Wild Burn

Ma sauveuse

Pdv Siena:

J'ouvre mes yeux , réveiller par les rayons du soleil qui m'aveugle légèrement, j'ai encore les yeux mouillés de ce qui c'est passé hier. Je suis soulagé d'avoir arrêté Tony avant qu'il aille trop loin. Je me retourne dans sa direction et il ouvre ses yeux à son tour.

Tony: Merci.

Moi: Je...je...mmh.

Il sourit à cœur ouvert et se rapproche de moi, posant sa tête sur ma poitrine et ses bras autour de moi.

Moi: Tony je suis heureuse que tout ça soit enfin fini.

Tony: A propos de ça...

Merde, il va pas me dire un truc dramatique? Si.

Moi: Pitié Tony dis moi que ce n'est pas grave ?

Tony: Tu te souviens d'hier ? Quand tu m'as demandé pourquoi je prend des médicaments.

Moi: Oui...

Il commence à enlever son t-shirt.

Tony: Ce qui me permet de vivre me tue peu à peu, mon cœur artificielle a développer une toxine, j'ai des cartouches de palladium qui me permettent de soulager un peu mais ça ne résoud pas le problème.

Il me montre sa nuque où il y a une espèce de technologie qui monte comme un plante grimpante.

Moi: Tony...

Tony: Je fais tout ce que je peux pour trouver une solution, j'ai tout essayé, toutes les combinaisons mais je veux juste te dire de ne pas trop t'attacher à moi pour les prochaines semaines car je ne garantis pas de rester en vie.

Moi: Il est hors de question que tu meurs et hors de question que je parte d'ici.

Tony: Mais...

Moi: Je vais t'aider, on va y artiver ensemble, on trouvera le bonne aliage pour que tu puisse vivre ta vie comme tout le monde sans prendre de dose régulière.

Il me regarde avec un air d'espoir, je le regarde en souriant et il se lève.

Tony: Tu peux me changer ma cartouche aujourd'hui ?

Moi: Bien sûr.

Il me montre une boîte de cigare que je prend et je choisis une des cartouches, il enlève sa batterie interne et enlève le morceau de palladium qui fume, je remplace le morceau et lui réimplante dans la poitrine.

Tony: Ahrm, putain ça fait du bien.

Moi: Bon je vais déjà travailler sur ce que je connais, mais je te promet que tu mourras dans très longtemps.

Tony: Okay je te suis.

Je sors du lit et me dirige vers un t-shirt sur la chaise que j'enfile avant de descendre au labo. Bon partons du fait qu'il a déjà essayé toute les combinaison d'éléments possible, il est donc probable qu'on doivent en créer un nouveau ce qui paraît totalement impossible. Mais depuis quand quelque chose est impossible pour une Jones. Je prends quelques heures à déjà tout analyser, je suis sûr une piste.