2e grande guerre, je ne prendrais donc jamais pas le risque de vivre à kumo alors que le village subit encore les attaque de hachibi.
Pour kiri, non merci, et je ne pense pas qu'on laissera un habitant d'un village ennemi aller vivre dans son propre village alors impossible d'aller à suna ou à iwa, et à cette période les petits villages finissaient la plupart du temps en terrain de guerre entre deux puissances. En clair je ne pouvais pas être une civile à konoha sans prendre le risque d'être exposé au danger, je ne pouvais pas aller dans un autre village, et je ne pouvais pas entrer à l'académie sans risquer que quelqu'un remarque que je n'étais pas tout à fait un enfant, honnêtement la dernière option paraissais moins risquer, je n'étais pas une génie, j'avais l'avantage d'avoir de l'avance et même pas complètement, si j'étais de la génération de itachi ou kakachi ils me battraient sans soucis car même avec tout la volonté et tout les efforts du monde je n'aurais jamais le niveau de l'héritier d'un clan aussi fort que celui des uchiha ou du fils d'un héros qui est comparé aux Sannin, cependant j'avais un avantage, j'étais née avant eux de plusieurs années, j'avais le temps de me former et d'apprendre les bases, et j'espèrais que ça allais être suffisant pour survivre aux trois prochaines guerre auxquelles je serai obligée de participé si je deviens ninja de konoha.
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Le cycle de la réincarnation
FanfictionJe m'étais réincarnée dans l'univers de Naruto. Je n'ai jamais eu peur de mourir. J'ai vécu le peu de temps que j'avais pleinement, et je m'attendais à ce que ma vie soit courte, ma maladie ne m'aurait jamais laissé vivre une longue vie. Je m'attend...