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Le bruit de tes pas résonnent le long du couloir qui mène au bureau du patron de la mafia qui t'a contacté

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Le bruit de tes pas résonnent le long du couloir qui mène au bureau du patron de la mafia qui t'a contacté. Tu avais accepté la rencontre juste parce que tu avais déjà entendu parler de cette entreprise. Très bonne réputation, de l'argent à ne plus savoir quoi en faire, c'était juste un coup de bingo qu'ils t'aient contacté. Tu ne l'avais pas fait plus tôt à cause de ta fierté, ce n'est pas toi qui va vers les autres, c'est les autres qui doivent venir vers toi.

Tu étais escortée par deux hommes armés jusqu'à la moelle, ils ne parlaient pas. Le couloir était vide de vie mais très lumineux puisque les murs n'étaient qu'en vitre avec la vue sur toute la ville. Tout ces éléments ne t'intimidaient pas, tu marchaient avec un ennui non masqué et les épaules droites.

Une fois devant les deux grandes portes qui séparaient le couloir du bureau, les deux soldats se placent devant toi pour toquer à une porte, puis ouvrirent les deux après avoir entendu un "entrez" du boss. Les deux soldats entrent et saluent poliment leur patron "Zenin-sama". Tu rentre ensuite dans la pièce avec une démarche assurée, sans aucune faille ou signe de faiblesse, en scrutant tout de haut en bas avec un air de dédain: les personnes, les vitres qui remplaçaient les murs de cette grand pièce, le bureau et son contenu, puis le fameux "boss".

Il était assis nonchalamment dans son fauteuil, la tête baissée mais son regard implanté dans le tiens. Lui, tu le regardais avec tant de mépris qu'un sourit narquois fit place sur son visage. Tu détestais ces vieux porcs qui profitaient de leur argent pour tuer d'autres personnes, mais tu ne te plaignais pas puisque c'était grâce à ce genre de déchet si tu pouvais vivre.

Dans l'assemblée de personne de cette salle, certains étaient intimidés par toi, d'autre n'en avait que faire, et d'autre étaient énervé contre toi. Comment osait-elle venir armée dans le bureau du boss? C'est ce qu'ils pensaient tous. Parce que oui, en effet, lorsque tu es en tenue de travail, ton dos est toujours orné de ton fusil à pompe. Tu as du te battre pour le garder en entrant dans le grand bâtiment de la mafia

"Laissez nous seuls"

C'était les seuls paroles que le patron prononça. Tout le monde l'écoutaient au doigt et à l'œil, puis sortirent tous.

Toi, tu restais devant son bureau à le regarder avec ce même air de dégoût. Un blanc s'installa entre vous pendant un dizaine de seconde.

"Bonjour Kirā." pas de réponse de ta pars.
" C'est un grand jour. Quel honneur d'avoir ta présence ici, c'est bien la première fois que tu acceptes une entretenue si je ne me trompe pas?" Dit-il avec un ton ironique.

Tu ne répond pas. Après tout, ce n'était pas toi qui voulait venir ici, tu n'as rien à dire.

"On a trouvé une grande bavarde" il soupire, l'air déçu et s'affaisse un peu plus dans on fauteuil.

"Je n'ai pas tout mon temps, dépêchez-vous" tu dis, rapidement.

L'homme fait abstraction dont la manière dont tu lui parle et arbore à nouveau son sourire mesquin. Tu lui lance un regard noir et commence à t'impatienter.

we've been loving in silence Où les histoires vivent. Découvrez maintenant