Chapitre 26 : Pet play (jeu d'animaux)

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Je rappelle que ce livre est une traduction du livre du même nom de SadaVeniren, disponible sur ao3.

Hello, de retour pour un os original, ils le sont tous dans ce livre de toutes façons, qui entame la dernière semaine de ce livre (snif) au cours de laquelle 6 os seront postés (jours habituels + dimanche) !

J'espère qu'il vous plaira !

Bonne lecture !


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Il fut un temps où Harry se sentait ridicule quand il mettait ses oreilles, ses pattes et sa queue. Il savait en théorie, qu'il avait probablement toujours l'air ridicule, un homme adulte portant un bandeau avec des oreilles décollées, des pattes molletonnées et sa queue, mais au moins il ne se sentait plus ridicule. L'ensemble le faisait se sentir en sécurité. Quand il était Curly, il n'avait pas à penser, il pouvait juste agir.

Le propriétaire de Curly le traitait bien, il lui donnait des caresses, et jouait avec lui tout le temps. C'était une vague constante d'affection et d'attention qui lui faisait du bien, sans être étouffante ou exigeante. Son maître ne voulait rien en retour de Curly, sauf son bonheur.

Harry se glissait donc dans ses pattes, apposait ses oreilles et mettait sa queue en place (il avait ajusté sa position au fil des ans : il avait commencé avec une paire de shorts mignons qui avaient une queue à l'arrière, avant de finalement s'installer sur ce qu'il voulait vraiment, une queue attachée à un plug de sorte que lorsque son maître caressait sa queue, elle pressait contre sa prostate et le faisait gémir), puis il sortait pour saluer les siens. Marcher, bien sûr, étant un terme vague pour ce qu'il faisait. Il le faisait à quatre pattes, ses pattes étant protégées par le tissu alors qu'il se mettait à la recherche de son maître.

"Te voilà, Curly", dit son maître en sortant la tête de la cuisine. "Tu faisais du bruit ?"

Curly leva les yeux vers son maître et retomba sur ses fesses, bien assis pour lui. Les yeux de son maître se plissèrent de plaisir et il passa la main pour ébouriffer le dessus de la tête de Curly avant de le gratter jusqu'à l'oreille. La patte de Curly commença à taper contre le sol et son maître rit.

"Caaalme", dit-il dit avec toute son affection. "Viens. Allons jouer dehors, d'accord ?"

Curly se sentit illuminé et courut après son maître. Le jardin arrière était grand, avec de hautes clôtures pour que personne ne puisse voir à l'intérieur, donc Curly était en sécurité pour sortir et courir jusqu'à son seau de jouets. Il plongea son visage dedans et attrapa une balle qu'il apporta à son maître qui l'attendait patiemment.

"Bon garçon !" lui dit son maître, en lui grattant à nouveau l'oreille avant de lui prendre la balle dans la bouche. "Maintenant, assis." Il attendit que Curly soit à nouveau bien assis avant de lancer la balle à travers le jardin.

Curly partit aussi vite qu'il le pouvait à quatre pattes, pourchassant la balle et la récupérant. Son maître l'encourageait.

"Voilà un bon garçon", ne cessait-il de roucouler alors qu'il s'accroupissait pour récupérer la balle.

Curly se coucha sur le dos, exposant son ventre et demandant plus de caresses pour son bon comportement. Son maître rit encore un peu avant de poser la balle - à portée de main pour que Curly puisse la saisir avec sa bouche et s'y accrocher - et de commencer à lui frotter le ventre.

"Tu adores les caresses sur le ventre, n'est-ce pas ?" disait son maître en commençant à le caresser du haut des hanches jusqu'à son cou, puis en revenant.

Curly mâchouillait sa balle, heureux d'avoir de l'attention. Il aimait quand il pouvait juste profiter de l'adoration.

Il s'étira, rendant son ventre aussi long que possible pour que son maître puisse atteindre chaque parcelle de peau.

"Un si joli chiot", dit son maître quand sa main descendit plus bas, et Curly laissa tomber la balle quand sa bite fut touchée.

Il gémit et ramena ses pattes vers son visage lorsque son maître le toucha, là, au milieu du jardin.

"Bon garçon", chuchota son maître, en atteignant l'oreille de Curly pour la gratter. La double sensation d'être un animal de compagnie et un animal domestique l'amena dans un endroit chaud et flou de son esprit.

Les orgasmes lorsqu'il était dans sa tête étaient toujours quelque chose d'autre. C'étaient de petites crises, encore et encore, qui pulsaient mais n'atteignaient jamais vraiment ce stade, jusqu'au grand orgasme qui faisait jouir Curly, lui salissant le ventre et la main de son maître.

Son propriétaire le tenait toujours lorsqu'il redescendait, la tête sur ses genoux, puis Harry ouvrait lentement les yeux, regardait Louis et souriait.

"Merci."

"Quand tu veux, bébé."


710 mots !


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Voilà pour cet os tout mignon, j'espère qu'il vous a plu !

On se retrouve mardi pour le deuxième os de la semaine qui promet d'être sexxxxy !

D'ici là, prenez soin de vous !

xx

Here to Stay (Here to play) (Kinktober 2020)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant