Nous sommes à Saint-Michel l'un des premier village à avoir été colonisé par les Français venus en Amérique. Dans le temps où les catastrophes naturelles étaient courantes; inondations, tremblements de terre, sécheresses etc. Le village n'avait qu'une église et qu'une poignée de seigneuries, à peine plus de 150 habitants. L'histoire se passe dans une maison, la maison de Pierre Hébert, la maison qu'il avait lui même construite sans aucun ami et sans aucun membre de sa famille parce qu'apparemment il n'en avait pas, aucun frère, ni soeur, ni même de parents connus du public. Il était agriculteur l'été comme presque tout les censitaires et bûcheron l'hiver, ce qui fut plus moderniser dans les année 1800. Être bûcheron lui coûta la vie car en 1612 plusieurs personnes disent l'avoir vu partir dans la forêt sans jamais l'avoir vu y en sortir. Personne ne pleura sa disparition ou sa mort pour certain, personne. Il n'était pas croyant, il disait que l'Église ne faisait que manipuler les personnes. Il était un hors la loi parce qu'il passa pour une personne ayant fait le pire crime connu, la haute trahison envers son roi. Plusieurs personnes disent que des choses étranges ce produisent dans la maison même si elle a été bénie plusieurs fois et qu'elle ait des croix un peu partout.
Nous sommes maintenant en 1634 et maintenant ce sont Julien Laviollette et Béatrice Lacasse qui possèdent désormais la maison, normalement ce sont les enfants qui possèdent le terrain des défuns, mais comme Pierre n'avait pas de déscendance le terrain fut remis au seigneur la possédant. Malgré les rumeurs Julien et Béatrice voulaient cette maison au lieu dans construire une.
Comme les rumeurs le disaient une chose étrange se produisait chaque nuit. Un bruit, un cognement dans la porte principale pour être plus exacte. Au bout d'une semaine, le bruit ne dérangeait plus Julien, il faisait maintenant parti de sa vie. Pour Béatrice le bruit était devenu très dérangeant, il se passait toujours la nuit à environ la même heure et avec le même rythme. De plus le bruit était toujours avec la même intonation. Alors un jour Béatrice décida d'aller ouvrir la porte principale lorsqu'il referait le bruit. Comme le bruit était encore dans le jour et que c'était l'été le bruit se passait vers environs 9h30 du soir. Alors Béatrice se mit proche de la porte vers environ cette heure. Et il fit enfin surface. Elle avait attendu le 3e cognement avant d'ouvrir la porte d'une façon brutale. Ce qu'elle vit était tellement effrayant qu'elle n'en croyait pas ces yeux. C'était le néant, il n'y avait absolument rien. Mise à par une personne au loins habillé que de noir sur son cheval noir avec de belles tâche brune qui le rendait sublime. L'homme était bien trop loin pour que ce sois lui qui est cogner à la porte et il n'y avait aucun bruit de fuite alors Béatrice avait plus que jamais peur de ce bruit. Juste avant de fermer la porte une petite brise de vent s'empara de son corps et elle était frigorifiée autant par le vent que par ce qui viens de ce passer. En plus de sa elle avait senti une odeur qui ressemblait à celle du soufre. Elle retourna se coucher,réveilla Julien et lui dit ce qu'il venait de ce passer. Bien sur il n'en cru aucun mots et se rendormi quelques secondes après. Elle était en rage après lui, mais elle était aussi effrayé. Elle se mit à penser à tellement de questions tellement que plusieurs ce ressemblais. Est ce que la maison était vraiment hanté ? Si oui pourquoi es ce qu'elle l'était ? Est ce que les rumeurs était finalement vrai ? Presque tous dans ce genre la.
Béatrice avait à peine dormi, elle avait peur que malheur lui arrive si elle fermait les yeux. Elle c'était enfin décider d'aller voir le prêtre, Paul, pour aller lui dire ce qu'il pensait de cette histoire plus au moins réel. La discution fini avec les mots du prêtre <<faite attention à vous madame Lacasse, dieu est toujours avec nous, mais parfois son fils veut prendre le déçu>>. Elle reparti les pieds traînant sur la route de terre plutôt étroite. Arrivé chez elle, Béatrice dit à son mari de rester éveillé avec elle jusqu'à ce que le cognement reface surface. Il resta avec elle pour lui prouver que ce n'était que son imagination, que rien de dangereux ne pourrais leur arriver. C'était enfin l'heure, le bruit allait enfin pouvoir ce faire entendre et Julien avait envi d'aller se coucher cependant le bruit refit surface.
Lorsqu'elle ouvrit la porte elle regarda Julien dans les yeux en lui lança un
- tu vois que je ne suis pas...
- Bonjour madame Lacasse et sieur Laviolette je vous apporte ce que vous m'avez demandé.
- Bonjour madame Larochelle. Vous nous apporter nos chaussure? Pourquoi les apporter si tard ? Dit Julien
- oh vous me connaissez, demain je les auraient sûrement oublié.Béatrice était en incompréhension total. Avait-elle tout imaginé la soirée d'avant ? Julien l'embrassa sur le front et lui dit <<tu vois, tu n'est pas folle je te le rassure, mais hier ce n'était pas ce que tu croyais. Je ne me rappel même pas que tu m'es reveillé c'était sûrement un rêve>>
La nuit qu'elle avait passer était bien meilleur que les autres, malgrés cela elle avait encore peur... Alors le lendemain soir, elle alla devant la porte et l'ouvrit lorsque le cognement rentra dans ses oreilles. Lorsque la jeune dame ouvrit, l'odeur de soufre était tellement forte qu'elle se mit à tousser, cette fois un homme d'environ 40 ans était la, habiller en noir. Des chaussures jusqu'au chapeau. Et son cheval, noir et brun. C'est à ce moment que Béatrice compris. Ce n'était pas un homme! C'est le fils de dieu. C'était Satan et en personne. << ma maison vous habitez>> cria t'il avait de prendre le cou de cette femme. Il se mit à sourire et à stranguler de plus en plus fort jusqu'à ce que la traché rompe et que l'oeusophage sois visible. On entendit un homme crier << NON >> au loin, avant que Lucifer ne se retourne le sang dégoulinant dans sa main droite. Tout ce passa très vite, mais Paul lanca son écharpe sacerdotale, une écharpe conçu spécialement pour les représentant de dieu. Satan disparu des l'impact et Julien arriva exactement à ce moment, ne voyant que Béatrice. Du sang partout sur le sol son corps inanimé. Sa souffrance était si immence qu'il fit l'irréparable avec son fusil de chasse en prononçant de simple mot. <<Seigneur dieu faite que moi et ma femme soyions de nouveau réunis>>. Deux morts en une nuit, deux mort devant les yeux du prêtre. Qui, seul lui savait ce qui venait de se passer. Il savait que Satan n'était pas vaincu et qu'un jour il reviendrait plus fort et cette fois peut être invulnérable. Mais quand est que ce jour allais arriver ? Et surtout les personnes de ce temps futur seront t'il capable de le vaincre. Toute questions que personne ne pourra jamais répondre.
VOUS LISEZ
Le Mystérieux Bruit
Terrorceci n'est pas une histoire... ceci est une légende type québécoise donc apparition du diable ou de loup garou et d'autre chose du genre...