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Avez-vous déjà eu ce sentiment d'être à votre sort ? D'être seule au monde et que tout autour de vous veulent vous voir vous morfondre alors que vous n'avez jamais rien faire pour subir cela ?

J'en suis l'une d'entre elle, je suis une simple ados qui ne demandait jamais en retour, je voulais simplement donner sans pour autant recevoir mais malgré mon apparence cela a jouer de très gros conséquences dans ma vie.

Cela a joué bien des choses dans ma tête et à affecter plus ou moins mon cotidient. Je n'étais qu'une ados de quinze ans quand cela a tout basculer pour moi.

J'avais la main au cœur et ce membre battait à la chamade dans ma cage thoracique, une enveloppe à la main et les joues aussi rouges. Il était simplement à quelques pas devant moi. Souriant en grand et le rire qui résonnait dans mes oreilles était doux et ce son me rendait heureuse.

Je m'approchai enfin de lui et je t'apote son épaule pour enfin avoir son attention ce qui m'hypnotise par sa beauté.

Je bafuige alors qui me regardais irritée et je lui donne en me baissant respectueusement et prend la lettre en soupirant.

Il l'a lis avant qu'un rire ne résonnât dans sa gorge ce qui fait serrer la mienne. Il me regarda amuser trouvant cette situation qu'un film de comédie.

-" tu croyais quoi en me donnant ça ? Riant encore d'amuser.

- n-non, j-je voulais-

- tu voulais quoi ? Tu pensais vraiment que ça m'aiderait à avoir une attirance pour une grosse comme toi ? "

Je sentais mes larmes monter et mes lèvres trembler.

-" je ne pourrais même pas te regarder tellement que tu me répugnes. T'es grosse en plus d'être laide, fais un régime et soignes ta peau, t'a l'air d'être encore dans ta puberté." En écrasant la lettre et le lancer comme un ballon de baskets sur un de ses amis qui trouvait cela amusant.

Le monde autour de moi rigolait pendant que les filles me dévisageaient.

- "si tu croyais qu'un mec comme lui sortirais avec une fille comme toi, tu te mets le doigt dans l'œil la baleine."

Je me mets à pleurer en courant jusqu'à la sortie sous les rires de tout le monde.

-" fait attention de ne pas débouler les escaliers bouboule..."

Cette journée m'a complètement détruit, et les jours d'après était pire, je n'étais qu'une personne qui recevait les pires crasse qu'il existait. Les mots son venu après avec les gestes. Et un jour, il met arriver une chose si gravement qu'un soir, je me suis retrouvé à l'hôpital par le manque de sang qui avait coulé dans ce bain où j'avais tenté de m'ôter la vie.

Cela m'a déchiré le cœur à mon réveil qui m'avait retrouvé dans ce bain.

J'ai promis à ma petite sœur que je me bâterais pour éviter le pire et elle m'a pris dans ses bras en me disant que je ne devais pas être si dégoûter de la vie. Que malgré les personnes cruelles, elle méritait d'être vécue pleinement et pour une jeune fille de onze ans, elle m'a ouvert les yeux.

Les rumeurs avaient circulé dans l'étalement, mais je n'ai fait comme de rien en faisant ce que je faisais entre fois, me concentrer à l'école. Mais des journées, j'avais envie d'abandonner, surtout quand c'est le garçon de votre cœur qui vous fait souffrir.

Il était devenu mon bourreau, faisant jouer mes sentiments autour. Il jouait et se moquait de moi après et un jour, je n'ai plus supporté cela. C'est face à une fille qui m'avais pousser dans les escaliers et mon coude ces casser. À l'hopital même j'ai demandé à mon paternelle si nous pouvons déménager.

métamorphose Où les histoires vivent. Découvrez maintenant