chapitre 1

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Depuis mon plus jeune âge, ont m'a toujours dit de ne faire confiance à personne, que l'être humain était impitoyable, que même si j'arriverai à finir ma vie sainement, qu'il fallait toujours que je surveille mon entourage, car qui c'est, sont-ils peut-être infectés ?... 

Nous sommes actuellement le 9 mars 2084 et dans deux jours toute personne aillant 16 ans se fera emmener dans la plus grande entreprise de recherche du pays, l'entreprise FUSION. Fusion, elle, fait partie des opérations et création les plus dangereuses du gouvernement jusqu'à cette date, du moins à ce que l'on m'a informée. Là-bas, les scientifiques ont élaboré une expérience de comportement que l'on appelle « Encrage imminent ». Il est attribué aux enfants de 16 ans afin de leur faire passer une longue série de tests. Parmi eux, on trouve des tests de survie, des tests psychologique, intellectuel et physique. Ses tests sont faits pour examiner le comportement de chacun fasse au virus Virtuose.Ce virus est le plus dangereux de tous, encore plus que la Covid-19, qui était présente en 2020 et qui a bouleversé la vie de chacun à cause de ces défectueux symptômes. Mais malheureusement, le virus a muté et a développé une tout autre mise en cause : il se met à attaquer le système nerveux et prendre le contrôle du cerveau qui va ainsi manipuler les membres du corps grâce à son hôte. Virtuose arrive à faire passer le contaminer pour une personne à peu près normal afin de tromper les prochaines victimes qu'il va attaquer.Les scientifiques ont remarqué qu'à partir de 16 ans, les enfants étaient plus ou moins immunisés fassent au virus. C'est donc pour ça que l'encrage imminent existe, pour examiner le comportement de chacun fasse au virus dans le but de trouver un vaccin. Je m'appelle Athéna Donovan et dans deux jours, je vais faire partie des personnes qui passe leur encrage imminent...

                                                                                   ***

 L'encrage imminent est de plus en plus proche et cela me ronge horriblement de l'intérieur. J'y pense nuit et jour, à tel point que même mes cernes vont finir par crier à l'aide. Pour l'instant, il faut que je me concentre sur ma famille maintenant, car sinon après mon départ, je risque énormément de le regretter.

 - Athéna vient prendre ton petit déjeuner, j'ai préparé des pancakes. Sébastien, toi aussi mon grand ! cria ma mère afin de nous interpeller.

 Je descends la première les escaliers pour rejoindre ma mère qui nous attend moi et mon frère sur la grande table de la cuisine sur laquelle deux assiettes chacune disposées de trois pancakes avec un coulis de sirops d'érable dégoulinant sur les côtés de l'assiette. Je finis par remarquer que ma mère n'en avait pas fait pour elle, seulement pour moi et Sébastien.

 - Profiter bien de ce petit déjeuner, car c'est l'une des dernières fois que vous en aurez un comme ça. Nous manquons d'argent les enfants... Mais ne pensons pas à ceci pour l'instant, le plus important reste que toi Athéna, tu sois préparée à ton encrage imminent. Ne culpabilise pas pour ton départ, tout se passera très bien, j'en suis certaine... Sache que ton départ sera dur pour tout le monde, mais tu es forte, tu y arriveras !, dit-elle d'un ton sec et anxieux.

 - Ne t'en fait pas pour moi maman, je m'en sortirai d'accord ? dis-je, essayant de la rassurer le plus possible. Après avoir fini, je me lève de table afin de rejoindre ma chambre quand soudain, je sentis mon téléphone vibrer à l'intérieur de ma poche :

                                                                                  *** 

 Arthur : rendez-vous sous le grand pont de l'Irma dans 15 minutes. Sens me poser trop de question, je monte dans ma chambre prendre mon sac à dos puis, je redescendis les escaliers et fini par me diriger vers le hale d'entrer où se situent mes chaussures et ma veste. Soudain, au moment d'ouvrir la porte, je vis quelqu'un planter là, sur le palier, à tenir la poignée de la porte :- Puis-je savoir où vous aller, jeune fille ? Dit-il d'un ton sarcastique. 

- Mon Dieu papa, tu n'imagines pas la frayeur que tu m'as faite !

 - Peut-être, mais cela ne répond point à ma question !

 - Je pars juste faire une balade, c'est tout. Dis-je en le regardant droit dans les yeux afin de ne pas éveiller les soupçons.

 - Et j'imagine que tu as prévenu ta mère, n'est-ce pas ? Tu sais très bien que si elle te cherche, mais qu'elle ne sait pas où tu te trouves, qu'elle se fera un sens d'encre pour toi et franchement c'est la dernière chose dont on a envie.

 - Désoler...- Ça ira pour cette fois, mais la prochaine fois, tu resteras dans cette maison jusqu'à l'arrivée de ton encrage imminent.

 Après cette discussion rugueuse avec mon père, je me dirige vers le pont le plus vite possible pour éviter de faire attendre Arthur trop longtemps et aussi, car s'exposer dehors trop longtemps, sens protection, est dangereux ses temps-ci, on ne sait jamais sur quoi on peut tomber... Je suis enfin arrivée, j'ai vraiment cru que le chemin allait durer une éternité ! Au loin, j'aperçus Arthur sous le pont assis sur une grosse pierre posée dans un coin, il est sur son téléphone. 

- Bon sens Athéna, enfin ! ça fait une éternité que je t'attends !

 - Désolé, j'ai eu une mini prise de tête avec mon père, tu n'imagines pas la galère ! Mais bon après, j'ai oublié de préciser à ma mère que je partais donc je le mérite un peu avec toute la pression qu'elle reçoit et je lui en rajoute, je suis une fille horrible...

 - Ne sois pas dramatique, ta mère s'en remettra j'en suis sûr ! - Si tu le dis. Sinon, tu voulais me voir pour quelle raison ?

 - À oui, j'oubliai... Comme tu le sais demain est un jour vraiment spécial... Et alors pour cette abominable occasion, je me suis dit que cela aurait été une bonne idée de graver nos noms sur ce pont qui a bercé notre enfance afin de ne jamais être séparé quoi qu'il arrive et que notre entourage est une sorte de souvenir de notre passage dans ce merdier que l'on appelle la vie. Je ne m'attendais pas du tout à cela venant de ça pars, mais je ne réprimande en aucun cas sa demande et accepte. Je le comprends, mais je remarque qu'elle chose d'inhabituel chez lui qui jamais était arrivé : Il a peur.

 - Arthur regarde-moi. 

- Quoi ? dit-il d'un ton méfiant.

 - Je te le jure, sûr tout ce que j'ai de plus chère que jamais, au grand jamais, je ne t'abandonnerai.

 - Athéna je- 

- Promet le toi aussi.

 - Je te le promets

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Bonjour à tous, j'espère que le chapitre 1 vous plait ! Je compte vous poster un chapitre par semaine donc le prochain sera publier dimanche prochain. <33

VirtuoseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant