SUGAR DADDY TOJI X READER

CHAPITRE UN

UNE PRÉSENCE ÉTRANGE ,remplissait le bâtiment abandonné de l'école, c'est pas que (t/p) allait se plaindre. Après tout, le groupe a déjà dû supporter les plaintes désinvoltes de Yuji à propos de son manque apparent de petit-déjeuner - elle n'était pas sur le point d'aggraver la situation. Bien que ce soit étrange, contrairement aux zones maudites précédentes que la fille avait rencontrées ... ici c'était comme si les murs étaient pleins de vie. Bourdonnant d'excitation, pour le moins ironique. Cela mit la sorcier sur les nerfs, elle se demanda si Megumi ressentait la même chose. Se concentrant en avant, une rafale de vent inattendue souffla dans le couloir. La force a renversé des pupitres d'école abandonnés et envoyé voler des papiers errants. S'il était pris au dépourvu, n'importe qui pourrait être gravement blessé. "Nous devons nous séparer, nous avons trois étages à couvrir." Yuji était étonnamment contre l'idée de Nobara, mais la majorité a statué. Après que le groupe ait mentalement parcouru le plan, le quatuor a décollé dans des directions différentes. (t/p) prendrait le dernier étage avec Megumi, Yuji la deuxième et Nobara la première. En remontant le dégradant escalier nord, la jeune fille anxieuse s'enfonça les nerfs dans les tripes. Elle n'a jamais été fan de suspense, surtout quand une malédiction peut se cacher au coin de la rue. C'était presque comme si une peur du saut pouvait se produire à tout moment. Retenant son souffle, elle aiguise ses sens pour la bataille à venir. Au coin de la rue (t/p) s'arrête brusquement, ses yeux remarquant un jeune homme habillé en tenue d'employé de fast-food caché derrière un pupitre d'école.  « Ça va monsieur ? » Même de l'autre côté de la salle de classe, elle pouvait sentir sa peur, la sueur nerveuse qui coulait à ses pieds, les larmes obstruant sa vue. « Vous devez partir ! Vous devez vous cacher avant qu'il ne vous trouve ! se glissa en avant, l'homme qui semblait au début de la vingtaine trembla violemment. peu d'endroits où le démon pouvait se cacher à part les bureaux et les étagères de livres, la pièce était assez ouverte. Toute la situation l'a mise sur les nerfs, et c'était avant que Megumi n'ouvre la porte coulissante arrière de la pièce. "(t/p)-" Détachant ses yeux de l'environnement pour se concentrer sur son partenaire, le mouvement laxiste l'a laissée ouverte aux attaques. Les grandes vitres des fenêtres firent soudainement irruption, faisant pleuvoir du verre sur le trio. Le civil hurla à la vue du sort de bas niveau. Avec une explosion de puissance écrasante, dans un virage rapide (t / p) a rapidement décapité la monstruosité. Megumi a presque pensé que c'était beau, à quel point c'était sans effort. À quel point ses mouvements étaient efficaces, c'était si elle était l'incarnation de la grâce - sanglante et tout.  Pourtant, il gardait ces pensées pour lui, chacun avait ses propres problèmes. malédiction est captif. "Tu es en sécurité maintenant, c'est mort." L'homme malgré le fait qu'il soit plus âgé que le couple, il tremblait comme une feuille. Peut-être était-ce parce qu'ils étaient plus préparés ou avaient de l'expérience mais, quoi qu'il en soit, l'homme ne se lèverait pas du sol. Megumi s'avança et fit sortir (t/p), "c'est bon, va rejoindre les autres ; Je l'ai".  Avec un simple hochement de tête, la fille partit rapidement. Retransformer son katana en une source d'énergie instable et secouer ses épaules raides - pendant tout ce temps, l'homme sur le sol regardait avec perplexité. "Qui êtes-vous les gars ?"

***

Après leur retour aux dortoirs (t/p) soupira, elle n'était pas exactement ravie d'être à l'épicerie, mais elle supposait que ce qu'elle méritait d'avoir mis tout le monde en retard. Ses yeux regardaient sans réfléchir les fruits périssables et légumes roulés sur le tapis roulant.

"Votre total est de 4491 ¥"En mettant la main dans la poche de sa veste surdimensionnée, la (c/c)-nette a attrapé un 5000¥ émietté. En le passant sur le comptoir, la caissière fatiguée lui a passé les deux sacs en papier et la monnaie. Mesurant la taille de sa charge, (t/p) se mordit la lèvre. Ce serait sans aucun doute un défi de les ramener seul. Merde, j'aimerais accepter l'offre d'aide de Gojo !" Aurez-vous besoin d'aide, mademoiselle ?" Secouant la tête et empochant les pièces, ses petites mains enroulées autour des poignées fragiles des sacs. "Non, ça ira. Merci."

En sortant par les portes automatiques, (Y/n) se maudit silencieusement. Le vent du soir était vif et le changement de saison a apporté des nuits froides du mont Fuji. Je vais bien, j'ai géré pire. elle devrait sans aucun doute grimper pour atteindre son dortoir. Elle avait marché jusqu'au magasin, après tout, il n'y avait que 3 pâtés de maisons - si vous réduisiez les escaliers, elle devrait sans aucun doute monter pour atteindre son dortoir. 

Serrant plus fort les sacs en papier brun et épais, la jeune femme a commencé son voyage audacieux. a regardé les lumières s'éteindre dans les maisons sur son passage, les familles se rendant pour la nuit et "fermant le magasin". D'une certaine manière, l'atmosphère la mettait à l'aise, cela lui rappelait les jours à la maison – les plus agréables du moins. 

Ce n'est que lorsqu'elle a entendu un gémissement douloureux qu'elle a été retirée de ses souvenirs. Devant, entre deux complexes d'appartements, dans une allée faiblement éclairée, des échos de douleur ont rempli les oreilles hyper sensibles de la fille. examinez le bruit. "Qui est là ?!" 

Elle remarqua immédiatement que c'était une voix rauque, probablement celle d'un homme plus âgé. Il était tendu - il était sans aucun doute blessé. Près de la silhouette affaissée (t / p) haleta, l'homme magnifique mais à l'aspect mortel s'agrippa désespérément à son côté. Un sang écarlate profond tacha sa chemise blanche, faisant des flaques d'eau sous sa silhouette. Elle courut à ses côtés et pressa sa main contre la sienne, il lui sembla que s'il bougeait, un organe tomberait. 

"oh mon Dieu, laissez-moi vous aider !" L'homme aux cheveux noirs grommela - c'était probablement quelque chose de négatif encore, en raison de son manque de perte de sang, son discours était visiblement brouillé. L'esprit de (t/p) s'emballait, elle ne pouvait pas peut-être le porter jusqu'à son dortoir et elle n'a pas apporté son téléphone afin qu'elle ne puisse pas appeler une ambulance. Jetant un coup d'œil à ses sacs d'épicerie, elle enroula son bras massif autour de ses épaules minces. Je vous ramène à la maison, ne vous inquiétez pas. "  En le traînant dans les rues sans vie de la banlieue, (t /p) a senti la sueur couler sans cesse sur son front. la femme traînait derrière elle quatre sacs de pommes de terre. Elle jeta un coup d'œil à la clé d'un numéro d'appartement, le 140. Dieu merci, c'est au premier étage !

À mi-chemin dans le couloir, elle trouva la pièce, enfonçant au hasard la clé et en tournant (t/p) ouvrit la porte. Immédiatement, observant son environnement, elle trouva un canapé au centre du salon. En traînant son mystérieux homme, elle plaça nerveusement son corps sur les coussins. Ce n'était plus qu'une course contre la montre, arrachant rapidement les portes des armoires et ouvrant les tiroirs à ustensiles, la jeune sorcière trouva ce qu'elle cherchait si désespérément. bin, ses yeux s'écarquillèrent devant les matériaux à sa disposi. Il doit être une sorte de "préparateur"

Remontant soigneusement sa chemise et examinant sa blessure, (t/p) a commencé son travail. Elle a silencieusement remercié sa mère d'être un médecin si encombré, il s'avère que lire des livres médicaux à un jeune âge s'est vraiment avéré utile." Ne vous inquiétez pas, tout ira bien !"

L'homme de grande taille étendu sur le petit canapé glapit alors que la petite fille versait du désinfectant sur sa plaie ouverte. Remontant ses manches et l'amenant vers l'avant, elle l'enveloppa étroitement, empêchant toute perte de sang.

Elle espérait silencieusement que cela suffirait, qu'elle ne pourrait pas effectuer de transfusion sanguine et même si elle le pouvait, elle n'était pas sûre qu'ils soient du même groupe sanguin de toute façon. Le soulevant une fois de plus, elle traîna le civil blessé dans une chambre ouverte. . L'allongeant, elle retira ses chaussures et son pantalon, ne le laissant que dans son boxer moulant et ses bandages. Elle savait que ce n'était pas le moment approprié mais, son souffle coupé par la taille du renflement à l'avant de ses sous-vêtements .C'est comme s'il avait fourré une papaye là-dessous ! 

Elle rougit écarlate en le poussant sous les couvertures. Secouant ses hormones, elle ramassa ses vêtements méprisés et les plaça dans le linge sale. A côté du lit king-size, la lycéen attendait. Remarquant les petites cicatrices qui jonchaient sa peau légèrement bronzée, la jeune fille se mordit la lèvre. C'est presque un crime d'être aussi beau.

Allongée sur ses bras croisés, elle sentit ses paupières s'alourdir à force d'exercer tant d'énergie en si peu de temps ; la dernière chose à laquelle elle pensait avant de s'endormir était l'incroyable explication qu'elle aurait à donner à Gojo sensei demain.