Fiction Bizarre Adventure : Dio is lonely

Gradation d'indécence

Une fragrance de fraîcheur nocturne et quelques bruits sourds du parc naturel suffisaient à simuler une ambiance douce et innocente dans la promenade de Dio, suivi sans faille par un étrange harem d'hommes affamés. Les tremblements du blond semblaient peu perceptibles au travers du manteau épais qui cachait sa nudité, un tissu refuge pour sa prétendue fierté mais un amuse-bouche imaginatif pour ses prédateurs. 

Quelques courants d'airs n'allaient sûrement pas mettre à mal le pervers en herbe, mais la fraîcheur qu'il ressentait fréquemment sur ses parties intimes lui faisaient parfois frissonner une suite de muscles qui stimulaient indirectement les jouets répartis sur son corps. Il avait encore des difficultés à comprendre l'existence de personnes ayant de tels fétiches, par quelles déficiences mentales, ou encore par quel génie...

Le parcours établis par le groupe d'hommes n'était pas bien difficile à finir pour une personne aussi endurante que Dio, mais les restrictions mise en place consciencieusement pour le faire frémir de toute part, et ainsi le ralentir par tous les moyens, étaient d'une efficacité à laquelle il avait lui-même du mal à y croire. Le corps du Joestar, désormais propriété de Dio, semblait particulièrement apprécier les vibrations sur la pointe de ses tétons et de son gland. Les tremblements répétées sur ces zones semblaient peu à peu les engourdir sans pour autant réduire leur sensibilité au plaisir. 

- Kgnh... Mhn ! 

Les jambes du grand Dio ne parvenaient plus à se maintenir droites. Les stimulations intensifiés sur sa virilité externe et son intérieur vulnérable ne lui incitaient plus qu'à se recroqueviller par réflexe. Son immobilité temporaire laissait alors le vent rafraîchir son visage perlé de sueur. Il maintenait de peu son équilibre et bien difficilement son regard vers l'arrivée. L'innocence apparente dans ses yeux de miel rendus tout humides par la frustration aurait suscité à tout spectateur le plus profond désir de le souiller davantage, comme si cela serait devenue une fin existentielle donnant sens à tout maux qu'il aurait fallu surmonter pour vivre jusqu'à ce jour. Le désir de le voir le tomber de son trône serait devenu la source d'une obsession des plus personnelles et épanouissantes. Bien sûr, Dio ne comptait pas abdiquer. En essayant en vain de penser à autre chose, il se rendait néanmoins compte que tant d'objets de torture érotique, dont il ne soupçonnait même pas l'existence, décoraient à présent son corps excessivement sensible et presque nu. Les agitations sporadiques du masseur prostatique, la synchronisation vibrante entre le plug urétral et les pinces mamelons, et les frictions entre ses couilles et les cordes rouges et épaisses qui décoraient tout son corps, suscitaient en Dio la frustration attendue par ses attentifs poursuivants. Ce corps révoltant qui était à présent le sien devenait le jouet de quelques pervers lambdas, il ne supportait pas cette idée et pourtant, rien ne pouvait lui faire quitter volontairement cette source de plaisir inédite qui comblait en cet instant tout son être. 

- Ngh... Gnh ! Mhf~ aAhn...    ∑ ('°///Д///°')

Des souvenirs de jours antérieurs lui revenaient par bribes, le montrant sans faille dans son halo d'aura majestueux, debout face à ses quatre opposants du Love Hotel prêts à se jeter sur lui aussitôt qu'il aurait fait mine de baisser sa garde. Peut-être que sa généreuse proposition à cette instant n'était que dû à la légèreté de ses émotions procurées par l'orgasme de délivrance qu'il cherchait depuis une apparente éternité. Peut-être que cette facette innocente de sa personnalité n'était qu'une manifestation d'un brin de personnalité de Jonathan. Néanmoins ces faits l'étonnaient bien moins que sa décision de tenir parole. Plutôt que de se débarrasser instantanément de ces pervers secondaires, il se justifiait sa clémence par le prétexte de devoir avant tout se débarrasser de toutes sauvegardes potentielles des vidéos le concernant, mais tout en se rappelant on ne peut mieux du désir orgiaque qui l'animait au moment du choix. Il devait à présent, non sans une pointe de réticence, réaliser un fantasme pour chacun des hommes ayant été témoins de son spectacle impudique quelques jours plus tôt. Une fois que chacun aurait obtenu satisfaction, ils se devaient de tout oublier et de supprimer toutes preuves associées de près ou de loin à leurs jeux éphémères ainsi que de la nuit initiale. 

- Mngh... Moins fOr ~Ahg !  

Malgré toute sa réticence à le reconnaître, le grand Dio n'arriverait peut-être pas à sortir indemne de ces épreuves. La tornade qui brouillait ses pensées lui donnait l'impression de bientôt s'évanouir, même s'il en aurait fallut bien plus pour venir à bout du surhomme. L'arrivée ne se trouvait plus qu'à quelques dizaines de mètres, mais son désir le plus immédiat était plutôt de se laisser tomber sur l'asphalte de sorte a chercher des stimulations plus fortes de la part du plug anal dévoré avidement par son derrière. Les joues de ses fesses se cogneraient presque au béton dur et froid, aussi frénétiquement que nécessaire pour sortir de sa famine du jour. Il laisseraient à ses prédateurs remarquer à quel point ses muscles internes épousaient parfaitement les contours de leurs dildos. Ces morceaux de plastiques qui rendaient les intimités de Dio aussi chaudes et humides ne cessaient de lui faire frissonner de toutes parts de sorte à ne plus contrôler ses gesticulations. Les contractions de ses muscles abdominaux laissaient alors deviner l'intensité de celles de ses muscles prostatiques. Ses yeux larmoyant auraient appelés inaudiblement ses prédateurs à festoyer en avance, et ce sans se soucier des restrictions légales ou morales. 

Les spectateurs déglutissaient en contemplant le sol sous le pauvre Dio s'humidifier par grosses gouttes. Le corps du torturé pleurait de toutes parts. Ses yeux, ses narines et sa langue coulaient aussi abondamment que son gland. Pas à pas, les divers liquides ruisselant entre les creux de ses muscles semblaient parfaitement miscibles sous les successions d'absorption d'une perle par une autre. 

Malgré les tremblements et le tournis résultant, Dio tenait bon. Mais peu avant la fin, une perte d'équilibre, puis une chute en arrière inéluctable.

- !! NgHaAAah~~    

Un intense frisson parcouru toute la colonne de notre fière victime, une foudre sensorielle qui semblait avoir presque arrêté son cœur, comme si sa brusque vision blanche représentait officiellement un avant goût du paradis. Les gouttes de sources diverses parurent soudainement s'animer et défier la gravité pour quelques secondes, telles des ballerines scintillantes au cours d'un grand jeté. 

Ces quelques secondes, où le temps semblaient s'être arrêté pour laisser un Dio hébété haleter et trembler davantage. Son corps semblaient avoir été anesthésié de toute part et ses sens ne lui répondaient plus. Tout son corps patientait jusqu'à ce que la fumée pseudo-imaginaire émanant de son corps s'estomperait. Les paupières fermées et la respiration encore âpre, il allongeait le reste de son corps sur le bitume. Les jambes ouvertes, ses muscles rectaux se contractaient et détendaient sporadiquement sous les tremblements des jouets encore actifs, constituant alors un spectacle érotique aguicheur, régalant son harem élargi de quelques apprentis voyeurs. 

- ...  q(@w@)p

Pour consommer à leur faim le met qui s'offrait à eux, les spectateurs préféraient prendre leur temps et prendre le pied dans les toilettes publiques les plus proches. Retirant successivement les ornements plastiques du corps de Dio, ils ne se retenaient pas de goûter le fruit des entraînements érotiques. Sous les assauts de langues et de pincements, des frissons parcouraient les joyeux mamelons du soumis, dont le gland encore pluggé et sensible s'agitait férocement comme pour fuir les taquineries. 

- Mnh... HaAn! N-non... Jst-Gnh! entrez...

Les stimulations négligées de ses assaillants avaient frustré le fier Dio au point de ne plus pouvoir se reconnaître. Il ne pensait pas un jour agir et s'exprimer de façon aussi vulgaire et pathétique devant des êtres inférieurs, mais il ne lui restait plus qu'à faire preuve d'obéissance pour obtenir son sucre. Il ne pensait plus qu'à recevoir dans son trou si parfaitement humide les virilités chaudes et dures qui l'abrutiraient sous des coups frénétiques et stratégiques, à se faire branler sans répit et sans échappatoire jusqu'à en perdre connaissance, à se laisser prendre la fessée si cela lui permettait de renforcer ses sensations, à accepter tous les sévices imaginables de la part de ses humiliateurs. Le sentiment d'impuissance ne lui paraissait alors plus aussi désagréable, chaque coup lui donnait la sensation de manquer un battement, jusqu'au point où son pouls devait accélérer pour alimenter à nouveau son cerveau en oxygène. Si la soumission lui permettait d'atteindre avec certitude cette état de soulagement et de légèreté angélique, il était prêt à devenir la chienne de ses bourreaux. 

- Agh Oui! Mngh... Pl-plus fort... pitié...

- ...

- mnAAanH! Agh! ... Oui! HNah~ là-Angh! 

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