Chapitre 3

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C'est bon, mes affaires sont enfin prêtes. Je descendis les escaliers afin de me rendre dans le salon ou je vis mon père dans le canapé avec la télé allumée :

- Bonjour ma chérie... Mon Dieu vient dans mes bras. Je suis désolé de la situation, j'aurai aimé que ça se passe autrement. Dit-il d'un air coupable.

- Ne dit pas ça sur ce ton, se n'est pas ta faute.

Cela me fait de la peine de le voir dans cet état. Je ne pensais que mon départ allait autant les affecter. Je vis mon père se ruer vers l'un des tiroirs de la salle à manger où y était caché une petite boite bleue en carton ornée d'un petit nœud rouge. Une fois entre ses mains, il vient me l'apporter.

- J'avais ceci caché dans ce tiroir depuis des années et je ne trouvais le bon moment pour te l'offrir jusqu'à aujourd'hui.

Je pris la boite en l'examinant de plus près pendant un petit instant.

- Ouvre là, je sais que t'en meurt d'envie.

En ouvrent la boîte, je vis une petite rose en argent accrocher à un pendentif.

- Joyeux anniversaire Athéna.

- C'est... C'est magnifique papa, mais ça a dû de coûter super cher ! Non, je ne peux pas l'accepter...

Je remis le pendentif dans sa boite juste avant de prendre le couvercle pour la refermer.

- Si je veux que tu l'es en ta possession, ça te fera un souvenir de nous comme ça !

- Non je vous interdis de dire ça comme si nous n'allions plus jamais nous revoir, je refuse de vous entendre dire ça, c'est clair ?

- Désolé, je ne le redirai plus, promis.

***

Il est actuellement 2 h 30, dans même pas 2 h 00 le soleil va se lever. Soudain mon cœur se mit à lâcher d'un coup quand j'entendis quelqu'un toquer à la porte. Non pas déjà ce n'est pas possible, je ne peux pas croire qu'ils sont déjà là. Je me précipite dans ma chambre pour récupérer mes affaires et redescendit pour ouvrir la porte, mais soulagement, ce n'est qu'Arthur. Je le vis, il me vit, je finis par me ruer dans ses bras et éclate en sanglot...

- Bon sens, tu m'as fait tellement peur, j'ai cru qu'ils étaient arrivés pour me chercher, tu n'es qu'un imbécile Arthur Sinclair, je te hais ! Dis-je en sanglotant dans ses bras.

- Je savais que je te manquai mes pas à ce point-là, tu me flattes ! Dit-il d'un ton sarcastique.

- Tu vas arrêter de faire l'idiot deux minutes imbécile.

- Excusez-moi, je vous promets de ne plus vous infortunez mademoiselle ! Je rigole, bon anniversaire ma belle.

Je sentais dans sa voix que ça n'allais pas, lui aussi à peur, nous avons tous les deux peur et ça peut se concevoir.

- Toi comment tu te sens ? Il n'y a pas que moi qui vais me faire emmener, toi aussi, alors comment tu te sens ?

- Je pense que comme tout le monde, cela ne m'enchante pas de me faire emmener à mon tour, mais je suis prêt. On va sens sortir, je te le promets, on reste ensemble.

Il aura beau me dire que ça va, je le connais par cœur, il reste mon meilleur ami. Ce qu'il faut savoir avec Arthur, c'est qu'il a perdu sa mère, cela va faire 3 ans déjà, il l'aimait énormément, en revanche lui et son père ne s'endentait pas vraiment à merveille et depuis qu'elle est partit cela n'a pas vraiment arrangé les choses. J'ai comme qui dirai été ça seul vrai famille, et j'imagine que du moment où nous restons ensemble lors de l'encrage, il n'a pas peur.

- Au fait, tu as fini de préparer tes affaires ?

- Oui, c'est fait. Et toi ?

- À ton avis ? Dit-il en fixant mon sac à coter des escaliers. Je ne serai pas là sinon !

- Oui, mais bon de toute façon, tu cherches toujours un moyen de venir chez moi. Je n'ai pas raison ? Dis-je en rigolant.

Tout à coup mon père se rue vers Arthur avant de finir par le prendre dans ses bras :

- Salut mon grand, comment tu vas ?

- Bonjour monsieur Donovan, je vais bien, merci de la demande.

Mon père a toujours adoré Arthur, quant à Arthur, pareil, c'était comme le père qu'il aurait aimé avoir.

Soudain tout le monde s'arrêta de parler, ce qui l'essai place à un énorme silence oppressant. Quelqu'un a frappé à la porte et ça tout le monde l'avaient remarqué. Mon père se dirige vers la porte afin de l'ouvrir...

- Bonjour, vous êtes la famille Donovan, je présume ?

C'est mon père qui prit la parole pour cette fois.

- Effectivement, et vous vous êtes ? Il s'avait très bien qui c'était, nous le savions tous.

- Je suis le sergent Miller, je viens ici afin d'emmener une dénommée Athéna Donovan ainsi qu'un certain jeune qui pourrai se trouver probablement chez vous, un certain Arthur Sinclair est-il chez vous ?

Je décide de prendre la parole à mon tour.

- Nous sommes tous les deux ici, monsieur le sergent.

- Parfait ! Nous vous laissons cinq minutes afin que vous puissiez dire au revoir à votre famille avant votre départ.

Je me rue dans les bras de ma mère, Arthur dans ce de mon père et ainsi de suite.

- Regardez-moi les enfants, ce n'est qu'un au revoir, on se reverra je vous le promets !

- Bien évidement... Ce mis à marmonner le sergent juste avant de pouffer de rire.

Énervée, je m'avance vers le sergent juste avant de brandir ma main, et de lui foutre une gifle monumentale, à tel point que je vous promets qu'il s'en souviendra de celle là.

- Qu'elle est insolente cette jeune fille ! Emmener là, elle et le garçon dans le camion. Plus vite que ça !

Des gardes se mettent à me tirer le bras, à moi et à Arthur, afin de nous emmener dans un énorme camion. On aurait, limite dit que c'était un bus. D'autres gens y était déjà installé, je pris l'une des seules places côté fenêtre ou y était déjà installée une fille, elle était brune très foncée, le teint vraiment pâle. Je m'assis à coter d'elle.

- Salut, qu'est-ce que tu as bien pu faire pour qu'il t'emmène d'une telle force dans ce bus ?

- J'ai possiblement foutu une gifle au sergent sous la colère.

- Eh bien, je sens que toi et moi, on va bien s'entendre ! Dit-elle en rigolant juste avant de me tendre la main. Aïna, enchanté !

- Athéna !

Soudain un garçon, brin, grand aux yeux verts, s'adossât sur notre siège :

- Qui lut crus qu'Aïna se serrait fait une amie un jour !

Il me fixa juste avant de répliquer :

- Dommage que je préfère les blondes, elle aurait pu être parfaite !

L'énervement commence à me monter au nerf.

- Va te faire foutre Cameron, t'est lourds à la fin. Désolé, Athéna ne fait pas attention à lui...

- Ne t'en fait pas ce n'est pas grave, quant à toi, Cameron, je présume, tu auras beau faire le mat chaud avec les meufs, ça m'étonnerai qu'elles ont envie d'un petit prétentieux qui ne pense qu'à lui !

- Alors que réponds-tu à ça mon chère Cameron ?

- C'est qu'elle a de l'audace la petite !

- Tu n'imagines même pas !


 
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Hello tout le monde et encore désolé pour le retard du chapitre deux du coup pour me faire pardonner je poste de celui-ci en avance j'espère qu'ils vous à plu, à plus tard pour un nouveau chapitre !

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