Psykokwak, Akwakwak

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Il est des gens chanceux, d'autres nés malheureux.
Un pêcheur gargouillait, ce depuis quatre jours.
Il trouva ce matin une calme rivière,
Tandis qu'un Pyskokwak le narguait sans bouger.
Le soir, on ne vit plus qu'une canne à la rive,
Le corps fut emporté lorsque midi sonna,
Tandis que Psykokwak n'avait d'un pouce agit.
Ces eaux étaient sacrées, gardées par Akwakwak,
Il noya sa victime, Akwakwak fait cela,
Tandis que Psykokwak, lui, restait immobile,
Car lui devait lutter contre un mal intérieur,
Un rocher permanent écrasant son esprit,
Dévorant sa raison, sa volonté, sa vie.

Il est des gens chanceux dont le mal se fini,
D'autres nés malheureux, souffrant à tout jamais.

Heureusement humains, la fable est un mensonge,
Nul être en vie ne vit pour toujours, songez-y.

La Poésie des Pokémon - 1GOù les histoires vivent. Découvrez maintenant