Chapitre 8: Coeurs Blancs

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Coucouu, j'espère que vous passer des bonnes vacances, moi ouii c'est trop bien !

Nouveau chapitre...

Un pvd de Natanael et de León vous attends!!

J'espère que vous allez aimer !
Bonne lecture 💕

No'

(Natanael en média)





Natanael

Je descendis de ma moto, retirais mon casque et le pris avec moi.

Je me recoiffais les cheveux, partis en vrille à cause de ce foutu vent, une tempête approchait...

J'entrai dans le bâtiment, posais mon casque sous mon étiquette prénom, oui ok on étaient à la maternelle et alors, vous jugez ?

León aime tous se qui est organiser, propre, nickel bref tous les adjectifs signifiant strict comme un daron de quarante balais.

Je montai les escaliers, me menant à la salle de réunion, un marathon à ce niveau là !

Andres se tenait devant la porte, scrutant le vide, celui-là un vrai boulet, comprend pas comment León pouvait l'avoir choisi, lui !

Il ressemblai à rien avec sa petite mèche là !

- On se réveille mon coco d'amour, m'exclamais-je en claquant des doigts juste devant ses yeux, fallait pas se coucher tard quand on ne peut pas supporter le lendemain.

- T'as gueule Nate et d'abord c'est toi qui à fait la bringue, samedi soir. Tu tenais plus debout, choupinet.

- Mouais, je m'en souviens plus mais par contre j'ai trouvé la plus belle fille que je n'eus jamais vu de ma vie, son odeur... rêvassais-je son visage apparaissant dans ma tête comme un songe.

- Oui, oui, bah tu vois j'en ai rien carré de t'es béguins idiots en p...

- T'es complètement cinglé, c'est plus qu'un béguin c'est un coup de f... entamais-je après l'avoir coupé, lorsque se gros connard de bodybuilder, d'Antonio, passa entre nous deux excéder et entra dans la salle.

Andres et moi nous dévisagions, en ouvrant grands nos yeux et notre bouche, une expression qui voulait dire du genre "cette montagne de muscles nous a coupée, de mauvaise humeur en plus".

- Mais le fou, il y a un problème, s'énerva Andres, je posai une main sur sa poitrine le faisant reculer et disant sarcastiquement:

-Non Andres n'y va pas, je peux le faire payer seul !

Celui-ci se détacha de moi n'oubliant pas de me foudroyer du regard, et déclara:

-Bon on y va, León va nous engueuler.

Il passa devant moi et alla s'assoir à place, je fis de même en reprenant mon sérieux.

León entra quelques minutes plus tard, le silence ce fit dans l'assemblée et tous se levèrent moi y compris, notre chef nous adressa un léger signe de tête, nous pouvions nous rassoir.

Il avait l'air d'une humeur massacrante...

C'était un homme très imposant, paraissait froid mais en réalité il était très froid, nuance attention !

La réunion démarra comme habituellement, relevaient des comptes, félicitations du chef pour les missions réussites.

Lorsque ce pauvre bâtard d'Antonio pris la parole je sus qu'il allait dire une grosse connerie...

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