Le Mafieux et l'étudiante (en Pause )

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Comme tout les jours depuis deux semaines Marine c'était réveiller avec une boule au ventre, quand le mafieux était partis elle avait eux des nouvelles de temps en temps mais depuis une semaine plus de nouvelles Iris qui avait rejoint son amie tentait chaque jour de lui changé, mais sa propre inquiétude concerné son mari qui n'avait pas hésiter à suivre le Mafieux, alors que Marine tenais fermement sa couverture sur elle , elle regarda Christine entrée avec un plateau qu'elle posa face à elle

-Marine vous devez manger mon enfant
-Je n'ai pas faim
-Sa fait trois jours que vous picorer vous devez avoir un vrai repas
-J'ai dit que je n'ai pas faim ......

La brune ce leva les larme au yeux sent était trop elle ne supportait plus de ne pas savoir où le mafieux ce trouvé un sentiment douleureux s'empara D'elle le cœur battant elle arpenta la pièce en ce rongeant les ongles

-Marine si vous ne mangez pas Gregorio sera très en colère quand il reviendra
-Quand il reviendra !? Faudrait il déjà qu'il revienne !!

Iris pris sa jeune amie dans ses bras alors que cette dernière tremblait de tout son corps ne pouvant plus retenir ses larmes Marine s'effondra en pleurs

-Tout ai de ma faute.....
-Je t'interdis de te dire sa Marine
-Ho Iris est si il mourrai
-Ne Tienquite pas il va revenir ton Gregorio

Marine nut le temps de répondre que la porte d'entrée s'ouvrit dans un fracas les deux jeunes femmes regardèrent l'entrée du salon quand deux immenses ombre firent leurs apparitions d'abord effrayé Marine ce colla contre Iris mais quand la rousse reconnue son mari elle ce leva son amie toujours contre elle , Quand Marine regarda alors sa première vision fut le mafieux son visage recouvert de terre sa chemise déchiré quand elle vis un bandage autour de son bas ventre la jeune femme retient son souffle, ce détachant de Iris elle avança vers le Mafieux a le voir on aurait dit qu'il avait fait la guerre tremblante elle s'arrêta face à lui

-Vous êtes vivant......
-Ne te l'avais je pas promis ?!

Comme si tous ses sens ce reconnecter d'un seul coup là jeune femme gifla l'homme face à elle d'abord étonné Gregorio ne répondit rien sachant qu'il avait amplement mérité mais quand il sentit me corps frêle de la jeune femme ce jetté dans ses bras en pleurs son cœur ce serra il passa ses bras autour d'elle enfin il pouvait sentir l'odeur de sa jeune épouse enfin il pouvait serré son corps deux semaines à traquez ce salauds de Delacourt deux semaines si loin d'elle
Mais le danger était désormais écarté il pouvait enfin ce concentré sur elle

-J'ai crue quil vous avez
-Ho ma douce et fragile Marine

Quand la jeune femme serra un peut plus elle sentit l'homme ce crispé légèrement, la jeune femme voulut ce défaire de lui mais au moment où elle s'écarta sa Vision ce troubla elle tomba de tout son Long la dernière chose qu'elle entendit fut Gregorio hurlait son prénom

Après plus de deux heures à attendre au chevet de sa jeune épouse Gregorio la vie ce réveillé doucement , quand Christine lui avait dit qu'elle n'avait casimen rien mangé depuis quelques jours il avait ressentie une grande colère l'envahir mais contre lui il c'était dit qu'il aurait dû la contacter il attrapa sa main dans la sienne alors qu'elle ouvrait les yeux , battent des paupières plusieurs fois Marine repris conscience doucement, elle ce rappella alors des derniers événements quand elle sentit une main prendre la sienne elle tourna sa tête lourdement sur le côté pour y découvrir le visage inquiète de Gregorio

-Marine comment te sens-tu ?
-Epuiser
-Depuis quand refuse tu mangé !?
-Je n'avait pas faim
-Ce n'ai pas une excuse

Marine ce releva tout en le fusillant du regard Gregorio pris place sur le lit

-Pas une Excuse j'étais folle d'inquiétude !!
-Pour moi !?

Marine vis le mafieux sourire tout en la dévisageant, rouge de timidement elle évita son regard bien sûr qu'elle était folle d'inquiétude pour lui il aurait put lui arrivé quelques chose de plus grave que la blessure que la jeune femme avait remarqué

-Il vous a blessés
-Juste une balle qu'un de ses chien de garde à tiré
-A vous entendre ce n'ai pas grave
-J'ai connue pire Bellissima
-Ce n'ai pas une raison

Marine plongea son regard dans le sien alors qu'il s'approcher pour remettre une mèche de cheveux derrière son oreille

-Je penser que tu me haïssait
-Je ne vous haï pas ...Je vous en veux d'avoir accepté ce marché immonde
-Sans ce marché Delacourt aurait abusé de toi ! Tu veux savoir ce qu'il avait prévu
-Sans façon...
-Tu dois l'entendre tu dois comprendre

Gregorio attrapa son menton alors qu'elle tentait encore de le fuir mais il voulait lui faire comprendre, ce soir elle allait enfin comprendre a qui elle appartenait

-Quand nous avons fini de liquidé ses hommes j'ai trouvé Delacourt dans son bureau arme en main !
-Je veux pas savoir
-Il a bien sûr tenté de me supplié a fin que je lui laisse la vie sauve ! Mais il a fini par montrée son vrai visage il m'a offerts 65000 € a fin de te violé
-Pitier taisez vous
-Ce sale porc ma même dit qu'une fois qu'il aurait fini il te donnerais a ses hommes

Ne voulant pas entendre plus Marine voulut poser ses mains sur ses oreilles mais il l'en empêcha attrapa ses poignées les larme au yeux elle le supplié de ce taire ne voulant en rien écouté ses chose horrible

-Je lui ai mis une balle en pleine tête après lavoir bien amoché a main nue ! Tu comprends maintenant ce que je suis capable de faire !?
-Je le savait déjà .....
-Non Marine tu ne comprends pas je tuerait tous ceux qui te veulent du mal , tu es à moi !!

Ses quatre petits mots provoquèrent des frisson a la jeune femme elle était à lui au début elle refusé de ce l'admettre mais c'était l'évidence même désormais elle comprenait ce que cette phrase voulait dire pour l'homme, elle regarda l'homme face à elle droit dans les yeux avec l'impression de le découvrir de nouveaux

-Je suis a vous ......

Cette phrase était sortit toute seule comme si elle ce la disait à elle même a fin de prendre réellement conscience du fait que quoi qu'il arrive elle serait a lui et que rien ne changerait sa mais même si un jour là situation venait à changé voudrait elle vraiment qu'elle change
Mais avec cette simple phrase elle n'avait pas seulement pris conscience de la situation elle avait aussi eu un effet sur l'homme face à elle qui ne l'avais pas lâché du regard comme suspendu dans le temps par une simple phrase