~ Chapitre 28 ~

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Il est là devant moi entrain de parler avec un homme d'une quarantaine d'année, de sourire. Il se fout de moi enfaite. Bon peut-être qu'il fait semblant.

Je continue d'avancer plus rassurer je dit rien. Il continue de parler puis l'homme part en me contournant sans se retourner.

Djalil m'a pas adressé la parole et il est partit mettre des  gants de boxe noir.
Ensuite il a sortit des gants blanc et il est a balancer à mes pieds sans m'adresser un regard. Franchement j'ose pas trop parler là. J'ai rien a dire je me sens conne et j'ai honte.

Il se positionne en face d'un sac à côté du ring et il se met à taper dedans.

- Je suis en pyjama.

Il me jette à peine un coup d'œil et ne répond pas.

Sec comme ça ? Je suis vexé là.

DANS LA PEAU DE
DJALIL .

Je continue de taper dans mon sac en pensant a rien de spécial. Je la regarde  à peine. Elle m'a saoulé.

C'est vrais que j'ai exagéré quand j'ai fait le mec qui était en deuil. Mais elle m'a saoulé, elle est jamais contente. J'aurais aimer rester seul penser et assimiler la mort de Marwan mais je suis pas en deuil. Pas à proprement dit avec les déprimes et tout ce qui va avec.

Rokhaya - Djalil ?

Elle l'air hésitante, c'est rare avec elle, ça. Elle me fait presque de la peine.

Je suis pas venu ici pour elle en vérité, elle peut même rester assis et me regarder je m'en fou. C'est la salle de mon oncle, j'y viens souvent après les heures de fermeture. Je lui avais passer des gants juste pour qu'elle me laisse tranquille mais finalement elle va me servir a quelque choses.

J'arrête de taper dans le sac quelques seconde et reprend mon souffle.

- Je te reparle que si tu me rend service.

Rokhaya - Quoi ?

- Tiens le sac.

Rokhaya - T'es sur, y'a pas de piège ?

- Tiens le sac et ferme là.

Elle me regarde de haute en bas et prend le sac.

[...]

Elle a passer ma séance à tenir mon sac ou à  faire les cibles. Façon j'ai pas envie de lui parler. Je vais passé chez moi pour me doucher. Je l'aurais bien déposé mais j'ai pas le temps juste après je dois aller chez la mère a Mehdi avec Mohamed.

Rokhaya - On va où ?

Je réponds pas.

Rokhaya - Dépose moi chez moi.

Je réponds pas.

Rokhaya - Djalil ?

- Quoi ?

Rokhaya - On va où ?

- Chez moi je me douche et je te dépose.

Elle a souffler mais elle a rien dit, elle commence a comprendre.

Après 15 minutes de routes on est arrivées chez moi. On est monté et je suis directement parti à la douche, j'ai mis 10 minutes je pense. J'ai mis un ensemble Ralph Lauren blanc. Quand je suis parti au salon elle était assis sur le canapé à rien faire.

𝘚𝘈𝘕𝘚 𝘏𝘈𝘐𝘕𝘌 𝘑𝘌 𝘕'𝘈𝘐  𝘗𝘈𝘚 𝘚𝘜 𝘍𝘈𝘐𝘙𝘌Où les histoires vivent. Découvrez maintenant