How To Kill Someone (BxB)

It's so exciting!

Maël était assis en tailleur au sol et s'emmerdait ferme. Entendre que le type qu'il devait assassiner ce pointe était long et pénible. Il tourna son regard vers Miguel qui cigarette à la bouche observait l'extérieur avec des jumelles. Ils c'était poster dans une chambre d'hôtel avec vu sur un restaurant ou l'homme était censer travailler.

"Stay focus." Dit Miguel lorsqu'il remarqua le jeune vingtenaire assis au sol dos à la fenêtre.

"But is so annoying!"

"Il peut se présenter à n'importe qu'elle moment."

Maël soupira en se relevant. Il se repositionna derrière le sniper et regarda dans le viseur. Il avait cru qu'il tuerait la personne en s'infiltrant chez lui comme Miguel avait fait quand il était venu tuer sa cible, pas qu'il se positionnerait à un endroit et espérait que sa victime ce présente. D'ailleurs, il devrait lui demanda comment crocheter des serrures ou éteindre un système d'alarme. Ça pourrais toujours lui être pratique pour ses prochaines victimes.

"There."

Au son de la voix de son sauveur, il se rappella qu'il était censer observer dans le viseur, ce qu'il fit pour repérer rapidement l'homme de la photo. Selon Miguel, c'était un traffiquant d'humain qui kidnappait souvent des enfants. Un être exécrable en d'autre mot. Il visa la tête retient sa respiration et se rendit compte que viser un homme en mouvement était vachement plus stressant qu'une feuille de papier. Malgré tout, il tira avant de s'éloigner du fusil retenant sa respiration. C'est fait. Il avait tuer un homme avec l'aide d'un sniper.

"Still alive. Try again." Dit Miguel d'une voix ennuyé en regardant par ses jumelles.

Encore en vie? Il l'avait rater?

"Depeche toi. Ses les paniques en bas et il faut quitter le plus vite possible."

Maël se précipita sur le fusil pour regarder à l'extérieur de nouveau. Son coeur débattait a en plus finir et la panique le gagna légérement. Ou était sa victime? Pourquoi il l'avait rater? Il avait clairement déçu Miguel avec le soupir qu'il avait laisser échapper. Il trouva l'homme au sol ce prenant le bras ensanglanté. Bon il devait viser la tête. Ne pas rater sont coup cette fois. Il tira et ferma les yeux.

"Toujours pas."

Il les rouvrit et l'homme respirait visiblement encore. Il devait se calmer. Il prit une grande respiration, bloqua avant d'expirer, visa la tête et tira une troisième balle avant de tout expirer.

"Dead. Good job."

Maël se tourna un sourire aux lèvres vers Miguel qui lui enleva le sniper des mains pour le ranger à une vitesse folle devant les yeux ébahis de Maël. Une fois fait il lui prit la main pour le tirer à sa suite.

"Nous devons quitter les lieux du crime avant que la police débarque. Tes deux tentatives rater nous a déjà fait perdre beaucoup de temps, alors suis moi et ne t'arrête sous aucun prétexte." Dit-il en le tirant la main pour qu'il descend les escalier à la même vitesse que lui.

Ils arrivèrent dans la rue proche de l'assassinat. N'entendant plus de coup de feu, les gens commençait à revenir vers la scène pour voir la situation qui en avait résulter. Miguel se fraya un chemin parmis les gens en sens inverse. Il marchait vite, mais sans courir et sans donner l'impression d'être presser. En entendant les sirènes de police au loin, il tira le jeune dans une allée sombre et prit un trajet qui les faisait bifurger à plusieurs reprise et les éloignait de la scène de crime. Maël ressera sa main dans celle du tueur à gage de peur qu'il ne la lâche et pressa le pas son coeur toujours à pomper plus de sang que nécessaire.

Ils regagnèrent une rue principal et continua de tracer leur chemin. Une voiture de police tourna dans leur rue avant que le son de ses girophares les avertissent de sa présence et Maël ce sentit plaquer sur le mur de la bâtisse avant de constater que le visage de Miguel était à deux centimètre du sien. Le souffle de l'homme mourrait sur ses lèvres pendant que leur front était coller comme deux amants qui reprenne leur souffle après un baiser. Pour Maël, le temps venait de s'arrêter. Seul les bruits monstre que sont coeur faisait à chaque battement lui rappellait que les secondes s'écoulait encore. Il avait l'horrible envie de l'embrasser, mais pourtant, dés que la voiture de police passa, Miguel se décolla pour continuer de le tirer au loin. Sans plus aucun repère, ils arrivèrent à la voiture et Miguel lui lâcha finalement la main pour aller se placer derrière le volant. Maël s'assit à ses côtés regardant droit devant lui.

"I feel strange." Dit-il simplement espérant que Miguel comprenait la raison de cette drôle de sensation.

"Its the... adrénaline?" Dit-il en utilisant la façon francophone de dire le mot n'était peu sûr de la façon anglophone.

"Adé-na-lyne?" Demanda Maël en ce tourna vers lui.

Il vit le visage de Miguel se barbouiller de rouge et ses yeux s'aggrandir avant qu'un bref sourire ce dessine sur ses lèvres.

"Adrrrénaline." Répèta-t-il.

"And what adé-na-lyne mean?"

Miguel tourna son regard vers Maël qui l'observait toujours.

"C'est quelque chose dans ton corps qui est activé quand tu fais quelque chose de dangereux." Dit-il simplement sans être trop sûr que c'était la bonne façon de décrire la situation.

"I love adénalyne."

Miguel reporta son regard sur la rue vide devant lui. Il devait partir sa voiture et roulers n'importe ou pendant 2h avant de retourner chez lui juste au cas où on le suivait. Pourtant il fixait le volant incapable de s'enlever l'accent du jeune garçon. Ça façon de prononcer les mots français était juste adorable.

"Miguel."

Il tourna la tête vers son apprenti qui en profita pour poser ses lèvres sur les siennes. Il recula la tête pour rompre le baiser et refixa la route. Il démarra la voiture et prit la route.

Maël l'observa un moment conduire avant de reporter son attention sur par delà la fenêtre. Était-il fâché après lui? Peut-être n'aurait-il pas du l'embrasser. Mais lui aussi avait vécu quelque chose de dangereux en même temps que lui, il devait avoir sa l'adrénaline dans son corps et se désir de ne faire qu'un avec l'autre. Il ne l'avait pas gronder après le baiser. Il ne lui avait rien reprocher.