La famille. La chose la plus importante et qui passe avant toute chose
Personnellement, je n'ai pas vraiment pu avoir cette version des choses. Je l'ai compris après avoir lu l'histoire d'un enfant, une petite fille. Elle n'a grandit qu'avec ses 3 demies-sœurs du côté maternel.
À part son père, qui pendant un moment, s'occupait d'eux, il n y a jamais vraiment eu de soutienElle a aussi des demies-frères et sœurs du côté de son père, mais elle ne les considère pas vraiment comme tel. Pire. À la limite, elle ne les connais même pas. Donc, cette notion de famille chez elle est assez... Compliquée
Elle a toujours vécu avec ses sœurs et sa mère. Tout aurait pu bien se passer si elles n'avaient pas des caractères diamétralement opposés. Ce qui entraînaient des disputes casiment tous les soirs
En bref:
La plus grande: Autoritaire mais attentionnée, nerveuse, travailleuse.
La deuxième: Douce, calme, attentive, bavarde, un peu naïve
La troisième: Introvertie, beaucoup de tact, grosse balance, goinfre
Et..
La mère: Très nerveuse, problématique, assez pot de colle, critique, partageuseJe ne sais pas trop quoi dire sur elle. Elle ne ressemblait pas à sa famille maternelle physiquement. Mais mentalement... Elle peux se montrer aussi calme que la deuxième, tout en étant aussi nerveuse que la première. Elle est un peu... Un gros mélange
Elle avait l'air tellement fragile. Avec un regard rempli de préjugés innocents. Des questions, tellement de questions plein la tête qu'elle posera à qui lui semblera apte à y répondre ou non. Mais quand il y a un enfant sensible dans une famille assez... Terre à terre, c'est assez, même très, compliqué.
Elle n'était prise au sérieux. ‘Ce n'est qu'un enfant’ disait on. Pourtant elle avait tant à dire. Ça se voit.
Elle faisait tellement d'effort pour s'entendre avec tout le monde. S'efforcer de rester respectueuse, courtoise et polie avec un caractère aussi enflammé qu'un volcan pouvait entrer en irruption. Jusqu'à accepter l'inacceptable. Les moqueries, les insultes. Dans l'endroit qui est sensé être un havre de paix et une recharge de batterie. C'est là qu'elle perdait pourtant toute sa force mentale
Quel dure vie. Sortir de chez elle, être insultée, rabaissée, mal jugée. Et puis rentrer chez elle et subir la même chose. Sans compter le fait qu'elle ne se valorisant pas non plus. Elle perdait toute sa confiance en soi à cause de ça.
On dit souvent : ‘Tu peux en parler à ta mère. Elle a plus d'expérience. Elle saura elle’. Mais que dire à un enfant qui ne peux parler tranquillement à sa mère que quand cette dernière est d'humeur. Car autrement, elle se faisait rabaissée plus bas que terre.
Pour de simples tâches non accomplies, elle pouvait s'entendre se faire humilier par sa mère. Que ce soit en public ou en privée.
Quelqu'un qui défendait toujours ses proches, tandis qu'eux, pouvaient faire comme les autres et se joindre à une discussion qui argumentait tous ses défauts. Alors que dans l'ombre, quand ses mêmes gens se critiquaient entre eux, elle ne participait pas aux messes basses.
Certes, elle n'était pas parfaite. Mais méritait-elle vraiment ça ? Je ne pense pas.
Elle n'avait aucun repère. Personne avec qui se confier à part sa meilleure amie. Mais même elle, ne sait pas ce que son amie subit tous les jours.
Quand la famille la valorise pendant une fin de trimestre à la vue de bons résultats, et parle d'elle en mal le reste des jours de l'année. Et même là. Si elle n'obtenait pas la meilleure note, ou si elle allait en dessous du critère 'bien', alors toutes ces autres bonnes notes ne valaient rien.
Se faire qualifier 'd'intelligente' le matin et de 'déséquilibrée mentale' le soir, c'est un bien étrange équilibre.Dans un famille où la lutte pour avoir la fierté de ses parents, c'est comme courir après le vent.
Et puis, l'enfant grandit. Les sœurs partent les unes après les autres et elle se retrouve seule avec sa mère.
Elle se disait: ‘Tant mieux. Ça fera moins de disputes. Donc moins de stress pour moi’. Elle avait tellement mis cet aspect devant qu'elle avait enfoui le côté qui montrait que les choses ne seraient plus jamais pareilles
C'est vrai. Ses sœurs n'étaient plus là pour rester près d'elle. Mais allait elle s'en sortir avec sa mère impulsive? Arrivera t'elle à jouer la comédie, prétendant que tout va bien?
L'ambiance pourtant était toujours la même. Si sa mère était de mauvaise humeur, alors il fallait se débrouiller pour ne pas la contrarier. Mais comment faire avec quelqu'un qui s'énerve pour tout et pour rien?Dans une famille où à l'adolescence, on ne remarque que le fait que la jeune femme est trop collée à son écran lumineux. On ignore le fait qu'elle soit si introvertie, qu'elle n'ait pas beaucoup d'amis, qu'elle ne soit pas sociale, peu bavarde, profonde dans ses propos ou beaucoup dans son coin. On ne cherche pas à savoir si elle a des problèmes plus profonds que ce qu'elle montre. Après tout, personne n'aime étaler sa vie.
En gros, une famille où on ne voit que ce qui nous arrange. Ou on hésite pas à pointer du doigt les défauts d'un tiers. En oubliant les siens. Comme on dit, ‘montrer la paille dans l'œil de l'autre sans voir la poutre qui est dans le notre’.
S'éforcer de faire le bien dans ce genre de monde, est problématique.
Étrange que ‘l'endroit le plus réconfortant’ comme diraient certains, soit celui duquel on aimerait s'échapper. S'enfuir sans revenir sur ses pas.Mais là encore. La plus grosse injustice, c'est de détester et aimer en même temps. Qu'elle ne puisse pas garder rancune à la personne qui lui a fait tant de mal. Et qu'elle se sente obligée d'aider à relever celle qui lui a planté un couteau dans le dos et qui lui marquera à jamais.
Certes maintenant, elle supporte la douleur et est prête à affronter cette vie quelle que soit l'épreuve, mais fallait il vraiment qu'elle passe par cet îlot de souffrance si jeune?Alors j'aimerais dire qu'il nous suffit d'ouvrir l'œil. Certains vivent sans famille parce qu'ils en ont été privés, et d'autres, parce qu'ils ont eu même décidé de s'en séparer. Mais ce n'est pas à vous de juger
On a pas forcément besoin de la famille tout comme on a pas forcément besoin d'habiter dans une villa pour vivre.
Avoir une famille heureuse, c'est un luxe que malheureusement, beaucoup n'arrivent pas à se payer.
L'avis le plus répandu serait que les familles pauvres ne trouvent pas le bonheur parce qu'elles n'ont pas autant d'argent que les familles de riches et les familles de riches, parce qu'elle n'ont pas l'entraide et l'amour qu'ont les familles pauvres. Mais que dire si la famille est pauvre et sans entraide?
L'exemple de cette petite fille n'est qu'un parmi tant d'autres. Et il y a pire que ça.
Alors la famille est aussi nécessaire que secondaire.
Je parle là des cas où on est dans une famille compliquée et où on a pas encore fondé sa propre famille.
Si quelqu'un est né dans ce genre de famille, il/elle ne devrait pas faire comme ses parents. La personne devra chercher à acquérir la confiance de son enfant. Et pas par la force.
C'est prouvé. La parents stricts créent les plus grands stratèges et manipulateurs.
En attendant, si vous avez grandit dans une famille qui se soutient, vous devriez être contents et remercier Dieu. Car ce n'est pas le cas de tout le monde.Je suis assez bien placée pour parler de tout ça, car l'histoire de cette jeune fille dont on a parlé plus haut, c'est la mienne.
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Pensées D'une INFP🖤
De TodoIci, je mettrai des pensées assez personnelles. Assez profondes pour certaines. Je ne compte pas parler en mesurant mes mots donc ceux qui sont trop fleur-bleu, c'est mieux que vous ne le lisiez pas. Il n y aura certainement pas tout ce qui me passe...