Chapitre 2

406 24 4
                                    

Il était une fois une princesse aimée de son peuple, elle était la plus douce et la plus forte de tout les  princesse passées. Elle s'est battue pour son royaume et était censé être un grand successeur. Jusqu'au jour où le royaume ennemi a décidé de faire un raid, ils sont  venus au château de la princesse détruit et ont tué tout le monde sans hésitation ni culpabilité. Tout cela parce que leur dirigeant était une ventouse pour le pouvoir et qu'ils ne pouvaient pas ne pas piller un royaume aussi riche.

Charlène était en  ville pour surveiller son peuple, elle s'occupait d'eux et voyait s'ils allaient bien et s'ils avaient besoin de quelque chose. Elle vit une femme âgée assise dans un coin, alors elle et ses gardes allèrent vers elle et s'accroupir devant elle.
-est-ce que Tuva bien ? elle demanda à la femme âgée,  la femme sourit doucement et enroula son écharpe autour de son épaule. Charlène enleva son manteau et le  mot autour de la tête de la femme pour la protéger du froid.

-votre altesse, vous allez avoir froid, protesta l'un des gardes, elle sourie seulement et lui  tapota l'épaule en disant qu'elle allait bien.  Tout le monde lui  sourit et inclina la tête en signe de respect alors qu'elle marchait gracieusement dans les rues. Elle sourit au forgeron qui  était un ami  cher de son père et il s'inclina puis se remit à fabriquer des épées.
Elle fut prise au  dépourvu lorsque les cloches d'urgence ont commencé à sonner fort, ses yeux s'écarquillerent et elle regarda  avec horreur la  porte de  la ville défoncée. Le  chef de  l'armée ennemi était assis sur son cheval devant les portes,  balançant l'épée dans sa  main avec suffisance. Elle ne pouvait pas voir  son visage à  cause de l'armure noire complète qu'il portait.

-vote altesse!  Vous  devez repartir!  L'un des gardes cria en essayant de la tirer mais elle l'arrêta, elle entra rapidement dans  la boutique du  forgeron et attrapa une épée déjà faite et coupa sa robe  jusqu'au genoux.  Elle regarda les objets pointus et fixa son reflet.  Elle balança l'épée autour d'elle, santant la  prise familière qu'elle aimait prenant une profonde inspiration, elle était déterminée à se battre pour  son peuple et elle allait le faire  elle même si cela signifiait sa perte.

Elle se tenu au milieu de la rue, traînant l'épée derrière elle, laissant une  longue queue de la porte du forgeron à l'endroit où  elle se tenait.  Le chevalier ennemi pencha la tête sur le  côté en la regardant curieusement puis pointa son épée vers elle. Ses hommes ont commencé à remplir la ville de tout les coins, quiconque venait dans sa direction était eventré. Elle esquiva  l'épée d'un homme et lui coupa la tête. Elle sourit au chevalier qui la  regarda toujours au loin. Ses hommes commencèrent à  venir pour essayer de repousser les  ennemis. Elle attrapa le bras d'un gars  et le fut trébuché, puis perça son épée dans sa poitrine.

Elle regarda autour d'elle et ses  hommes devenaient en infériorité numérique, elle devait rejoindre son père avant qu'ils ne le rejoignent en premier.
Elle recula et commença à courir vers le château, ses gardes la laissèrent entrer et fermèrent les portes. Elle vus  des  gens de la ville chercher refuge à l'intérieur et elle leur adressèrent un sourire rassurant et essaya de retrouver son père. Elle se dirigea vers sa chambre où il fessait les cent  pas, l'air terrifié.
qu'est-ce que tu  fait  père?! Nos hommes et notre peuple meurent et tu te caches?! Nous  devons les aider! Elle cria, il ne la regarda pas et ne dit rien. Il n'arrêta pas de marmonner un mot inaudible qu'elle pouvait comprendre.

-Nous devons nous rendre...non, nous devons, dit-il soudainement en l'attrapant  par les épaules, elle le repoussa et le regarda comme s'il était fou.
-Tu vas les abandonner? Maintenant? Quand ils ont besoin de toi?! Cria t'elle de frustration à son père, elle avait qu'il avait peur mais elle ne  la jamais vu comme un lâche. Elle était déçu de lui mais surtout d'elle-même parce que de tout les habitants du château, c'était elle qui était censée aider et protéger son peuple.

-Vous êtes un lâche! Elle couru hors  de la pièce avec l'épée toujours dans sa main pour entendre des cris de hurlements, elle eu été rencontrée par un homme ennemi avec son épée prête à la tuer. Il essaya de couper mais il n'était rien comparé à elle, elle se débarrassa rapidement de lui et lui poignarda le cou puis courut vers la salle. Le chevalier noir de tout à l'heure se tenait au milieu de la pièce avec des cadavres partout sur le sol des corps de ses hommes et de son peuple. Le chevalier la regarda et inclina à nouveau la tête, il semblait que c'était une habitude de montrer sa curiosité. Elle cria en le chargeant mais il déplaça juste son épée rapidement pour bloquer ses coups. Ils continuèrent à se battre et vous pouviez entendre le fort cliquetis des métaux les uns contre les autres. Il attrapa par le bras et la fit pivoter en essayant de pousser son épée vers son cou mais Charlène l'a bloqua avec sa propre épée. Elle senti l'armure de  métal appuyer sur son dos alors qu'il rapprochait son épée, il était plus fort qu'elle mais elle était plus rapide. Elle s'accroupit et se tourna en la frappant sur le côté, à sa grande surprise, le chevalier tressaillit mais cela sonnait plus féminin qu'elle ne l'aurait cru. Elle ignora ses pensées et chargea à nouveau sur lui, mais cette fois le chevalier se glissa sous elle puis la fit trébucher, la  faisant tomber en laissant tomber son épée dans le processus. Il pointa son épée plus près de son cou et elle ne le regarda qu'avec haine  et dégoût.

-Arrêtez, s'il vous plaît, elle entendît son père crier de l'autre côté de la pièce, le chevalier poussant toujours la pointe de son épée vers le cou de la princesse, il se tourna pour regarder le roi.

-Je ferait n'importe quoi, juste épargner sa vie et celle de mon peuple. Le roi tomba à genoux et tendit sa main devant lui d'une manière suppliante. Le chevalier repoussa l'épée de la princesse alors que ses hommes remplissaient et encerclaient la pièce. Il commença à enlever son casque et Charlène s'attendait à voir un homme barbu rugueux avec des cicatrices sur tout le visage à la place,  elle rencontra une silhouette féminine aux cheveux plus courts.

-Je m'appelle la reine Leonor  et vous me connaissez peut-être sous le nom de roi Léon le grand, et vous roi Henri, vous êtes un lâche et vous ne méritez pas ce  riche royaume. Elle s'approcha du roi avec un visage dégoûté, elle l'attrapa par les cheveux et le tira vers le haut en le fessant grimacer,  tous ses hommes commencèrent à se  moquer de lui alors qu'elle l'humiliait devant sa fille.

-Et maintenant tu me supplie d'épargner ta vie? Elle le poussa au sol,  Charlène courut vers son père et le serra dans ses bras de manière protectrice.

-Je te donnerait tout ce que tu veux, laisse-nous juste! Le roi a supplié,  il était trop vieux pour se battre alors il voulait juste sauver sa fille.

-Comme tu peux être pathétique roi Henri, gloussât elle en pointant son épée vers son cou. Les yeux de la reine regardèrent la princesse et ils restèrent en contact très longtemps, elle n'avait pas peur d'elle comme tout le monde et cela l'intéressait.  Son  épée fut maintenant devant le visage de la princesse.

- Je la veux, tu m'épouseras légalement pour que ton royaume et le mien ne fasse qu'un. Et les  deux...sous mon  contrôle, dit la reine d'un air  suffisant, le roi  resta silencieux pendant un moment puis soupira bruyamment.

-J'accepte, marmonnât-il ce qui fit que la reine et sa fille  lui lancèrent un regard surpris.

-Père?!  Charlène soutenu, l'épée de la reine perça  la poitrine du  roi faisant hurler sa  fille d'horreur.

-P-pourquoi, s'étrangla! le roi,  la reine eut un sourire narquois et haussa les épaules.

-Vous avez  dit d'épargner la vie de  vote fille et des  gens, pas la votre, a ris la reine et demanda à ses  hommes d'attraper la princesse. Il l'ont brutalement manipulée alors qu'elle se débattait et pleurait contre eux, la reine roula des yeux et enroula son bras autour de l'épaule de son conseiller qui avait l'air un peu perturbé.

-Qu'est-ce que j'ai dit Lupus? Je gouvernerais ce royaume mieux que ce vieil homme. Elle rit et lui tapota  l'épaule, la reine monta sur son cheval en remettant son casque et retourna dans  son royaume avec de nombreux trésors et une princesse.

__________________________
1470 mots n'hésitez pas à like et commenter

Amour et royauté {-by potato-French traduction} Où les histoires vivent. Découvrez maintenant