(Tome 2) Le recommencement d'un amour interdit.

Chapitre 25

Pdv Lisa:

Ça fait 6 jours, 6 jours que Jennie est hospitalisée à la clinique.

L'infirmière nous appelles tout les jours, parfois même, deux/trois fois par jours.

Et je n'ai qu'une envie, c'est de la récupérée et de la ramenée à l'appart.

Elle pète un plomb, elle ne coopère avec personne, elle a même cassée la fenêtre avec une chaise, elle a blessée un médecin, elle est violente, elle parle mal, elle est nourrie de force, ils sont même obligés de l'attachée parce qu'elle s'arrache la sonde gastrique, elle refuse de participé aux réunions, que ce soit avec les infirmiers ou les autres patients, elle ne veut pas non plus participé à une thérapie, que ce soit en solo ou en groupe, elle a fait pleurée plusieurs jeunes filles, et quand elle m'a dit tout ça venant de Jennie, j'ai eu l'impression qu'on ne parlait pas du tout de la même personne, ce n'est pas de ma femme dont on parle, ce n'est pas elle, l'infirmière me décrit une personne méchante et insensible, mais Jennie n'est pas comme ça, c'est un amour de base.

Je viens de raccrochée avec l'infirmière en charge de Jennie, Carole, elle vient de m'apprendre que Jennie s'est fait du mal, quand elle est entrée dans la chambre, elle l'a surprise entrain de se scarifiée au bras avec l'un des bouts de verres de sa fenêtre, qu'elle a du récupérée en cachette.

Puis suite à ça, Jennie a fondue en larmes et a commencée à se confiée, elle lui a parlée, mais moins de 5 minutes après, elle a re-pétée un plomb et à tout renversée dans sa chambre.

"D'accord, merci beaucoup Carole, j'arrive dès qu'je peu." Et je raccroche.

J'attrape Lawrence, qui était entrain de jouer à mes pieds, et part dans sa chambre pour l'habillée et le chaussé.

Il est encore tôt, il est 9h, et on est samedi, donc oui, on est encore en pyjama.

D'ailleurs, je passe les pires nuits de toute ma vie, Lawrence n'arrête pas de pleurée sa mère, il l'a réclame sans cesse, il s'endort vers 23h/00h, pour se re réveiller à 4h, bref, j'ai super mal dormi.

Je finie de l'habillée, donc je m'habille aussi, puis met mes chaussures, et on quitte l'appartement juste après avoir pris, la poussette, du rechange pour le p'tit, mes clés de voiture, et mon téléphone.

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J'arrive à la clinique, passe la porte, et la première chose que je vois, c'est Carole, qui m'accueille que très brièvement, je ne comprend pas trop, mais ensuite, je l'entend criée.

Carole: "Elle a vue votre voiture arrivée." J'acquiesce, je savais qu'elle allait réagir comme ça.

"Vous voulez bien le surveiller un moment ?" Elle acquiesce.

"Bien-sûre." J'installe donc la poussette de l'autre côté de l'accueille.

Puis me dirige vers sa chambre avec l'autorisation de son médecin.

Je toque deux fois et pousse la porte.

Il fait très sombre, les rideaux sont tirés, la lumière est éteinte, et il n'y a aucun bruit.

"Bébé ?" 

"Va t'en." Je soupire, entre, ferme la porte derrière moi, marche dans la chambre, et ouvre les rideaux. "Je t'ai dit de partir." Je me tourne face à elle.

Elle est assise par terre dans le coin, de grandes cernes bien marquées, les cheveux pas du tout coiffés, et les yeux fermés.

Elle est dans un piteux état.