-Je ne t'aime pas, je ne t'aime pas...
Tels étaient les mots que je pensais pendant qu'elle me fixait du regard, les yeux larmoyants. Elle était si énervée ce jour-là ; tellement énervée que ce fut une joie pour moi de la voir pleurer, sans entendre ses mots durs à mon égard.
Pourtant, j'avais une image à protéger. Les choses ne devaient pas se terminer ainsi. Il me fallait du temps. C'est ainsi que, pris d'une idée maline, je l'a pris dans mes bras Comme pour l'amadouer. Elle m'enlassa sans ne dire mot, me laissant sentir par la même occasion la douce odeur de ses cheveux bouclées.LIZ m'aimait et je le savais. La sentir contre moi me rappelait combien de fois son corps était magnifique. Ses courbes superbement dessine me faisait frémir de désir.
Rapidement, je sentis mes sens s'éveiller. Mais ce câlin n'était rien de plus qu'une mascarade afin de calmer ses folles humeurs. Quelques minutes plus tard, celle-ci semblait s'être calmée.
LIZ a toujours été très douce. La colère n'était pas l’attribut qu’elle aimait montrer le plus. Elle était plutôt de la tranche de ces femmes dignes qui savaient contenir leur douleurs sans dire mot. Je le savais car des fois, elle me prenait en flagrant délit de tromperie, mais ne disait mot.
Elle avalait sa fierté de femme, et Cherchais juste a savoir si j'allais bien. De toutes les filles que jai connu Liz était probablement la plus digne. Mais ces derniers temps, cette maitrise émotionnelle qui l'a caractérisait tant semblait s’évanouir.
Elle a réagissait beaucoup plus vivement qu'avant lorsqu'elle découvrait mes frasques sexuelles. Mais au fond je m'en fichais bien. Je n'en avais que faire de ces états d’Ames.
-Allez, je crois que je vais rentrer. Dit-elle timidement
Elle s'en alla à pas lent mais surement. J'en fus bien heureux. Je me retrouvai enfin seul, entre mes beaux murs recouvert de tableaux artistiques.
_sonnerie de téléphone_
Je pris mon téléphone qui était posé sur la table, puis le décrochai rapidement lorsque je vis le nom de la personne s'afficher.
-Allo pichounette, comment va tu ? Lui demandai-je le sourire aux lèvres.
-Bien mon cœur, et toi ?
-Je vais extrêmement bien. Peux-tu venir ?...maintenant.
-Oh oui, bien sûr ! Mais... c'est étrange tout de même. On ne se voit jamais à cette heure, tu me dis tout le temps que tu es occupé à cette heure avec du boulot.
-Ce soir, je me suis vite débarrassé de mon boulot. Rien que pour toi bébé. Dis-je un sourire dans le coin le regard perché vers le sol.
Cela faisait quelques minutes que Liz était rentré chez elle et j'avais besoin de me changer les idées après tout ce stress dont elle m'avait accablé. J'imaginais déjà ma belle pichounette dans mes bras musclé.
Assez de rêverie, je m'empressai de ranger quelques affaires éparpillé. Il ne m'en fallu pas énormément de temps, surtout que mon studio n'était pas un palace qui nécessitait des douzaines de servantes.Rapidement après ce petit effort, j'enlevai la chemise que je portais, ainsi que mon pantalon, puis filai dans la douche. Ce fut une douche si agréable. Sentir l'eau glisser sur mon corps me faisait un grand bien. D'une main rapide, je m'étalai du savon sur le corps en me caressant le torse, un brin fougueusement, de haut en bas. La douche terminé, je m'entourai la hanche d'une serviette . J'étais frais comme une glace sortant du réfrigérateur.
Vous auriez dû me voir ce jour-là. Torse nu, affichant fièrement des pectoraux bien rebondi sur lesquelles coulèrent quelques gouttes d'eau qui caressaient délicatement mes abdos dessinés.
J'avais un beau corps, j’étais bel homme et j'en avais conscience. A peine étais-je sorti de la douche que j'entendis toquer à la porte.
-qui est ce ? Demandai-je vivement avant de m'approcher près du Juda. Bien moindre surprise, c'était ma pichounette. J'empoignai rapidement la porte pour l'ouvrir.
Pichounette se tenait là, devant moi, juste quelques secondes avant qu'elle ne me saute dans les bras pour me saluer chaleureusement.
-Mon Roland, que tu es sexy !
-ah ah, et rien que pour toi pichounette.
Je senti sa forte poitrine rebondir sur mon torse nu. A cet instant précis, mon corps pris possession de mon esprit, et je l'embrassai fougueusement. Moi, qui n'était vêtu que d'une serviette, la soulevai de mes bras forts, puis l'emmenai dans mon lit joliment apprêté pour elle.
-Bah dis donc, quelle impétuosité jeune homme ! Je t'avais donc tant manqué que cela ! Dit-elle en me regardant droit dans les yeux tels une lionne décidé à avoir son gibier.
-Bien sur mon cœur, tu m'as énormément manqué. Répondis-je la serviette presque défaite. Mon cerveau n'avait cessé de m'envoyer des images peu catholiques, et cela, depuis la douche. C'est sans surprise ; que je remarquai ma verge se dresser fortement sous ma serviette.
Dans l'euphorie du moment, je déshabillai rapidement pichounette qui se laissait faire.
Cette dernière, presqu'aussi excité que moi, se laissait entrainer dans mes désirs forts pervers. On s'embrassait, en se caressant l'un Et l'autre. Nos corps s'entremêlaient chaleureusement, me laissant découvrir son corps sous presque tous les angles.
---portable qui vibre----
C'était là, mon portable qui vibrait inlassablement. Ce bruit répétitif et incessant me dérangeait ; tellement que, je le pris afin de voir qui c'était. A ma bien moindre surprise, c'était Liz qui m'appelait encore et encore... et encore...Cette dernière me rappellerait encore jusqu'à ce que je décroche. Elle ne m'aurait pas laissée tranquille si j'avais fais le sourd. Je décidai donc, nonchalamment de répondre à son appel, pendant même que pichounette était confortablement couché sur ma poitrine gauche.
-allo. dis-je de manière sèche et basse.
-cava mon cœur ?
-oui
-d'accord... je voulais juste te dire que je suis bien rentré. Finalement je m'excuse de la réaction que j'ai eu tout à l'heure. Tu sais, je t'aime tellement que des fois, je n'arrive pas à supporter certaines choses. Je veux juste que tu sois sincère avec moi plutôt que tu me mentes. Si tu ne m'aimes plus dis le moi. Je préfère entendre cette vérité plutôt que tu me dises des "je t'aime sans vie".
Apres ce long monologue ennuyeux de Liz, je répondis sans crainte
-ne 't'inquiète pas, cava.
-D'accord mon...
A peine pu t'elle terminer sa phrase que j'interrompu l'appel. Pichounette était là, je ne pouvais faire durer cet appel en sa présence.
- c'était ma mère. Il fallait que je lui réponde sinon elle ne m'aurait pas lâché. Lui dis-je en lui caressant la hanche.
-D'accord Roland.
Elle avait ce regard si attirant avec ses yeux olive légèrement tiré comme celle d'une biche. J'en étais fou, raison pour laquelle j'en fis ma deuxième copine après Liz. En bon amoureux des femmes, je ne pouvais me permettre de laisser filer pichounette. Peu après cet appel agaçant, pichounette et moi, reprîmes nos ébats. C'était un moment de pure plaisir.
Trente minutes plus tard, tout était fini. Elle était reparti chez elle et je me retrouvai de nouveau seul entre mes beaux murs...
VOUS LISEZ
récit d'un salaud
Tiểu Thuyết Chungroland, séducteur dans l'âme , nous raconte sans tabou et sans filtre l'une de ses plus grosses frasques amoureuses, ou plutôt relationnels. vivez pendant quelques instants, les mystères de sa complexité humaine en tant que SALAUD. oeuvre dediée à t...