Avez-vous déjà ressentis le besoin de devenir quelqu'un d'autres pour obtenir ce que vous voulez ?
Avez-vous déjà aimé aveuglément quelqu'un mais cet amour n'a jamais été partager ?
Avez-vous déjà aimé quelqu'un qui ne fait pas partit du même monde...
-Madame, vous devez vous levez, il est neuf heures trente passé.
Je baille fortement avant d'ouvrir un oeil puis l'autre. La première chose que je vois, est le soleil à travers les rideaux blanc et le visage de ma gouvernante préféré Idril. Elle est très douce, très amicale et agis comme une deuxième mère pour moi.
Parfois je me demande ce que je ferais sans elle. Pas que je n'affectionne pas mes parents, seulement mon père travail éperdument quand on est roi ce n'est pas facile, et ma mère n'est pas très..comment dire.
Proche de moi.
Pourquoi ? Parce que je ne suis en rien comme elle, je ne possède pas d'aussi bonne manière qu'elle et suis plutôt têtu quand je le décide. Pour elle je suis Herazel la fille la plus malpolie du royaume de Lynderia.
Mais, bref, on ne peut être parfait dans la vie... -Madame ? Je reviens sur pieds et la regarde de nouveaux présente parmi nous. -Oui, Idril ? -Vous-étiez perdus dans vos pensées...
Je baille une seconde fois avant de me lever tranquillement. -Votre mère serait furax si elle savait que vous n'êtes ni habiller ni toiletter.
-Oui, oui je sais mais, ce n'est pas comme si cela était nouveau, elle s'énerve après moi pour exactement tous ce que j'entreprends.
Elle me regarde sans rien dire. Nous passons, une bonne heure à me toiletter, me poudrer, et choisir ma tenue du jour, une simple robe blanche poudreuse.
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Puis elle m'emmène dans le grand salon du château de la grande forêt. (Oui le royaume est une forêt entière, enfin presque une partit a été coupé pour les civilisations vampiriques dû à des accords.)
En y rentrant je suis étonnée de voir les personnes présentes devant moi a présent. Ma mère, mon père, ma tante et son fils Horith. Si je devais choisir je ne resterais pas ici, je déteste ma tante elle est pire que ma mère... Et j'aime bien mon cousin mais si on écoutait ces deux femmes on devrait se marier parce que nous avons le même âge. Donc je préfère m'éloigner quand il est la.
-Bonjour, très chère cela faisait longtemps. Dit ma tante avec un grand sourire remontant jusqu'au yeux. Ce que je rendis faussement.
Mon cousin me sourit simplement, je lui rend un sourire amicale en retour. Ma mère me retire aussitôt et pose une de ses mains glacée sur mon épaule dénudée. Je connais ce cheminement, comme ça dès que je dis un truc qui ne lui plaît guère elle me tire les cheveux, qui sont couper aux épaules. C'est une technique très simple et de toute manière mes cheveux ne lui plaisent pas.
Car les siens sont très très long, et très blond. Un blond doré alors que moi j'ai eu le droit à un mélange de mon père, ce qui donne : des cheveux roux.
Bref, mes parents discutèrent longtemps ainsi, moi j'ai pus m'échapper dans le jardin. J'adore ce jardin, car il y a un endroit où pratiquement jamais personnes ne vient. C'est une grande serre de fleur : des roses blanches précisément.
