Chapitre 12: Prisonnière

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Coucou...

On est a plus de 3K !!
Merci pour tout !
Je vous aimes fort ! 💞

Comme vous le voyez new chap !
J'espère que vous allez l'apprécier !!

Bonne lecture 📖

No'

....

Sierra

Mes iris s'habituent peu à peu à la pénombre dans laquelle je me trouve, soudain je rencontre des pupilles, ses pupilles vertes...

Je me redresse, tentant de reprendre mes esprits...

Les événements revirent dans ma tête comme des sortes de flashbacks...

Bordel

De

Merde

Je me forte vivement les yeux, pour m'assurer que tous cela n'est qu'un affreux cauchemar, hélas pour moi c'est bel et bien réel...

Je regarde instinctivement tous les coins et recoins de la pièce cherchant une sortie à laquelle je puisse accéder.

- Tu est enfermée, m'indique León de sa voix rauque et portant une pointe de colère.

Je vais le tuer...

Je m'élance vers lui prête à en découdre...

Je suis vite calmer par les menottes accrochés au mur qui me ligotent fermement les poignets.

Mon agresseur de merde ricane d'un air amusé.

- Tu est attachée, se moque-t'il.

Non sérieux ?
J'avais pas remarqué, heureusement que t'es là !

- T'es vraiment un gros chieur de merde, idiota, mais laisse moi partir putain, je veux rentrer chez moi ! Criais-je, tirant sur mes liens comme une forcenée.

Il s'avance dangereusement vers moi, s'accroupît pour que nos visages soient à la même hauteur, relève mon menton, oubliant toute délicatesse, puis il approche lentement sa bouche humide de mon oreille.

Mon rythme cardiaque s'accélère inconsciemment, de haine...

- Tu vas me dire tous ce que tu sais sur ton père, d'accord ? Murmura t'il, contre mon cartilage.

C'est alors qu'à l'aide de mes jambes, elles totalement détachées, je balance violemment mon pied dans son engin.

Il s'écarte immédiatement de moi, calmement les battements vifs de mon cœur.

Il pose directement sa main contre sa partie endolorie, me traitant de connasse à tout va.

J'affiche un grand sourire satisfait sur mon visage en voyant la douleur passagère que je lui ai causée.

Fierté rapidement remplacée par la peur en le voyant s'approcher de moi, je relève un peu plus la tête en le voyant sortir son arme.

Il retrace les contours de mon visage démarrant par ma tempe droite jusqu'à frôler mes lèvres de son canon, ses pupilles dans les miennes...

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