Chapitre 2

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- Aller, avancer. Lui lança froidement le ramasseur. Dépêchez-vous. Ajouta-il en la poussant doucement dans le dos.

Elle monta dans le bus. Le ramasseur la suivi, ferma les portes et la conduisit a sa place. Dans le bus personne ne parlait, tout le monde devaient garder les yeux bandé. Lola se retrouve rang 3, coté aller central du bus a coté de Marie Li.

- Bonjour Mari. Chuchota Lola.

- Silence ! Hurla le ramasseur.

Lola et Marie eurent un gloussement de rire. Le ramasseur mit le contact, le bus se mit a rouler. A se moment précis Lola n'avait qu'une idée en tête lui hurler de s'arrêter pour rester au cotés de son mari mais elle ne pouvait pas se le permettre. L'argent lui manquait. Malgré la catastrophes, les crédits devaient quand même être remboursés, les frais d'électricité, d'eau, de chauffage augmentaient de jour en jour et les vivres diminuaient de plus en plus rapidement. Pourtant la population n'augmentait en aucun cas, car soit veuf ou veuve, soit sans relation avant la tempête. Et comme vous deviez vous en douter les rencontres été impossible en dehors du travail.

Après quatre arrêts de plus, ou quatre personnes on été ramasser, le bus s'arrêta et le ramasseur cria :

- Terminus !

Il ouvrit les portes, leur ordonna de retirer leur bandeaux des yeux et chaque personnes descendit du bus accueillis par deux gardes armée et prêt à tirer. Il y a quelques mois, deux personnes tombés amoureuse, on essaye de s'enfuir a l'extérieur pour faire leur a faire. Depuis se jour le bus n'ouvrait plus ces portes sur un long couloir vide ou les fenêtre était teintée mais sur un long couloir avec deux gardes qui accompagnaient chaque jour les ouvrier de cette entreprises de couture.

Tout les jours, Lola, s' asseyait a sa place devant une des nombreuse fenêtre se trouvant dans l'entreprise.

La radio s'alluma, la musique se mit a résonner dans tout l'entrepôt puis les baffes se mirent a grésiller. Un voie de femme dur, stricte et sans pitié se fit entendre.

- Au travail ! Et que sa saute fainéant ! Pas de bavardage, pas de pause et sa jusqu'a ce que les deux aiguilles soit au nord !

Marie regarda Lola du coin de l'oeil. Les tables n'étaient pas énormément éloignées mais des pions tournaient au milieu des allées pour s'assurer que tout le monde travail et que personnes ne discute.

- Alors comment il va ? Chuchota Marie.

- Il a encore oublier qui je suis. Il m'a appelé Paola puis m'a hurlé de dégager. Il était à quarante de fièvre a ce moment mais sa m'a blessée, il a fallu vingt minutes avant qu'il se calme et arrête de m'hurler tout un tas de grossièretés et qu'il finisse par vomir de toutes ce tripes.

- Silence ! Hurla un des pions proche des filles.

Elle le regardèrent du coin de l'oeil s'éloigner.

- T'es tu déjà demandé ce qu'il peut bien rester la dehors ?

- Lola, tu sais très bien qu'il n'y a plus rien la bas.

Un énorme boom se fit entendre dans tout l'atelier. La musique cessa, plus un bruit ce fit entendre. Tout le monde tourna la tête les uns vers les autres en cherchant d'où le bruit venait.

La femme cruelle contacta un a un ces surveillant en leur disant de ne plus bouger, plus faire un bruit.

- Qu'est-ce qui se passe ? Demanda Lola.

- Nous ne savons pas ce qu'il ce passe mais rester tous calme. Dit un pion poster devant toutes les tables.

Des coups de feu se firent entendre autour de l'entrepôt puis un grand silence.

- Au travail ! Dit la femme au micro.

- Qu'est-ce que c'était a ton avis? Demanda Marie a Lola.

- Aucune idée. Mais les coup de feu semblait réel.

- Exercise de tire ! Hurla la femme au micro. Ce n'était que des exercices de tirent rien d'inquiétant. Au boulot maintenant !

Derrière la fenêtreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant