Ombre, Glace & Feu

Chapitre 1

Deux jours plus tard

Je me réveillât en sursaut, comme toute les nuits mais ce n'était pas grave, j'avais le présentiment qu'aujourd'hui serait différent. Enfin, ce n'était certainement pas qu'un présentiment après tout, c'est ma fête. Un sourire presque joyeux viens s'installer sur mon visage. Aujourd'hui, rien de ne pourras me mettre de mauvaise humeur. Ni Inaya, ni ses sales montres, ni-

Je faillit m'étouffer alors que trois démon virent simultanément sur mon dos en s'accrochant à mon coup pour me dire qu'ils étaient content d'enfin se débarrasser de moi. D'accord je retire ce que j'ai dit. Ces satanés gosses en manque d'amour n'avait pas tenu cinq minutes avant de venir se suicider chez moi. Parce que ça devait bien être leur intentions vu comment ils courraient. Je m'assis en soupirant sur la planche qui me sers de lit alors qu'une autre fille, beaucoup plus douce, vint me souhaiter un joyeux anniversaire. Après tout, je sais que je vais leur manquer à ces enfants, comment ne pourrait-il pas m'aimer au fond? La fille en question s'approcha de moi pour me baiser la joue avant de partir plus vite que les trois autres et je grimaça en me rendant compte qu'elle m'avait léché avec sa langue. Je partit me laver et peu et faillit m'étouffer, pour la seconde fois de la journée, avec ma brosse à dent en entendent des pas hors de l'orphelinat, ni une ni deux, je me lava la bouche et partit au rez-de-chaussée, Je nu même pas le temps de saluer Inaya qu'on cognat à la porte.

Enfin

Un des monstre ouvra et une jeune adulte habillé élégamment entra dans la salle et il ne me fallut qu'un coup d'œil vers le haut de sa chemise pour remarquer le cœur se faisant transpercer par deux poignards. Le symbole représentant les rebelles. Le bruit de ses talons résonnèrent dans le salon et arrivé à ma hauteur, elle haussa son sourcil droit puis baissa ses lunettes au vitre fumé et me toisa comme si elle avait mal vue pour finalement se tourner vers Inaya et pris la parole:

-Ce n'est pas que je cherche à remettre ton talent à chercher des futures rebelles en question mais est-tu certaine de ton choix, un membre de la famille royal? Vraiment?

ne semblant pas le moins du monde impressionner, Inaya répondu à sa provocation en ricanant.

-Voyons Jeanne, il me semble que tu me connais mieux que ça, non? Tu crois vraiment que j'aurais choisis de la prendre dans le programme si jamais ce n'était qu'une simple fille illégitime du roi sans réel potentiel?

"Programme" le mot résonnait dans ma tête. L'orphelina recueillait simplement les enfants pourvu de l'aellena qui avait été abandonné. Je vis Inaya me regarder avant de discrètement montrer sa main qui faisait un signe "Plus tard". Résignée, je décida de ne pas faire quoi que ce soit, elle me connaissait trop bien, elle savait que je ne ferait rien avant qu'on parle mais d'un autre côté, cela me montrait qu'il y avait bel et bien anguille sous roche. Pendant notre échange silencieux, la dame en avait profiter pour m'observer consciencieusement avant de soupirer longuement et de reprendre la parole:

-Soit, elle pourras venir mais si jamais je m'attire des problème pas sa faute, tu ferais bien de faire attention à toi. Et fait moi plaisir, elle me désigna du menton et continua, fait en sorte de cacher ses yeux, d'accord?

-Bien. réplica Inaya. Jeanne se tourna finalement vers moi pour m'adresser la parole pour la première fois.

-Toi, dit elle en me tendant un sac, sois prête dans exactement cinq minute, passé ce délai, on partira avec ou sans toi, est-ce clair?

-Très clair. murmurais-je

Prendre mes affaires me prendrais beaucoup moins de temps que ça et pour cause: Je n'en ai presque pas. Tant mieux, cela me laisserais le temps d'avoir une petit discussion avec Inaya.

Pendant que je fermais le sac qu'on m'avait donné. Inaya vint sur le rebord de la porte. Je décidas de l'ignorer jusqu'à ce qu'elle prennent la parole ce que cette dernière ne tarda pas à faire:

-Je crois que toi et moi devons parler

-Jure la vielle. elle roula les yeux à l'entente du surnom et je repris la parole. Ne crois tu pas que TU as quelque chose à me confier?

-D'accord, je devrais peut-être t'avouer un ou deux faits sur toi et cet orphelina. elle chuchota et je fut assez surprise, c'était la première fois que je la voyais nerveuse et pas en train de me crier qu'elle était encore une femme rigoureuse et juvénile. D'un haussement de sourcil, je l'invita à continuer.

-Nous ne t'avons pas trouvé alors que les rebelles étaient en simple mission de reconnaissance mais on savait où te trouver exactement. je fronçais des sourcil, que voulait-elle dire par là? Avant que je n'ai le temps de l'interrompre elle continua:

-Ikram, alors qu'elle évitait mon regard jusqu'à présent, elle se mit à fixer la prunelle de mes yeux, comme pour m'analyser et lâchât la bombe:

-Tu n'as pas été trouvé pas hasard parce qu'on savait ou tu était, parce que ta mère était avec nous et que le protocole nous interdisait de partir la secourir même en sachant le danger qu'elle courait et c'est le même schéma pour tout les enfant ici, on a décider de si on vous sauvais ou pas selon le travail de vos parents.

Et boum, la bombe a explosé.

-Quoi? Vous.. Vous avez tué ma mère?

-Ne me fait pas me répéter, Ikram. Et quand on a trouvé ta mère, elle était déjà morte, tu sais à quel point les guérisseur sont rare non? Nous ne l'aurions pas tué

-Mais vous saviez où elle était, pourquoi ne pas avoir agis plus tôt? insistai-je. Vous saviez le danger qu'elle courait, elle était avec le roi! Et ne prend même pas la peine de nier. dis-je en voyant l'expression de son visage renfrogner.

- Il est strictement interdit pour un rebelle d'avoir des enfants sans la permission de ses supérieurs, ils rendent leur parents faible et c'est du travail supplémentaire donc ce n'est pas étonnant si nous décidons de me pas sauver un nourrisson inutile ou son parent. son visage qui, il y quelques secondes, exprimait de l'appréhension voir de la tristesse ne reflétai en rien ces émotions, comme si elle n'avaient jamais existé ou plutôt que je les avaient imaginé et je me rendis compte à quel point c'était frustrant. C'étai frustrant qu'elle ne laisse paraitre aucune émotion, c'était frustrant de savoir qu'elle ne semblait rien regretter de ses actions d'antan mais surtout c'était frustrant de savoir que malgré tout ce que j'avais pu subir par le passé, les larmes coulait comme si c'était le premier couteau qu'on m'enfonçais dans le dos.

La femme que j'avais un certain temps considéré comme ma mère me donna simplement un petite boîte et puis me tourna le dos avant de m'avertir qu'il était temps pour moi de partir ce que je fis sans me faire prier.

Je partit pour ne jamais revenir.