III-Je te vois

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Corkus : Quand j'y pense, elles sont plutôt mignonne les domestiques d'hier. Où est-ce que tu les as trouvé Rickert ?

Rickert : Je les ai rencontrées par hasard... et elles ont un prénom je te signal !

Corkus : Ouais, ouais.

Casca : Allez, au travail au lieu de discuter.

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Luanne : Sérieusement, pourquoi demander autant de fleure ? Deux panier rempli, c'est assez lourd quand même.

(t/p) : Courage Luanne, on y est presque.

Sous la demande du Roi, Luanne et moi devions cueillir les plus belles fleurs présentes dans les prairies non loin du château afin de pouvoir décorer la salle ou se déroulera le dîner de ce soir.

Je me retourne pour faire face à Luanne quand j'aperçois un cheval au loin courir vers notre direction.

(t/p) : Luanne attention !

Dans un élan, je lâche mon panier pour saisir Luanne par les bras et éviter le pire. Sur le sol, je me relève et Luanne fait de même.

Luanne : (t/p) tu n'es pas blessée ?!

(t/p) : Non, et toi ?

Luanne : Je n'ai rien grâce à toi. Mais d'où vient ce cheval ?

Lorsque Luanne pose cette question, je vis au loin un homme de grande carrure et à la chevelure si peu ordinaire s'approcher de nous.

Griffith : Veuillez m'excuser, l'un de mes hommes n'a pas su retenir son cheval.

Luanne : Oh, ce n'est rien, ne vous inquiétez pas.

(t/p) : « Il n'est pas obligé de se forcer de sourire... »

Griffith : Vous êtes blessée ?

(t/p) : Nous allons bien merci.

Je balaye du regard le sol et vois que mon panier était sur le sol et les fleurs éparpillée un peu partout. Par chance, le panier et les fleurs de Luanne sont intacte.

Luanne : (t/p) tes fleurs !

Elle s'empresse de se baisser et de remettre les fleurs dans mon panier, mais je l'arrête.

(t/p) : Ne t'inquiète pas, je m'en charge, toi apporte ton panier avant que Dame Anne ne se plaigne de notre retard.

Luanne acquiesce à contre cœur, se relève et retourne vers la salle de réception.

Griffith : C'est en partie de ma faute, je vais t'aider.

Griffith se positionne en face de moi et se baisse. Pour une quelconque raison, je me sens gênée et fuis son regard.

(t/p) : Ne vous sentez pas obligé, je peux m'en charger seule, peut-être avez-vous des choses plus importante à faire ?

Griffith : Ma présence t'importune ?

Surprise par ses mots, sonnant comme s'il avait lu dans mes pensées, je le regarde pendant quelques secondes, sans ne rien répondre.

(t/p) : Non, non sûrement pas.

Un rire nerveux met un terme à ma phrase.

Griffith : Dans ce cas, il n'y a aucun problème à ce que je t'aide.

Griffith x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant