Derrière la fenêtre

Chapitre 3

La journée se termina plutôt bien pour Lola. Elle et Marie avaient passer un agréable moment lors de la pause déjeuner. Elles avaient bien plaisanter avec leur collègues, sa malgré la fusillade étrange et sans réponse de ce matin. Mais sur le trajet du retour Lola n'avait pas cessée de penser à celle-ci.
Que pouvait-il bien s'être passé ? A qui était destiné ces tirs ? Puis une chose lui revint en tête, elle avait déjà son lot de problème. Elle décida donc de lâcher l'affaire et de se concentrée sur ce qui l'attendais à la maison.

- Mme McKinley ! Cria le ramasseur, afin que Lola se lève.

Elle se leva donc, le ramasseur lui prit le bras, la conduisit rapidement jusqu'à la sorti du bus où il l'aidât a descendre. Lui, remonta dans la bus et continua sa route. Tandis que Lola, comme se matin, fit dix pas jusqu'à sa porte d'entrée mais a l'idée de rentrer et de trouver la maison dans un état pitoyable, elle resta plantée là quelques minutes et respira tranquillement afin de ce détendre. Elle posa sa main sur la poignée de la porte puis l'ouvrir.

- Coucou mon amour ! Lui dit Mickael sur un ton enjoué.
Debout devant elle comme si il allait bien, il déposa un doux baisé sur son front. Surprise de ce qu'elle voyait la, elle resta bouche bée et ne sue que répondre.

- Ça va ? Tu en fait une tête dit donc ! Dit Mickael un sourire magnifique et magique au lèvres. Sourire qui manquais énormément à Lola.
Puis la Mickael s'effondra au sol, pale comme un linge. Lola soupira, fatiguée de toujours espérer que ces moments de bien être de son époux ne dure qu'un lapse de temps indéfini. Elle posa c'est affaire, releva tant bien que mal son époux, le remit au lit, lui prépara une serviette chaude et humide qu'elle vint déposer sur son front puis elle s'affaira au ménage restant et cuisina un bon petit repas. Une soupe de tomate avec quelques feuilles de basilic. La seule et unique chose qu'elle pouvait se permettre de se payer pour le moment et la seule chose que Mickael allait accepter d'avaler suite à son malaise.

- Mickael, mon chéri. Dit Lola calmement, d'une voie douce et tendre.
- Qui êtes vous ? Que me voulez vous ?
- Tiens mange.
- Non ne me toucher pas ! Je n'avalerai rien venant d'une souillon comme vous. Ma femme Carmen m'attend à la maison avec mes deux filles. Si sa ce trouve vous chercher à m'empoisonner.

Voilà ce que Lola subissait chaque jours. Il n'y avait pas un jours ou Mickael ne changeait pas de personnalité et de vie, pas un jour ou elle espérait que ces crises de bien être soit réel et définitifs, pas un jours ou elle souhaitait que sa ne soit qu'un rêve mais malheureusement tout sa était bien réel et ce qu'il ce passait pendant ce temps a l'extérieur également.