~Chapitre 16~

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POINT DE VUE DE
DJALIL .

Ça fait 30 min qu'on est là et je sent que je vais péter ma tête. Ma mère elle arrive même pas a parler, Samir il veut pas dire ce qu'il s'est passé, Sofiane il est pas encore arrivé, Sabri il est introuvable. Je me sent étouffé. Y'a personne qui veux parler, ils font que pleurer sauf Rokhaya qui essaye de consoler ma mère et Sabrina. Elle aussi elle a l'air mal mais elle pleure pas. Je fait les cents pas, c'est un carnage dans ma tête, je veux savoir qu'est-ce qu'il s'est passé mais surtout qui a fait quoi.

Rokhaya - C'est bon toi, tu vois pas que tu stresse avec tes allers retours ?

- Vas-y ferme ta gueule toi.

Rokhaya - C'est bon parle bien.

Je vais serrer je sent. Je me lève.

Maman - Djalil ! Pleure

Je me suis cassé, ça y est il m'ont tous saoulé. À quelle moment elle se permet l'autre clocharde. Je sort de l'hôpital et sort un joint. Je fume depuis des années mais j'ai réduit ma consommation ses dernières années, je fume que quand je suis tendue ou dépasser.

Elle commence vraiment à me taper sur le système mais de manière incontrôlable, je suis quelqu'un de nerveux et d'impulsifs mais qui sait se contrôler en présence de ma famille mais quand elle est là j'en ai rien à foutre je veux juste la cognée.

Je sent une présence derrière moi, je me tourne et je l'a vois. Je vais l'éclater, finalement mon joint il m'a plus excité qu'autre chose et là j'ai qu'une envie c'est lui rentrer dedans donc je vais l'ignorer.

Rokhaya - Croit pas, c'est ta mère qui m'a demandé de venir.

Je l'a calcule pas et continue de fumer pour m'occuper. Elle avance et se met en face de moi.

Rokhaya - Elle veut pas que tu fasse une bêtise.

C'est bien, elle a une bouche elle peut me le dire seule. Qu'elle se mêle de son cul.

Rokhaya - C'est pas bien ce que tu fait, ta mère elle a besoins de toi.

- Parle pas de ce que tu connais pas.

Rokhaya - Bah peut être mais je sais que c'est pas bien de laisser sa mère seul alors que son fils de 14 ans vient de.... Fin voilà quoi.

- Me casse pas les couille, clocharde. Là je me retiens de pas te rentrer dans un mur. Je m'approche d'elle Quand je te dit de fermer ta gueule , tu la ferme et quand je te dit te mêler de ton cul tu le fait aussi.

Elle tourne la tête à gauche sûrement pour éviter mon regard et la proximité.

Rokhaya - Me parle pas comme ça.

Voilà elle a rien à dire, elle répond toujours la même chose quand elle a plus rien a répondre cette grosse conne. J'allais partir mais je vois Sofiane arriver au loin.

Sofiane - Il se passe quoi la ?

- Rien.

Sofiane - Djalil belek je rigole pas avec toi hein.

𝘚𝘈𝘕𝘚 𝘏𝘈𝘐𝘕𝘌 𝘑𝘌 𝘕'𝘈𝘐  𝘗𝘈𝘚 𝘚𝘜 𝘍𝘈𝘐𝘙𝘌Où les histoires vivent. Découvrez maintenant