Anastasya corporation

chapitre 3: Les flores du mal

-Tic, tac, tic, tac le seul bruit qui raisonnais ici...aujourd'hui des 《plots》juste ce petit son, aussi médiocre soit il porte le lourd fardeau d'appartenir à un massacre sans nom. Une heredication? Peu être...
- Abrége...
-Plaît-il？
- Abrèg Lucky Luck.
- Cami Prate, je vous pris de me vous voyez. Ana.
- Camillle, auriez-vous l'aimable gentillesse d'aller droit au but！
- C'est CAMI, Ana.
- Camille, Cami, qu'importe je veux que vous agissez rapidement. Le temps presse et l'entreprise doit tourner.
- C'est vous qui m'avez fait venir et je ne peux pas repartir d'ici sans avoir réglé le problème.

Cami Prate, l'une des meilleures peut-être même la meilleure, elle résoud rapidement le problème. Après avoir trouvé la scène, Nevor a fait appelle à elle. Je dois absolument lui parler pour se faire j'attends donc qu'elle se rapproche de moi.
- Je suis Louisa, j'admire beaucoup votre travail.
- Cami Prate, mais ça je pense que vous le savez, enchantée.
- J'aimerais beaucoup suivre votre travail...je peux vous écoutez durant les interrogations ？J'aimerais faire un article sur vous.
- Si vous voulez.

On rentre dans ce qui semble être une salle d'interrogatoire, deux agents du Capital police A. La principale unité de police chargé de la protection de civil. Cami m'invite à passer de l'autre côté de la vitre, puis fait rentrer Ana par une autre porte. Elle l'installe et commence à lui poser des questions:

- Ne vous inquiétez pas mes hommes sont entrain de prendre la relève dans le système en attendant la fin de l'enquête. Pour le bien de tous je dois vous posez des questions...que faisiez vous, hier？

- Hier? Salle audiovisuel comme d'habitude, on travaille sur un nouveau projet donc je devais vérifier les derniers montages. Vous perdez votre temps...Lucky, personne ici n'auraient intérêt à faire ça.

- Personne？je vois beaucoup de gens on été intriguée par votre indifférence.

- Chacun fait son boulot, c'est justement parce que j'ai osé être aussi indifférente que je ne peux pas être la coupable. Le système doit continuer à tourner.

Ana regarde fixement Cami et sort sans lui demander la permission. Je ne comprends pas comment on peut penser aux bénéfices face à un cas aussi grave. Collhoa ne répond toujours pas et j'ai peur qui lui soit arrivé quelque chose. Cami fait rentrer une dizaine de personnes toujours des réponses similaires 《J'occupais mon poste comme d'habitude, je n'ai rien vue rien entendu 》. Cami semble d'espérer mais je vois bien qu'elle ne compte pas capituler, elle fait alors rentrer la dernière de sa liste：Tassya, la sœur d'Ana. De ce que j'ai compris Ana s'occupe d'elle depuis la première changement.

- C'est toi Tassya?
- Oui
- Owh, ma grande tu as quel âge, 5 ans...6ans?
-...je ne sais pas j'ai arrêté de compter.
- Tu es mignonne poussin mais ici on fait un travail sérieux.
-...Je sais je voulu juste voir.
- Voir...quoi? Mon travail.
- ...Je sais, je sais beaucoup de chose...je vois tout ici. Je te vois toi et tu vas finir comme les autres.
- Tassya, regarde moi, quand tu parles à quelqu'un tu l as regarde de quoi tu parles.
- Je parles à mon amie imaginaire, on fait un cache-cache.
- Ok, c'est bon pour moi. J'en fais toujours trop. Ma navette est dans une heure faite en sorte que tout cela ne se reproduit pas.

Cami s'en va sans même me dire un au revoir j'ai été très perturbé par ce qu'elle a dit. Pourquoi tout le monde semble si passive fasse à se drame. Je suis dans l incompréhension la plus total. Si Cami ne fait rien je dois faire tout le travail. Je sors du bâtiment et je me pose dans la navette si je dois faire cavalier seul. J'ai à peine eu le temps de sortir de mes pensées qu'une personne prends mon sac et s'enfonce dans la navette allons de wagon en wagon. Je la suis sans hésité et je cours de toute mes force. La navette avance à une telle vitesse que j'en perd le souffle c'est très difficile de tenir la cadance. Je heurte malheureusement un siège et je me retrouve quelque instant à planer avant de me fracassé entre le sol. Cependant malgré la douleur je me relève difficilement et je constate que mon voleur m'attendais, je cris au secours mais personne semble me voir, tout le monde est figés, certainement plongés dans le sombre pensées. Je ne dois compter que sur moi-même et je continue donc cette course poursuite jusqu'à un arrêt étrange. C'est une sorte de forêt enfin c'est grande étendue d'haute herbe...je dirais plutôt de blé qui s'étend jusqu'à plus 70 mètres S.I . Mon voleur a disparu mais il a posé mon sac devant...ce que je vais appeler un arbre. Je récupère mon bien, essoufflé mais heureusement, je constate qu'il n'a pas été ouvert. Je relève la tête, intriguée par une forme étrange...des pieds...rattaché à un corps...appartenant à...oh! Misèricorde! Collhoa. Elle est là emprisonné dans d'arbre et flottant dans une substance inconnue...comme une fœtus. Ni une ni deux je mordre de tout mes forces dans l'arbe mais rien à faire. Je décide alors de creuser mais la terre est si dure, ce pendant quelques choses se produit le sol tremble brusquement, accompagné d'un vent intense...c'est la première fois que je sentais ça. Je m'accroche autant que je peux à l'écorce translucide...si bien qu'elle se casse laissant s'evacuer un étrange liquide. J'ai compris le truc! Je dois tenir bon et recommencer à chaque fois en faisant le tour de l'arbre.
Je reproduit alors une deuxième avec succès puis une troisième fois...qui ne finit pas comme prévu. Un rocher immense tombe sur nous arrachant des arbre autour, je l'évite de peu...Mais où suis-je ? Dois-je demander de l'aide? Je penses que je dois employés une autre méthode et songé à élargir les trous laissés par l'extraction des écorces. Malgré ma délicatesse, mes actions entraînes une autre catastrophe naturelle...une vague qui me fouette totalement déterminer à sauver mon amie je m'accroche priant que tout s'arrête. On dirait que tous est fait pour que je ne la sauve pas, comme une sorte de systeme de surveillance ultra sophistiquée. Je pense que je dois en rester là, sinon je vais...