Douleur, douleur, que me vaut cet honneur ?
Te voilà dans mes bras sans que je le veuille.
Te voilà ancrée en moi à l'instar d'un vulgaire réceptacle.
Le mal se propage sans que je ne puisse y faire quoi que ce soit.
Les pensées déferlent leur négativité à tout va, contre moi.
Et je me meurs silencieusement comme si je n'étais plus chez moi.
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Textes
PoetryPar ici j'écris de courts textes que j'écris, j'espère qu'ils vous plairont !