Retour à la réalité

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Nous sommes rentrés de la Guadeloupe avec Max et Happy, c'est bien dommage j'aurais voulu rester un peu plus longtemps, mais nos entreprises ne se gèrent pas toute seule. Je ne vais pas me plaindre parce qu'au fond j'adore travailler, ça me permet de me concentrer et d'oublier le reste. Je suis assise à mon bureau au côté de Simon, il a fini ses papiers tant dit que je n'en suis qu'à la moitié, cela me désespére mais gardons espoir.

Simon: Tu vas mourir toi.

Moi: C'est aussi flagrant que ça ?

Simon: Assez oui, à croire que tu préfèrerais t'envoyer en l'air avec Stark.

Moi: Dans le mille. J'aime bien le travail mais c'est sur que je préférerais être chez moi avec mon chien et monsieur je tire la gueule.

Il sourit, je l'entends tiré une chaise jusqu'en face de moi et il s'assied, je le vois prendre la moitié de la pille qui reste commençant à écrire avec un bique.

Moi: T'es pas obligé Simon.

Simon: Je sais mais j'ai envie.

Moi: J'imagine que c'est peine perdue pour te faire changer d'avis?

Il hoche la tête de haut en bas toujours en souriant. Je souris à mon tour et plonge ma tête dans les papiers, plus vite c'est fait plus vite je pars. C'est pas possible d'avoir autant de paperasse pourtant dès que j'ai un document je le fais.

Le soir:

Je suis rentré à la maison, Max m'a fait la fête et j'ai posé mes affaires dans le bureau avant de me mettre en pyjama. Tony est rentré peu après que je me sois mise devant la télé. Je l'embrasse tendrement avec ma langue et Max crie sur nous.

Tony: Ce chien va finir par me voler ma petite amie.

Moi: Aller va te changer, je vais lui faire la morale.

Il m'embrasse une nouvelle fois puis se dirige vers la salle de bain ou il avait laissé des affaires au cas ou il habiterait avec moi. Je dis à Max de sauter sur le sofa et il se couche entre mes jambes la tête sur mon ventre, je lui caresse la tête et il sourit.

Moi: T'as déjà bien grandi toi depuis 2 semaines.

Il tourne la tête.

Moi: Tu vas me faire craquer avec ta petite tête.

Il léche ma main en faisant allé sa queue (c'est un chien bande de pervers), je souris et pose mon front  contre le sien.

Tony: Il va vite dégager le chien, c'est ma place. Aller oust!

Il ne bronche pas d'une semelle et continue à me fixer.

Moi: Max tu veux bien laisser Tony venir à ta place?

Il se bouge en grognant légèrement.

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