chapitre 28

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Finalement, la classe s'est terminée, et Iruka-sensei avait dit bonne chance à tout le monde pour les examens de fin d'études de demain, puis tous les étudiants ont quitté l'académie avec enthousiasme, tous impatients de rentrer chez eux et d'avoir des familles qui l'attendent pour leur donner des dîners et les border. lit. Sasuke devenait toujours un peu déprimé quand il pensait à de telles choses, et il ressentait toujours ce petit pincement de jalousie quand il voyait des parents attendre que leurs enfants viennent à eux pour qu'ils puissent faire des courses ou rentrer à la maison.

La baisse d'humeur de Sasuke lui fit retarder son voyage de retour, donc après avoir quitté l'académie, il se dirigea vers le petit pont boisé du port qui faisait habituellement une halte pour les petits bateaux de pêche et les canoës. Il y allait toujours quand il était plus jeune et vraiment triste, alors il y est retourné. Le soleil se couchait, et c'était une vue magnifique, avec les rayons rouges et orange qui balayaient la terre et le lac en contrebas. Sasuke se dirigea vers le bout de la petite planche de bois, et s'assit avec ses jambes pendantes au bout, effleurant à peine l'eau en dessous.

Chaque fois qu'il regardait son reflet là-bas, il voyait toujours son nii-san le regarder. Leurs similitudes étaient presque étranges. Sasuke détestait ce fait plus que tout. Il ne voulait pas ressembler à Itachi. Il n'avait rien à voir avec Itachi, et il ne le serait jamais. Pourtant, peu importe jusqu'où il devait aller, il vengerait son clan. Il gagnerait le pouvoir nécessaire pour tuer son nii-san, et il ne ressentirait plus jamais cette douleur déchirante dans sa poitrine.

Alors que les sombres pensées de Sasuke continuaient, il ne réalisa jamais combien de temps s'était écoulé jusqu'à ce qu'une brise plus fraîche passe près de ses épaules et qu'un frisson parcoure son corps, le sortant de ses pensées. Le soleil était presque couché maintenant, ses derniers rayons projetant à l'horizon. Le corbeau la regarda longuement, profitant simplement de sa chaleur.

"Sasuke..."

Un autre frisson parcourut la colonne vertébrale de Sasuke, mais ce n'était pas à cause des brises froides qui passaient. Soudain, tout sembla ralentir et les sons semblèrent s'atténuer jusqu'à ce que plus rien ne puisse être entendu et que son esprit ne puisse se concentrer que sur les sons qu'il attendait. Il savait ce qu'il attendait d'entendre, et d'une manière ou d'une autre, il attendait ce son depuis qu'il était arrivé dans ce petit port. Et puis il l'a entendu. C'était faible, mais c'était aussi familier que le village lui-même.

C'était le bruit sourd, le bruit sourd de petits pas se déplaçant sur la planche de bois vers lui. On pouvait à peine l'entendre, mais Sasuke savait qu'il était là. C'était adouci et doux, et tout le temps réconfortant. Il attendait qu'il soit à ses côtés...

Ses yeux noirs d'obsidienne rencontrèrent soudainement le bleu profond de l'océan, et une douce pensée caressa son esprit.

— Vous n'êtes pas rentré.

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