chapitre un

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Émergeant peu à peu des limbes, nôtre jeune serveur ouvrit les yeux avant de les refermer à cause de l'agression de la lumière sur ses pauvres yeux.

- Foutue lumière

Les recouvrant lentement il s'attendait à tomber sur son plafond mais non c'était plutôt un mur. Se redressant il constata qu'il n'était pas dans sa chambre.  La pièce dans laquelle il se trouvait était plus une cellule qu'une chambre. Il n'y avait dans cette pièce qu'un lit de camp dans lequel était assit. Les murs n'avaient pas été peinte . Il y avait de porte. L'une à sa gauche . Elle devait sûrement mener au toilette quant à l'autre elle devait mener vers l'extérieur.
Un horrible mal de tête l'accueillit en signe de bien venue

- J'ai l'impression d'avoir la gueule de bois...... mais où suis je ?

C'est alors que les évènements de la veille défilèrent dans son esprit. La soit disante agression de cet homme, l'aide qu'il lui avait apporté, la seringue qu'il lui avait planté alors qu'il avait le dos tourné.

- c'est quoi ce bordel ? Pourquoi je suis ici? Oh si j'attrape celui-là.,... JE LUI FAIT BOUFFER SES ENTRAILLES

Se levant du lit il se diriger vers la porte qui devait mener vers l'extérieur, afin de l'ouvrir mais comme il s'y attendait elle était fermé de l'extérieur.

- Bordel .... comment je vais faire pour sortir d'ici ?

Deux heures plus tard........

En entendant la porte se deverrouiller il se leva précipitation du lit. La porte s'ouvrit laissant place à un homme
L'homme qui l'avait secouru

- Mais c'est toi

- Je vois que tu es réveillé

- Connard

- Oh bonjour à toi vois tu? Je vais bien et merci de le demander

- Tu n'es qu'un

- Attention à ce que tu vas dire

- Pourquoi avoir fait ça ?

- Pourquoi ? Oh c'est simple c'est juste mon travail

- Ton travail ? Je t'ai secouru en pensant que t'avais besoin d'aide

- Et je t'en remercie mais t'aurais dû peut être réfléchir à deux fois avant de te lancer tête baissée

- .........

- Tu ne peux que t'en prendre qu'à toi même

- Je devrais te tuer de mes propres mains

- Sauf que tu ne le feras pas tu n'es pas en mesure de me battre je t'assure

- Connard

- c'est tout ce que tu sais dire?

-........

- Mais bon maintenant que tu es réveillé on peut.........

Avant qu'il n'ait le temps de finir sa phrase la porte s'ouvrit une deux fois laissant place à un autre homme habillé tout en noir. Il était grand ce mec et ......il sortait d'où ?

Ce mec était immense, avec des muscles qui ne désiraient qu'être libéré de ce tee-shirt.
C'était un homme grand , très grand même. Sa peau couleur blanche semblait rivaliser avec celle de Julian. Ses cheveux couleur noir étaient tous ébouriffés . Il venait de se réveiller ou quoi ?

L'homme marcha vers lui de manière prédatrice. Par mesure de sécurité il se recula de trois pas ce qui arrêta l'avancée de l'inconnu.

- Tu peux nous laisser Éric

- Bien Bosse. Dit il en sortant de la pièce tout en fermant la porte

- Pourquoi je suis ici?

- Ici c'est moi qui pose les questions. Dit il froidement

Non mais c'est qui ce mec et c'est quoi cette foutu aura qu'il trimballe ?

- ..........

- Bien

À ces mots il se dirigea vers le lit de camp et s'y assit de là à faire face à Julian

- Quel est ton nom?

- ........

- Ne m'oblige pas à me répéter

- Je.....m.... m'appelle...... Julian black

- Julian black

Bordel c'est quoi cette façon de prononcer mon nom?
Pourquoi je me sens tout bizarre ?

- Quel âge as tu ?

- 23 ans

- hmmm je vois...... bien Julian black saches qu'à partir d'aujourd'hui tu es ma propriété. Dit il en se levant pour se rapprocher du jeune serveur

- Je ne vous appartient pas. Dit il en reculant

- Ce n'est pas à toi d'en décider

Reculant toujours il se retrouva vite prisonnier entre le mur et le corps de l'inconnu.
Se collant à lui il emprisonna ses deux mains au dessus de sa tête

- Saches que je n'ai nullement besoin de ton avis. Quand je dis que tu es ma proprieté alors tu es ma propriété

- Vous n'avez.....

- Pas le droit ? Hahaha  ne me fait pas rire s'il te plaît. Tu te trouves sur mon territoire et tous ce qui se trouvent dans mon Territoire m'appartient

- Je le refuse

- Je n'ai que faire de ton refus. Et plutôt tu l'acceptera et mieux tu te portera . Dit en baladant sa main sur le corps du jeune homme se rapprochant dangereusement de son entre jambe

Esclave du MafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant