Je crois que mentalement je sature.
Encore une fois tu à frapper, encore une fois tu m'as fait du mal. Je m'étais promis d'arrêter d'écrire pour toi, mais le mal que tu me fais est bien trop grand pour mon petit cœur.
Ce sont des blessures psychologiques mais elles font bien plus mal que toutes les blessures physiques que j'ai déjà eues.
Encore une fois, tu m'as déçu, encore une fois je passerais outre.
Quand vais-je réussir, à te dire aurevoir, une bonne fois pour toute, arrêter de garder contact avec toi.
Il n'y a pas un jour qui passe, sans que tu ne me face du mal.
Je crois que la fautive dans cette histoire c'est moi.
Oui, oui c'est bien moi. C'est moi qui m'obstine à te garder dans ma vie.
C'est paradoxal je voudrais que tu partes, mais je sais que si tu partais, le chaos dans ma vie revendrais. Mais en te gardant près de moi, le chaos et déjà présent.
C'est toi qui, quand j'allais mal, a remis de l'ordre dans ma vie, mais c'est toi qui, un an plus tard mets tous en désordre.
J'ai besoin de toi pour être heureuse, mais c'est également toi qui me rends malheureuse.
C'est comme si mon monde tourné autour de toi, mais mon monde va finir par s'écrouler.
Il s'écroule déjà.
Que restera-t-il de moi, quand tous ceci s'écrouleras ?
J'ai toujours dit que jamais je ne tomberais pour toi, mes mots étaient faux j'étais tombée, déjà, est maintenant, mes maux sont là.
Pour une fois dans ma vie, j'aimerais demander de l'aide, mais a qui ?
Méritais-je de l'aide ? Suis-je en capacité d'en recevoir ? Réussirai-je à l'accepter ?
J'étais détruite à notre rencontre, tu m'as sauvé, pour me détruire, encore plus que je l'étais.
Je sais que la meilleure des choses et de te laissais partir, mais tu es mon bon-(mal)heur, si tu partais comment pourrai-je être heureuse.
Oui tu me fais du mal, mais tu m'apportes tellement que tous se bouscule.
Tu m'as fait (re)-vivre, j'ai l'impression que si tu partais, ma vie ne reviendrais que grise.
Mais en même temps tu me fais tellement de mal.
Je sais que tu me détruis petit à petit, pour rien en plus. Mais je t'aime tellement que je prends(rais) le risque, à quel prix ?
Réussirai-je à me relever, une fois que tu partiras, je l'espère.
Mais je ne pense pas.
