Chapitre 3

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Je me demandais si je devais faire un pas vers Minghao. Je veux dire, il est mignon, mais il aime probablement les filles, à cause de Suyeon. Il fait exprès de me frustrer sexuellement, et il croit que je ne l'ai pas remarqué.

C'était un mardi banal, mais au moins j'ai pu voir le mignon petit cul de Minghao dans son short de sport.

Je ne pouvais pas détourner mon regard de lui. Il avait un corps tellement parfais que je devais le toucher, mais je dois me retenir. J'ai supprimé toutes les images du corps parfaitement svelte et adorable de Minghao et me suis concentré sur les échauffements.

« Faites des groupes pour les étirements » a annoncé le prof. Minghao s'est avancé vers moi.

« Soyons partenaires, » me sourit-il gentiment.

Putain.

J'ai hoché de la tête. « Bien sûr. »

Minghao s'est assis sur le sol et a levé sa jambe gauche. « Pousse ma jambe aussi loin que possible. »

Je me suis agenouillé en face de lui et j'ai poussé sa jambe vers sa poitrine. Il a fermé ses yeux et a grimacé.

« Encore, » a murmuré Minghao. J'ai poussé plus loin. J'ai resserré ma prise sur sa cuisse. Alors que je poussais sa jambe, j'ai dû m'avancer. Il a soudainement courbé son dos « Ow, ça fait mal. »

J'ai dégluti « On y'est presque, ne t'en fais pas. »

Il mordit sa lèvre. « Ça fait mal ~ arrête s'il te plait ~ »

Putain putain putain putain !

Il gémit. « Arrête, s'il te plait ! »

J'ai laissé tomber sa jambe, et son souffle est devenu lourd. Mon Dieu, il est si beau comme ça.

« Je dois toujours faire ta jambe droite, » ai-je dis. Minghao grogna.

« Tu es trop brutal, » gémit-il. J'ai murmuré une douce excuse et il a levé sa jambe droite. J'ai agrippé sa cuisse et j'ai poussé sa jambe vers le haut. Minghao souffla doucement « C'est mieux comme ça. »

« C'est mieux ? » ais-je demandé. J'ai poussé plus fort et il haleta.

« Non ! F-fait pas ç-ça ! »

Son visage était rouge et énervé. J'ai arrêté de pousser et ses jambes se sont posées de chaque côtés de moi.

Je lui ai fait un sourire « Est-ce que tu as aimé ça ? »

Il s'est assis. « C'est mon tour maintenant. »

Je pourrais m'y habituer.

70 days without sex // JunhaoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant