Me revoilà, huit mois plus tard, tu m'a lâcher.
Je t'aimais tellement que je me suis oubliée pour toi, je t'aimais réellement du plus profond de mon coeur, j'avais enfin connu l'amour, pas juste aimer comme je le pensais, je t'aimais réellement, mais visiblement pas assez pour toi.
J'aurais tous fait, j'aurais pu me mettre le monde à dos pour tes beaux yeux, mais tu est partie.
Tu est partie en me disant que t'es sentiments c'était envoler, mais tu est surtout partie avec un morceau de mon coeur.
Je ne pensais pas que nous deux se finiraient un jour, tu étais l'homme que je voulais. Je voulais voire nos enfant courir après notre chien dans notre jardin, mais seul dans mes rêves je pourrait voire cette image.
Tu m'a quitter, et je t'ai réconforté, tu était dans mes bras, me disant que tu t'en voulais de nous faire ça, mais que tu n'en pouvais plus, et je t'ai réconforté, et je t'ai dis que tu était fort de prendre cette décision pour nous. Si seulement j'avais était au courant que tu n'avais plus de sentiment depuis des semaines, je n'aurais peut être pas réagis comme ça.
Tu m'a quitter me regardant droit dans les yeux, en me disant que tu t'en voulais de me faire subir cette rupture, alors que tes je t'aime étaient tous aussi faux les uns que les autres depuis des semaines.
Comment a tu pu me regarder encore dans les yeux si longtemps, alors que tu n'était plus amoureux ? Comment je n'ai pas vue que ton comportement n'était plus le même, que ton regard changer de jours en jours.
Mais malgré tous, je ne t'en veux pas, parce que tu garde une partie de mon coeur, et que pour toujours tu aura ce petit plus pour moi que les autres n'aurons pas, tous simplement parce que tu est le premier dont je suis tomber amoureuse, jamais je ne pourrait aimer qui qu'on que comme je t'aurais aimer toi.
Et malgré tous, un petit peut de mon coeur et de ma tête t'attend, et t'attendrons encore, j'espère tellement te voir revenir dans ma vie et que nous puissions la vivre notre histoire.
Alors je te le dis encore, mais je t'aime, bien plus que tu ne le croyais, bien plus que je ne le croyais, mais je t'aime, à plus tard, je l'espère.
