Chapitre 1

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Aujourd'hui était un matin comme tout les matins pour Lola McKinley. Un réveille après une nuit plus que compliqué. Cela faisait plus d'un an que la sois disant tempête de sable était passée mais pourtant aucune solution, aucun remède n'avait été trouvée pour les personnes atteinte par des symptômes suite au passage de celle-ci. Et malheureusement Mickeal McKinley, le mari de Lola avait été atteint par ce symptômes. Toux, insomnie, fièvre délirantes, pertes de mémoire et parfois vomissement.

Lola se redressa dans son lit, seule et solitaire car elle faisait chambre a par avec son mari. On disait au informations que la maladie causée par la tempête de sable noir pouvait être contagieuse , et Lola avait malheureusement besoin d'argent pour pouvoir entretenir le petit cottage qu'ils avaient acheté deux jours après leur mariage dans la petite ville de Sugar Valley.

Elle s'étira, bailla, puis posa un pied au sol dans sa chemise de nuit rose et blanche en dentelle.

- Aller ma vielle on se lève, on déjeune, on enfile encore une fois cette maudite blouse et ces maudites chaussure, on se bande les yeux et on attend. Dit Lola en chuchotant.

Malgré ces 24 ans Lola avait des douleurs de personnes âgées. Mal de dos, jambes lourdes, douleur inexpliquée dans les articulations et j'en passe. Elle se leva, chauffa les dernières gouttes de cafés qui lui restait et le savoura rapidement avec des toasts de pain ranci. Elle pris une douche, se brossa les dents, s'attacha les cheveux puis, elle tourna la tête et aperçu son mari.

Elle s'empara d'un morceau de tissu, se l'attacha comme une écharpe et le remonta de façon a ce que celui-ci protège sa bouche. Puis elle s'approcha d'un pas léger, déposa un baiser sur son front et lui chuchota.

- A ce soir mon amour, repose toi bien, tout se passera bien.

Ces mots était sont rituel du matin. Un rituel qui la rassurait plus elle que lui mais elle se disait que au font de lui, Mickeal restait mickeal et non un inconnu comme elle l'était pour lui.

Elle tourna les talons, s'empara du panier repas préparé la veille, enfila sa blouse ces chaussures, se plaça devant sa porte d'entrée, se banda les yeux a l'aide de la fameuse écharpe puis elle sorti sur son porche.

Aucun bruit, pas de crie, de rire, de discussion, rien. Rien hors mis le sifflement de la brise qui venait lui caresser le visage, faire voler quelques petites mèches de ces cheveux qui venaient lui chatouillé les joues. Elle attend quelques minutes comme sa figer, droite comme i, comme si le monde entier c'était mis en pause.

Puis la elle l'entendît. Le fameux bourdonnement lourd du moteur du bus des ramasseurs. Elle avança droit devant elle de dix pas , dix pas qui l'amenait chaque matin, jour après jour pile au bord de la route. Et la, le bruit des portes se fit entendre, et le ramasseur descendit.

Derrière la fenêtreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant